nov 022023

Corvéable à merci.

Comme d’habitude sa porte est ouverte, comme d’habitude je suis nu sous la robe de chambre et je me dirige vers sa chambre, comme d’habitude elle en levrette au bord du lit et m’ordonne, – ‘Lèche ! nettoie de haut en bas !’ Ma cinquantenaire de propriétaire profite depuis des mois de ma perte de revenus pour me soumettre sexuellement en échange de continuer à me loger dans une chambre à l’étage. Elle est crade dans ses phantasmes Sylvie , au début j’avais de fortes nausées. Chaque matin à 8:00 je dois venir la laver, avec ma langue. Elle ne s’essuie pas ,ni devant ni derrière, juste avant ma venue elle pisse et chie et se mets en position sur le lit. Des fois ça va, mais le plus souvent des traces de merde grasse collent autour de sa rondelle. C’est amer, aigre le plus souvent et l’odeur, pfff, maintenant je me mets du coton dans les narines, ça aide.J’ai le droit de me rincer la bouche entre le cul et la chatte et elle se met sur le dos cuisses relevées et écartées et je dois brouter encore et nettoyer sa pisse fermentée depuis la veille, beurk. Elle a une grosse chatte et des grandes lèvres immenses, il faut que je glisse ma langue dans chaque pli et je doit redescendre jusqu’au trou de balle, là elle me lache souvent un pet dans le nez, je suffoque, elle est vraiment dégueux. Une fois la toilette faite, je dois me mettre debout et m’astiquer jusqu’à avoir une belle trique et je la fourre, chatte et cul, je suis obligé de jouir dans son cul et elle me fait allonger et s’assoie sur mon visage, le trou du cul sur ma bouche elle laisse couler mon sperme que je dois avaler puis je lui relèche la rosette jusqu’à ce qu’elle s’en lasse. Des mois que ça dure, chaque matin, elle m’a averti qu’elle pimenter encore plus l’affaire, je crains. Déjà qu’à présent elle me racompagne à la porte en m’enfonçant un majeur de l’anus et elle me mets deux grosses claques sur chaque fesses. Heureusement, elle est plutôt pulpeuse et bien proportionnée, ses gros nichons ont des tétons très longs, le ventre est assez plat, les hanches pas trop larges, légèrement grassouillette,mais pas trop, elle fait attention à elle, sauf cette perversité répugnante c’est quelqu’un de charmant.Qu’est ce qu’elle mijote ? Je vous raconterai, ça va mieux en le disant.
nov 022023

Première rencontre

Je suis Alain.C’est marrant , on avait beau avoir beaucoup communiqué sur la messagerie , être là devant eux maintenant ça faisait quelque chose . Trois mois qu’on s’échangeait notre vie sexuelle et nos désirs sur ce réseau social dédié au cul , on se connaissait très intimement avec nos échanges de photos et les fantasmes salasses qui remplissaient nos messages. Il n’y a que nos visages que nous découvrions, le choc, grosse émotions pour nous trois.

Mais là on ne se serra pas la main , pas de retenue pincée et polie comme c’est l’usage quand on rencontre quelqu’un pour la première fois. Instinctivement nous nous rapprochâmes , je posais les mains sur leurs tailles, ils firent de même et dans un tendre triangle la fusion se fit, les mains glissèrent et caressèrent, les lèvres s’ouvrirent et je les embrassais , commençant par elle, Léa, bouche à peine ouvertes et langues se taquinant , puis lui, Felix, s’empara de mes lèvres et avec fougue rentra sa langue pour lécher la mienne, il la suça. l’aspire , j’acceptais, je léchais sans retenue cette langue baveuse . Les mains s’aventurèrent ,j’étais tâté de partout ,je me fit peloter le cul et les parties,je soupesais la grosse grappe de Felix et la massais à travers le tissu ,tandis qu’un des nichons volumineux de Léa occupait mon autre main.

‘Bon,on pourrait peut-être se mettre à l’aise proposa la maîtresse de maison . Sans attendre sa robe légère tomba à ses pieds , avec un sourire désarmant elle prit ses seins lourds à deux mains et me les tendit, ses larges aréoles brunes et ses longs tétons étaient un chef-d’oeuvre , à eux seuls ils justifiaient le déplacement , le nichon français avait trouvé ses meilleurs représentants, cocorico ! Je n’ai eu qu’à baisser la tête, je pris l’un puis l’autre de ces mamelons somptueux entre les lèvres, ils faisaient bien 2 cm de long , durs sous ma langue, un bonheur.

