2021 n°6 2021 n°8
nov 022023

R.I.P Annie et Jean-Claude .

( Texte à la demande de Jean-Claude)
Il y a des souvenirs que l’on aime pas évoquer, il faut pourtant que je l’écrive, d’après mon psy ça sera libérateur. Donc, un soir que nous rentrions du cinéma ,mes amis Annie et Jean-Claude m’invitèrent à finir la soirée chez eux. Je les déposais et allais garer la voiture .Quelques minutes plus tard j’arrivais devant les portes restées entrouvertes et entendis des éclats de voix. Pensant à une dispute soudaine je rentrais discrètement dans le vestibule resté dans la pénombre et je fus pétrifié en voyant deux individus menaçant mes amis avec un couteau et un pied de biche, Annie et Jean-Claude à genoux devant eux, les mains sur la tête .Lâchement probablement, ne sachant que faire je reculais dans la grande penderie ouverte et délicatement je passais derrière les manteaux , complètement caché à la vue, mais avec un regard sur le salon. A voir le grand sac ouvert et quelques tiroirs renversés au sol j’en déduisis que ces hommes avaient été surpris en plein cambriolage .
- Toi la salope, à poil ! Cria le plus grand en mettant son couteau sous la gorge de Jean-Claude pour l’empêcher de bouger.
- Oh mon dieu non, ne faites pas ça, dit elle, prenez tout ce que vous voulez .
BIM BAM ! Une violente paire de gifles fit vaciller Annie qui poussa un cri aigüe de terreur. Jean-Claude voulu se lever malgré la menace, mais aussitôt le couteau entailla profondément la peau.
Le truand remonta la pointe de l’arme sous l’œil et dit froidement , les dents serrées.
- Tu refais ça j’te l’perce, pigé ?
Les machoires crispées Jean-Claude émit un ‘hum hum’ d’acceptation . Annie en panique se déshabilla aussitôt , se tortillant à genoux pour faire glisser robe et culotte. C’était la première fois que je voyais mon amie nue , comme un voyeur je fixais ses gros seins blancs ,son ventre plat ,sans être maigre et sa légère toison grisonnante. Sa blondeur faisait ressortir son bronzage .Elle avait gardé ses escarpins d’où émergeaient ses jolis orteils aux ongles parfaiement vernis. Elle avait un corps de sportive , je les savais tout les deux prenant soin d’eux mêmes, ça se confirmait .Ce corps réservé à Jean-Claude maintenant exposé comme une pute en chaleur d’un pays sous développé. A ce moment là le plus petit truand tourna la tête dans ma direction et s’avança d’un pas décidé. Je me figeais, tétanisé , arrivé devant la penderie il continua et alla fermer la porte , après avoir jeté un coup d’oeil à l’extérieur. Il retourna dans le salon sans m’avoir capté. Mon mollet droit agité de spasmes , tous mes muscles en alerte , je m’efforçais de respirer la bouche ouverte, lentement, en silence. De toutes façons l’agression repris bruyamment car de peur Annie n’avait pu retenir son envie d’uriner , je voyais ses cuisses dégouliner de pisse , une flaque s’agrandissant autour d’elle.
-Ah la garce ! Explosa le plus grand et avisant sur la table le vase rempli de rose il le saisit et aspergea la pauvre femme. Jean-Claude cria.
-Mais arrêtez ! Laissez nous, laissez là …
Il ne put pas terminer, un violent coup de pied vint le frapper à l’entre-jambe .Il s’écroula de douleur, devant sa femme, sur les roses éparpillées . Le tirant par une oreille le petit le fit se redresser. Sur la poitrine plusieurs roses restaient plantées dans la peau , des gouttes de sang perlant là où s’étaient fichées les épines.
-Les gémissements de mon ami et les cris avalés de sa femme, la machoire tremblante, me terrorisaient . J’assistais à une scène d’horreur, incapable d’agir, terré dans le placard et dans ma honte.