Comme j’étais occupé à téter je vis du coin de l’oeil que Felix s’était retrouvé aussi à poil et à genoux devant moi il commençait à enlever mes chaussures, puis baisser mon pantalon, suivi du caleçon. Ma nouille bandait à moitié , il la prit en bouche et me branlant doucement,d’une langue experte il me lécha le gland et l’aspira en cadence.

J’ai lâchais les nichons de Léa et elle en a profita pour passer derrière moi , je sentis ses mains écarter mes fesses, elle devait juste reluquer mon trou, pendant quelques secondes il ne s’est rien passé , puis la merveilleuse sensation d’une langue qui fouille mon anus a achevé de me faire dresser la queue dans la bouche de son mari.

‘Dites donc, vous savez recevoir, dis je au milieu de ce tableau obscène . ‘ Shlurpp – shlurpp’ marmonnèrent ils la bouche pleine.

Lâchant ma queue Félix proposa, ‘on devrait se rendre au salon pour être plus à l’aise’ , ’suivez le guide’ fit Léa en me glissant un doigt fin dans l’anus . Je sursautais à cette intrusion, surpris et content à la fois et me poussant de sa main entre mes fesses elle me dirigea vers une pièce spacieuse avec de larges canapés et une immense table rustique.

La table était dressée, c’est à dire, s’y alignait une série d’objets érotiques très variés. Plusieurs godes de diverses tailles et couleur, des plugs,un martinet,des menottes, des flacons et des tubes. Effectivement ce n’était pas des amateurs .

‘Mon cher Alain voilà le programme’ dit Felix , bite au garde à vous , m’invitant du geste à apprécier leur collection . Toujours poussé au cul par Léa elle me souffla en saisissant un gros gode rouge ,’celui là c’est son préféré , hein mon chéri que je te le fourre tous les jours ?’ . Sourire béat de Felix . ‘Et celui ci c’est mon jouet du matin’, l’objet était un vibro violet à la forme futuriste avec un picot de massage pour le clito.

‘Viens te mettre sur le sofa Léa va faire le service ‘ m’invita mon hôte en me prenant la main , comme je m’éloignais le doigt de madame sorti de mon cul , à mon grand regret. Le canapé en cuir blanc était large et profond, ferme pour ne pas s’enfoncer. Nous nous assîmes entre hommes côte à côtes.

‘Mais cette queue n’est pas bien réveillée’ minauda t’il en se penchant sur mon début d’érection. J’avais la sortie du prépuce gorgé de mouille , il le décalotta , découvrant mon gland luisant , aussitôt je senti ma queue gonfler , il fit quelques aller-retour en la regardant tendrement ,tout comme Léa qui ,cuisses ouvertes se frottait la fente d’un doigt. Sa langue comme celle d’un serpent s’approcha en frétillant de ma bite maintenant bien tendue, il s’activa tout de suite sur le dessous du gland, là où c’est si sensible, tellement agréable. J’avançais mon cul au bord du canapé et une main experte ma caressa les couilles de la paume et un doigt large s’insinua dans la raie , se fixant sur ma rondelle. Réservé de nature et intimidé par cette rencontre je ne m’étais pas exprimé depuis mon arrivé, tout allait si vite. Là je ne pus retenir un ‘ Oui , là c’est bon, enfonce ton doigt, suce moi cochon’ et de ma main droite j’agrippais son cul ferme, je lui mis une calque et lui pétris les deux fesses.

‘Ouiii Alain, fesse le il adore ça’ jubila Léa . Je recommençais, deux claques bien appuyées sur chaque fesse, il gémit en avalant toute ma queue, je recommençait ,’clac -clac’ , son cul devenait rouge. Léa s’était approchée , enduisant le gros gode noire avec un tube de gel elle présenta le pieu monstrueux au derrière cambré de Félix. Je me penchais pour mater la scène , l’anus boursouflé par les nombreuses dilatations était déjà à moitié ouvert. D’un geste expert elle le planta d’une longue poussée , non sans un gémissement de Félix qui dû quand même le sentir passer. Là je lui pris la tête à deux mains et la collais brusquement sur mon bas ventre, rentrant toute ma bite tendue, encore et encore je fis des aller-retours , puis je me dégageais laissant Félix cul en l’air et à moitié groggy , Léa, grand sourire, m’ouvrit les bras .

‘Enfin, j’ai failli attendre plaisanta t’elle’ , nous nous enlaçâmes tandis qu’avec ses mains couvertes de gel elle me lubrifia la queue en une branlette délicieuse. Se mettant à genoux sur le canapé, en appuis sur le dossier, bras croisés , elle se mit une grosse claque sur une fesse, ‘Au travail matador, plante moi ton épée, vise bien dans les deux cibles, celle du bas d’abord.’ . Léa avait un petit cul avec deux belles pommes plates , pas besoin d’écarter les fesses, avec sa chatte proéminente toute en lèvres juteuses débordant autour d’un clito comme une petite cerise et son trou du cul comme un cratère, étaient tout de suite accessibles. Je frottais d’abord mon gland de haut en bas entre ses ailes de papillon,m’attardant sur le gros clito, la faisant gémir et se cambrer plus encore , puis n’y tenant plus , d’un coup de bassin, je plongeais ma queue en feu dans cette fente en fusion. Etonnamment son vagin était très serré, un délicieux étui que je dû investir en douceur. Elle tendit sa croupe à ma rencontre et finalement ,le braquemart au bord de l’explosion je l’investis totalement, mes couilles s’écrasant sur sa chatte trempée. Elle ondulait du cul , le faisant danser autour de mon pieux, c’est elle qui me baisait, aspirant mon dard puis projetant son cul vers moi, serrant ma bite dans son étui glissant de mouille. C’était merveilleux, mais ce trou du cul m’appelait , je le fixais depuis le début, il s’entrouvrait comme si un doigt invisible préparait le passage . En douceur je m’échappais de sa chatte dévorante et plaçais mon gland hyper sensible sur la rondelle brune, Felix n’en perdait pas une miette, s’astiquant sauvagement le poireau , la base du monstrueux gode dépassant de ses fesses.

‘Vas y , bourre lui le cul, enfonce ta bite dans cette chienne !’ dit il les yeux hagards, bouche entrouverte ,s’astiquant le piston à toutes vitesse. Léa dit ‘ Oui, plante moi, vite, encule moi à fond !’ . Sans attendre et sans lubrifier, lui prenant la taille à deux mains je commençais à pousser et ,surprise, le trou s’ouvrit sans résistance, juste assez pour me serrer délicieusement . Je laissais échapper un ‘Salope , prends ça dans cul !’ en rentrant d’un seul coup tout le chibre en feu . ‘Vas y lâche toi , insulte là’ fit Félix , couvrant difficilement les gémissements de sa femme qui annonçaient un orgasme anal imminent .

Pris de frénésie, encouragé par les deux pervers , mes barrières de savoir vivre tombèrent , je me lâchais . ‘ Putain de vieille pouffiasse, bouge ton trou à bite, je vais te faire chier du foutre pendant huit jours, tu sens ma grosse pine qui ramone ton cul de salope ?’ ,’Ouiiii’ cria t’elle ‘bourre moi fort p’tit salopard ,j’suis ta pute, vas y encore , défonce ta chienne !’ . Félix la bave aux lèvres, le piston en surchauffe dans sa branle folle , ne parlait plus , ses yeux écarquillés matant le cul pilonné de sa femme ,je sentis que sont explosion était imminente. ‘Arrghh’ fit en s’agenouillant face à moi , sa queue au bord de ma bouche il la força à l’intérieur, aussitôt un puissant jet de foutre chaud gicla sur mon palais, de suite suivi d’un autre,et encore, petit à petit son gros noeud s’enfonçait dans ma bouche , jusqu’aux dernières secousses où au bord de la nausée je recueillis quand même toute sa semence. Je reculais un peu pour ne garder que le gland gonflé sur ma langue , le branlant d’une main et léchant les dernières de son jus.

Lâchant Félix, je me décidais à accepter de laisser venir mon orgasme quand Léa elle-même anéantie par son orgasme anal se laissa glisser , libérant ma queue. A mon tour ,je me levais et agrippant les cheveux de Félix je le tins fermement quand j’enfonçais mon gland entre ses lèvres en branlant frénétiquement ma queue lubrifiée dans le cul de sa femme.Je lui rendis à l’identique une décharge de jute phénoménale , une merveilleuse boule de feux jaillit de mon bas ventre et m’envoya mille aiguilles de plaisir dans le gland turgescent , ça brûlait de plaisir , un orgasme comme je n’en avais jamais eu . Je me suis tellement vidé jusque sur ses amygdales que du sperme épais lui ressorti par les narines. Submergé par le plaisir je n’avais pas senti les deux gros doigts qui me ramonaient le cul, accompagnant mes dernières secousses Felix les retira lentement en tournant, sensation divine.Je m’affalais à côté de lui , Léa un peu remise , après avoir regardé ma jouissance d’anthologie affichait un sourire fatigué mais béat de satisfaction .