- Bon assez rit ! Dit le grand en baissant sa braguette, aussitôt imité par son comparse, les deux sortant leurs sexes. Le petit vulgairement commença à se masturber et son chibre impressionnant grossit rapidement. La bite du plus grand jaillit du pantalon, comme sur ressort, déjà raide et dressée. Je notais que les deux étaient circoncis.
-Toi le connard , fous toi à poil, dit il en balançant une violante gifle sur la bouche de Jean-Clause, éclatant la lèvre et provoquant un fliet de sang ! Allez putain, dessape toi ,tournez vous, les deux et penchez vous , allez une bonne levrette dans vos cul d’bourges , regarde c’que j’vais t’mettre ,dit il en prenant le menton de Jean-Claude pour le forcer à regarder le bracmard rigide, tout en gardant le couteau contre la gorge déjà sanglante. Les doigts tremblants la victime défaisait ses boutons, il ôta d’abord la chemise, chaque respiration contractait les abdominos , puis lentement il fit glisser d’un seul geste slip et pantalon, dévoilant un sexe imposant et un pubis rasé. Tout en se retournant il ôta maladroitement ses mocassins et enleva les derniers remparts de sa pudeur. Se penchant il fit ce qu’il avait si souvent demandé à Annie et fait lui-même parfois , prenant la position de la levrette il offrit son cul au regard des sauvages et de moi-même. Ses couilles pleines et rondes semblaient tellement fragiles et il devait encore souffrir du violent du coup de pied. Mais ce qui me coupa le souffle c’est la tache rose indiquant qu’il portait un plug anal. Mon ami de toujours était sodomite, quelle surprise. D’ailleurs à cette vue on aurait pu tout à fait penser regarder une superbe femme, ses longues cuisses fuselées , jusqu’à ses mollets longilignes très féminins, le tout entièrement lisse. Ce qui ne trompait pas étaient les balloches commençant à bleuir et la queue qui étrangement s’était durcie, oui , il bandait , malgré le danger et l’humilition Jean-Claude avait la trique , comme les agresseurs et je pouvait deviner au dessus du ventre plat son muscle pectoral qui comme un nichons de femme exitée avait le téton dressé . Je n’en revenais pas.
-Putain, c’est une petite fiote ,alors t’aimes te faire mettre la tapette ? Eh bah j’vais t’farcir , tu vas la sentir ma grosse queue !
Annie prenant son visage dans les mains secoua doucement la tête de gauche à droite avec un reniflement entrecoupé de sanglots et se mit en position comme son mari, d’abord à genoux ,puis lentement elle se pencha en avant , laissant ses fesses en l’air .Ses seins généreux bougeant au rythme de sa respiration rapide , on devinait son anus en cratère terriblement attirant et ses cuisses un peu écartées laissaient voir une vulve charnue aux petites lèvres comme des oreilles.
-Oh putain la salope,fit le petit, regarde ce cul et ce trou de balle, c’est pour moi ,toi j’t'encule , j’vais t’défoncer !
-Ah ah ,ricana-t-il en se penchant pour cracher sur la rosette et s’accroupissant à moitié il frotta son gros dard dans la salive et au milieu des pleurs d’Annie il enfonça sans ménagement son membre dans l’orifice .Annie ne put retenir un cri de douleur, mais le monstre l’agrippant aux hanches donna un grand coup de bassin déchirant les entrailles de sa victime. Un cri muet et les hocquets de mon amie m’arrachèrent des larmes, tandis que Jean-Claude ,le couteau piquant sa nuque à présent , était sécoué des spasmes d’une crise de larmes, ses fesses se contractaient au rythme de ses sanglots. Son derrière que je découvrais rasé et ses boules également lisses offerts au regards de tous. Ce détaille intime me troubla , son derrière ressemblait à celui d’une femme.
Le grand ,qui était derrière Jean-Claude , tira sur le plug, dilatant l’anus qui resta à moitié ouvert , puis il sorti de son bougeoir une longue bougie rouge, il la mit devant la bouche de mon pauvre ami et lui dit.