Voilà pour la première partie de cette merveilleuse rencontre , un rare moment de plaisir absolu.

nov 022023

Le bon, la chatte et le truand ( ou Sylvie)

J’ai longtemps hésité à raconter cet épisode de ma vie, mais je dois le faire pour me libérer.

Dans un monde merveilleux les jolies filles et les gentils garçons ne se font pas violer par le cul, seulement voilà, la réalité nous rejoint parfois . J’avais déjà 25 ans et pas de travail stable, par bouche à oreille je faisais quelques travaux au noir chez des particuliers. Sylvie, la mère divorcée d’un copain vivait seule dans une ancienne ferme , un peu isolée , des travaux de peinture m’attendaient quand je m’y rendis ce matin d’automne.

‘Bonjour’ fis je quand la porte s’ouvrit . Françoise , environ 1,60 m , un peu potelée avait d’habitude toujours un sourire rayonnant malgré sa vie pas facile, là je la découvris crispée, les larmes au bord des yeux.
‘Entre’ fit elle les lèvres tremblantes. Je m’étonnais et franchis le pas en la regardant avec inquiétude . Comme je restais tourné vers elle, de derrière la porte, dans mon dos ,une voix d’homme rugit ‘ bouge pas connard !’ pendant que le froid d’un objet métallique se posait sur mon cou.

Cri de Sylvie ‘ Non, s’il vous plaît, lui faites pas de mal ! ‘ , un violent coup de pied de mon agresseur claqua la porte et fini dans le ventre de Sylvie , projetée sur le carrelage sa chute fit s’ouvrir sa robe de chambre, elle était nue et je vis comme au ralenti ses fesses dodues absorber le choc , ses gros seins s’écraser sur son torse et entre ses cuisses écartées son sexe ouvert sous une abondante toison noire.

‘Avance p’tit con’ fit la voix dans mon dos en me plaquant une main entre les fesses en même temps, un doigt forçant fortement dans le milieu. J’étais tétanisé , Sylvie sanglotait par terre en reniflant . L’homme me fit tourner . Tout en muscle, un visage buriné de boxeur et complètement nu , un gros sexe dressé vers le plafond.

‘Excuse moi fit Sylvie, j’ai dû obéir ‘ , ta gueule pouffiasse , toi à poil ‘ cria ce monstre en me pointant son couteau.
En automate , terrifié par la situation, en tremblant je défis mes vêtements , mortifié de me déshabiller devant Sylvie.

‘Toi aussi salope ,debout , à poil et à côté de lui!’ ,Sylvie s’exécuta , je sentis la chaleur de sa hanche sur ma cuisse , sa main serra la mienne dans un geste de réconfort.

‘Bon les cocos, le morveux m’a dérangé quand j’allais te défoncer le cul salope, alors tournez vous et en levrette, magnez vous !’
‘S’il vous plaît laissez le’, supplia Sylvie , Vlam , une méchante claque lui projeta le visage vers moi , dans le même geste sa main saisit ma queue en tirant dessus et il y plaqua son couteau, me terrorisant .

‘Tu préfères que je la lui coupe ?’ ‘ Non, non d’accord dit Sylvie se mettant aussitôt au sol , les fesses en l’air.

‘ Tiens, bah justement , toi le mignon tu vas me préparer le passage, lèche lui trou et vite.’ Je baissais les yeux vers le cul devant moi, n’osant dire un mot au fou ,je m’agenouillais et baissais mon visage vers la raie ouverte. Des poils longs et frisés entourait l’anus de Sylvie , cette vue malgré moi me fit de l’effet, malgré la situation je senti ma bite commencer à grossir. La piqûre de la lame sur ma nuque m’obligea à plonger le visage entre les deux globes de ce cul offert .La pauvre Sylvie sous l’émotion avait eu des petites pertes, j’eu un haut le coeur à l’odeur et au goût acide de sa merde sur ma langue, je me repris pourtant et un d’un coup de langue nettoyais ces quelques traces répugnantes , je déglutie en grimaçant. ‘Lèche bien, rentre la langue à fond !’ conseilla t’il doucement à mon oreille, son autre main s’insinuant dans ma propre raie offerte à sa vue. ‘Oh mon dieu pleurnicha Sylvie, quelle honte’. Comble de ma soumission je sentis un gros doigt humide forcer mon anus, ça brûlait un peu, le monstre nous humiliait avec perversité , quelle horreur, mais le pire c’est que ma bite était maintenant raide comme un poteau , je serrais les cuisses pour le cacher.

‘Allez, vous changez de place’ ordonna t’il. Toutes envies de résistance disparues nous obéissions, moi comme une chienne en levrette et Sylvie qui dans la même position collait sa bouche sur ma rosette . Elle a bien dû voir ma queue tendue, que pense t’elle , comment va t’elle me pardonner si nous en sortons vivant , ce qui me semble improbable. Elle n’a pas d’hésitation, je ne suis pourtant pas sûr de ma propreté, même sûr de ne pas l’être, mais je sens sa langue s’emparer de ma raie, elle lèche de haut en bas, puis se fixant sur mon petit trou , délicatement elle commence à le lustrer .

‘Aïïee’ crit-elle soudain entre mes fesses , ‘ça fait mal’. ‘Mais non’ réplique le violeur , ‘il t’a bien bouffé l’cul, c’est rentré tout seul’. Je comprends qu’il vient de la sodomiser brutalement , elle sanglote , sa langue toujours dans mon trou de balle . J’entends le floc-floc des coups de bassin sur le gros cul de Sylvie et je sens son visage rentrer en cadence dans ma raie. ‘Aaah quelle bonne chienne, t’aime ça la truie, je te bourre bien ?’, ‘Répond !’ crie t’il .’Oui, oui, monsieur, j’aime beaucoup ça’ souffle t’elle entre deux halètements. Mais , ma parole, ça c’est la voix d’une femme qui prend du plaisir, je n’en reviens pas et sa langue qui s’active encore plus.

Soudain l’ignoble personne ordonne ,’pousse toi de là , mets toi devant lui cuisses ouvertes et branle toi pendant que j’encule le puceau’ .

Oh non, c’est pas vrai, pas moi . Je n’ai pas le temps de réagir, d’ailleurs l’aurais je pu, que deux grosses mains agrippent mes hanches et qu’un truc qui me semble énorme commence à rentrer dans mes entrailles. Hou là là , j’ai l’anus en feu , je pousse un cri face à Sylvie qui ,obéissante, a la main qui s’active dans sa chatte dodue, ses petites lèvres sont très larges et couvertes de mouille, ses doigts aussi, elle est bien en train de prendre du plaisir, incroyable. Cette vue m’a aidé à supporter la dilatation annale que je croyais impossible, les coups de boutoir me projettent un peu plus en avant à chaque fois . A la sensation de feu une autre beaucoup plus agréable vient servir d’anesthésiant , puis le plaisir commence à emplir mon cul , mes couilles et toute ma queue, quelque chose de nouveau se produit, je gémit, je me cambre encore plus , sans l’avoir souhaité un grand jet de foutre accompagne un orgasme comme jamais je n’en ai eu . Le sperme gicle en abondance et derrière moi et en moi je sens que le salopard fait la même chose, il jouit dans mon cul ! Sylvie qui s’est branlée sans s’arrêter se crispe soudain et de sa chatte des grands jets d’orgasme féminin ou de pisse jaillissent en plein sur mon visage et dans ma bouche .

Soudainement le silence emplit la pièce ,seulement coupé par les halètements du dingue .Je vis le visage de Sylvie se décomposer, sûrement comme le mien, d’abords honteux d’avoir pris du plaisir et terrifiés de ce qui allait arriver maintenant. Je me retournais lentement , l’agresseur avait pris mon t-shirt pour s’essuyer la queue , un vilain sourire aux lèvres et le couteau toujours en main. C’est à ce moment qu’un petit point rouge apparu sur son front. Etrange , un insecte, un reflet ? lui ne réagissait pas. Sa tête fut subitement projetée en arrière, auréolée d’un nuage rouge , sa main laissa échapper le couteau et comme une flaque son corps s’affaissa au sol dans un grand boum, sa tête, ayant heurté au passage la table basse, restait dans un angle normalement impossible. La porte s’ouvrit en claquant sur le mur , plusieurs hommes casqués et armés, tout en noir, pénétrèrent armes pointées balayant la pièce . En cinq secondes la situation désespérée venait de basculer.