-Allez suce, lèche bien, c’est pour ton cul de p’tite fiote.
- Aie ! Regarde son p’tit pétard rasé.Fit il à son complice ,tandis que Jean-Claude la résistance vaincue , léchait la bougie consciencieusement. Le salopard alors d’un geste ferme lui introduisit l’objet dans la rondelle et lui fit faire de violents aller-retour, comme un piston. Le pauvre J-C ne bougeait pas mais ses cuisses tremblaient nerveusement, à côté Annie se faisait défoncer le fion par la petite crapule, je voyais les nichons balloter sous les coups de boutoir. Les seuls bruits étaient les grognements des violeurs et les sanglots d’Annie.
-Arrgg ,gémit Jean-claude quand lui aussi fut pénétré sans douceur par la bite turgenscente. A ma grande honte je dois avouer que durant ces événements épouvantables ma bite avait durci et du liquide gluant commençait à inhiber mon caleçon, cette lubricité digne du Marquis de Sade réveillait des pulsions en moi. Je me caressais à travers le pantalon, insistant sur mon gland lubrifié devenu si sensible. Les deux criminels pilonnaient les culs des malheureux , le petit s’activait furieusement et bientôt dans un cri rauque se cambra ,se figea, puis donna encore quatre ou cinq coups de rein, déversant sa semence dans le rectum de la suppliciée , qui a court de larmes et de gémissements endurait maintenant en silence ce viol répugnant. Puis se fut au tour de son compère , qui dans de grands soufflements arrivait à l’orgasme.
-Arrgg , je jouis p’tit enculé, prend ça, ah c’est bon!
C’est à ce moment que courageusement Jean-Claude décida d’agir. La bite plantée dans ses fesses crachant encore son sperme il tenta de s’arracher à l’agresseur en ce levant subitement, mais l’autre fut plus vif et déterminé, le couteau parti en avant et plongea entièrement à la base du crâne , pénétrant le cervelet et tuant mon ami sur le coup. Le corps s’effondra dans une position grotesque, à genoux,bras le long du corps , fesses en l’air , du sperme s’écoulant de l’anus resté dilaté. Annie ne put retenir un cri d’effroi qui transperça mes tympans, elle aussi voulu se lever ,mais le criminel ramassa son pied de biche et d’un large mouvement tournant vint heurter violamment avec l’arrondi de l’objet la tempe qui craqua dans un bruit qui me hantera à jamais, faisant voler les beaux cheveux blonds, provoquant également une mort immédiate. Le corps s’affala près de celui de son homme adoré, étrangement les visages et les bouches se touchaient , dans un dernier baiser de la mort.
Les tueurs en panique , réalisant la monstruosité de leur forfait, remballèrent leurs queues gluantes dans les pantalons, ramassèrent leur sac et s’enfuirent aussitôt de la maison, me laissant en état de choc .Je restais là sans bouger de longues minutes, pas un bruit à l’extérieur. Lentement je sortis de la penderie, puis de la maison et prenant mon téléphone je composais le 112 .
Les pompiers , le samu et les gendarmes arrivèrent rapidement . On prit soin de moi, sensé avoir découvert les corps . Bien sûr je ne reconnu pas avoir assisté à toute la scène , mais je prétendais avoir vu des hommes s’enfuirent quand j’arrivais et je donnais une description précise. Justement, en panique, ils avaient causé un accident un peu plus loin . Rapidement interpellés ils furent confondus par les objets dérobés trouvés dans leur voiture, puis plus tard par les analyses de spermes. Les preuves accablantes les envoyèrent de suite derrière les barreaux et le procès à venir devrait les y maintenir pour très longtemps encore.
Paix aux âmes de mes chers amis, que ma lâcheté a probablement condamnés , mais je n’en serais jamais sûr, peut-être aurais je subi le même sort funeste .
RIP Annie et Jean-Claude.
(Ceci est bien sûr un récit de fiction, une commande bien sympathique)

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