Ce sale type s’était le matin même évadé du tribunal , aussitôt recherché par les forces de l’ordre il avait été repéré pénétrant dans la ferme moins de trente minutes avant mon arrivée . Nous étions en fait observés à travers la baie vitrée depuis le début , notre mésaventure nous avait semblé une éternité mais n’avait en fait duré qu’une quinzaine de minutes . Et dire que des dizaines de policiers ont suivi cette honteuse agression , combien d’entre eux ont apprécié secrètement, sûrement beaucoup , la honte universelle.

Un jour je vous raconterai comment Sylvie et moi avons surmonter ça …..

nov 022023

Tendre salope

Jeune adulte on est souvent naïf , parfois ça se fini bien, comme avec Mina. Je venais de commencer un travail dans les réserves du magasin de son père, grossiste en tissus . Le paternel venait rarement en réserve , Mina avait 35 ans, 15 de plus que moi et gérait le stock de papa . Le premier jour de mon arrivée elle m’a appris les quelques rudiments de boulot et m’a demandé d’essayer une tenue de travail du magasin , au choix le bleu de travail ou la blouse . On était dans la petite pièce du vestiaire , des étagères, des casiers individuels , classique.

‘ Bon alors voilà, déshabille toi tu vas essayer plusieurs tailles et choisis ce que tu préfères’.

Devant le ton d’autorité de ma nouvelle patronne j’acquiesçais , mais gêné je dis ‘ c’est que ce matin tous mes slips étaient au lavage, je n’ai rien en dessous’.

‘Oh là là , tu veux ce travail ou non, on n’a pas que ça à faire , j’en ai vu d’autre, dépêche toi’ .

Timide de nature je n’osais lui répliquer et en rougissant je baissais puis enlevais mon pantalon .En t-shirt, la nouille à l’air devant une inconnue. Elle me regardait, bras croisés et s’humectant les lèvres, puis pris un bleu de travail . ‘Enfile ça !’ ,sa voix avait un peu changé, plus basse , elle inspirait fort. Je passait les jambes dans le vêtement , mais il était trop étroit , en le remontant ma bite dépassait trop pour le remonter. Moment de gêne intense, je n’avais plus de voix . ‘Attends, je vais t’aider’ dit elle, joignant le geste à la parole elle glissa sa main sous mes couilles et ma queue et comme un chausse pied essaya de tout faire rentrer, mais pas moyen.Je sentais bien qu’elle insistait bizarrement , sa main maintenant autour de ma virilité . ‘Madame, ça ne passe pas’ osais-je dans un souffle. En même temps cette main chaude et ses mouvements commençaient à faire gonfler ma bite . La situation était devenu très étrange .

‘Bon d’accord, on essaye autre chose’ souffla t’elle , mais sans lâcher ma queue aussitôt, puis s’agenouillant pour tirer le pantalon vers bas, sa tête face à mes parties.

Comme elle ne se relevait pas je dis, ‘Madame, ça va ?’ Sa chevelure abondantes était tout ce que je voyais d’elle en dessous, soudain sa main repris ma queue. ‘Oh madame’ articulais je en croassant. Mais elle continua ,elle me branlait doucement, décalottant en cadence, puis m’ayant fait durcir elle me prit en bouche, je sentis quelque chose de doux et humide entourer mon gland, un frottement léger dessous, puis tout autour. Ma première pipe , incroyable cette situation , mais j’arrêtais de réfléchir et acceptais ce que maintenant mon corps demandait avec énergie. Ma queue gonflée à son maximum, dure comme du bois était avalée jusqu’aux couilles, puis libérée,et encore et encore ,j’agrippais sa tête , oubliant ma timidité, et j’accompagnais le mouvement de pompage. Puis ,surpris, je sentis une main passer entre mes jambes, un doigts glisser dans la raie du cul , se poser sur mon trou et faire un massage circulaire. Quelle sensation nouvelle mais vraiment délicieuse. A ce moment elle enleva son doigt, lâcha ma queue et se recula pour me regarder , le braquemart tendu comme jamais, luisant de salive et de mouille . Elle avait pris des couleurs et semblait avoir couru un marathon , puis elle mit son majeur dans la bouche le suça , cracha dessus et aussitôt vient me le planter entre les fesses, poussant fort. Mélange de brûlure et de plaisir, ‘Hoooaa’ fis je en levant les yeux au plafond,pendant que je sentis sa bouche reprendre son travail sur ma bite . Enculé en sucé en même temps , j’étais complètement privé de repères , je me laissais prendre par le cul et la bite par une inconnue, submergé de plaisir , j’ai senti la jouissance arriver comme un torrent, un truc gigantesque , et brusquement j’ai tout lâché, du foutre a explosé dans sa bouche en longs jets brûlants , mes jambes m’ont lâché mais son bras solide avec son doigt planté dans mon cul me soutinrent. Je me vidais en plus d’une minute . A la fin elle recula le visage ,bouche ouverte, je vis tout mon foutre emplir l’espace derrière ses dents, alors elle commença à déglutir, plusieurs fois jusqu’à tout avaler, puis elle retira doucement le doigt de mon cul et se le mit dans la bouche ,suçant les traces de merde au passage . Incroyable , je restais là, la queue encore tendue et brûlante de plaisir, le cul un peu en feu aussi.
‘Mon petit mignon tu gardes ton poste , fit elle en se remettant debout, elle s’approcha de moi, mit sa bouche sur la mienne , sa main caressant ma queue ramollissante et rentra sa langue très loin , puis me lâchant ouvrit la porte en me disant, habille toi donc nigaud, il y a du boulot , ah et aussi, à midi on se retrouve ici sans faute.’

Je suis resté longtemps dans ce magasin, en fait aujourd’hui c’est moi le patron .

nov 022023

Trouducule moi s.t.p.

Deux heures de marche déjà dans la montagne pour faire des photos, enfin, nos monts d’Auvergne , le calme, la paix, la beauté. Là où je suis arrivé je découvre un panorama extraordinaire , la vallée au début du printemps a de multiples teintes de verts et là-bas presque à perte de vue , la chaîne des puys .

‘Hummm, humm, haaa, putain c’est bon !’ Je sursaute , je me retourne , je vois quelques feuilles bouger dans les fougères naissantes . Je me lève et m’approche, là surprise , mon voisin , le type si calme et réservé que je croise chaque jour, en train de se palucher, à poil sur le sol . Silence, bouches bées tout les deux, moment de solitude, il a toujours sa bite en main qui ramollit . ‘Heuu, salut, pas de problème ,’continue’ dis je pour détendre le moment de gène. ‘

Là son visage devient écarlate, il tente de bafouiller quelque chose, incompréhensible . Je suis pris de pitié , ‘je peux m’asseoir près de toi’ dis je , croisant ses bras autour de ses jambes, tête baissée ,il murmure un petit ‘oui, je suis désolé, je pensais être seul’, ‘moi aussi’ répondis-je ‘et ne t’inquiète pas, tout le monde se branle, ici c’est un endroit magnifique pour ça , tu aimerais que je te prenne en photo, sans prendre ton visage si tu veux.’ . Il relève le visage, toujours le rouge aux joues , mais une sorte d’espoir dans les yeux.

-Je crois qu’on est vraiment que tout les deux ici , ce que je te propose, c’est qu’on se photographie tout les deux, regarde , je vais me déshabiller aussi, comme ça plus de gène’.

Sans attendre la réponse je me débarrasse vite fait , tout tombe par terre, je suis debout , nu devant lui , la queue à moitié réveillée et il regarde , sa mâchoire tombe en même temps que ses cuisses s’ouvrent à nouveau, révélant sa queue avec quelques brins d’herbes collés par la mouille. Là , c’est un vrai sourire qui apparaît sur son visage , j’en profite pour le photographier, son visage levé vers moi , sa bite un peu floue dans l’ombre , je m’approche et fait une autre photo où ma queue apparaît, je la tiens d’une main devant son regard plein de tendresse. Il me dit , ‘tourne toi’, je m’exécute et ses mains caressent d’abord mes fesses, les écartent doucement , puis délicatement une langue vient lécher mon anus, donne des petits coups de langue, tourne autour, je me cambre un peu pour recevoir l’hommage, que c’est bon . Le soleil m’inonde le corps , cette langue viole ma rosette si doucement, je suis au paradis.

Dans la série des rêves à réaliser il y a celui-ci en haut de liste, avoir une relation avec un homme , ça me manque tellement de fantasmer dessus et de ne pas connaître et là sans m’y attendre ça m’est offert sur un plateau, merci la vie.

Mon petit voisin est plus jeune que moi qui ai passé la soixantaine, je lui donne à peine 40. Nos femmes papotent souvent ensemble , mais pas nous . Là pendant qu’il me lèche encore le trou (décidément il aime ça) je me paluche la queue doucement, puis sa langue se retire, dommage, mais aussitôt je sens une pression plus dure , un doigt commence à forcer le passage. ‘oh, mais mon cochon tu penses à m’enculer, c’est ça ?’ Le doigt s’arrête, ‘non continue, rentre le entier’. Là je me baisse un peu jambes écartées, cambré, les mains sur les genoux et je me laisse me prendre, un deuxième doigt rejoint l’autre, je souffle tellement c’est bon, son autre main passe en dessous et me malaxe doucement les couilles , puis remonte sur ma queue, la serre et commence des va-et-vient . Je n’en peux plus de plaisir , je tourne la tête pour le regarder et vois qu’il se branle à toute vitesse, je vois son beau gland rouge, luisant, décalotté et recalotté par sa main crispée. ‘Oh, prends moi, vas y , tu as bien ouvert mon cul , fourres y ta bite bon sang ‘. Il ne faut pas lui dire deux fois, presque aussitôt deux mains me prennent les hanches tandis que son mandrin gonflé prend la place de ses doigts. Pour une première fois mon cul accueille une belle queue sans problème, ça rentre aussitôt. En même temps qu’il m’encule sa main droite passe devant et il me branle en cadence , comme ses coups dans ma chatte masculine.

C’est si bon, merveilleux, mais je ne veux pas jouir tout de suite. ‘Attends, arrête , je veux te faire la même chose, je veux te trouduculer ‘.

Il a compris et arrête de me pilonner, sort doucement sa bite, elle est luisante et raide , je la sens prête à exploser, il fait un effort de concentration pour ne pas jouir. J’en profite pour l’embrasser, mon premier baiser avec un homme me semble tellement naturel, sa langue répond à la mienne, ça frétille, ça suce, c’est sauvage.

Il se remet sur le dos, comme à mon arrivée , prend ses jambes à deux mains et en les écartant les remonte vers les épaules . Je prends quelques instant pour admirer , il a de belles couilles qui pendent bien, presque jusqu’à son trou de balle . Pas beaucoup de poils , mais pas rasé, comme moi, je préfère . Sa bite est toujours tendue, elle touche son nombril , plus longue que la mienne ,mais moins large , parfaite pour la sodo, je l’ai bien vérifié à l’instant.

Je m’agenouille, les cuisses de chaque côté de son petit cul offert, je recule légèrement pour placer mon gland contre son anus tout rose, je frotte ma mouille tout autour pour lubrifier et je laisse les choses se faire, doucement ça rentre, je regarde fasciné la rondelle entourer mon gland , puis le prépuce décalotté, et millimètre par millimètre ma queue est avalée, disparaît dans l’étui chaud de son cul et nos couilles se touchent . Quelle sensation ! Le soleil nous éclabousse , les insectes et les oiseaux font de la musique et je reste sans bouger empalé comme dans une chatte. On se regarde en souriant , alors je commence de doux va-et-vient , ça dure plusieurs minutes, je ne veux pas jouir tout de suite dans son cul. Doucement, alors que je le sens encore près de la jouissance par mon frottement sur sa prostate , je me retire délicatement, je vois ses yeux étonnés, ‘non reste’ dit il . Mais j’ai une autre idée, le contournant je me mets au-dessus de lui, ma bouche devant sa queue et la sienne face à la mienne, je veux que l’on jouisse en 69 l’un dans l’autre, les bites dans les bouches . Dans cette position je lui masse aussi les fesses, il fait de même, puis j’entre un majeur dans sa rosette , tout de suite il fait la même chose, mais avec le pouce, que c’est bon. Tout se fait en silence avec juste nos gémissements et nos bruits de succion . Je sens mon trou du cul dans un feu délicieux , la jouissance commence à arriver , lui aussi je le sens à ses mouvements, on accélère en cadence , de plus en plus, et puis soudain j’explose, au moment même où ses jets de foutre emplissent ma bouche, ça brûle de plaisir dans la queue et dans le cul, je continue à me vider et lui à me remplir pendant plus d’une minute , un orgasme comme on en a peu . On reste là, on s’agrippe pour préserver l’instant, on continue à sucer nos bites qui se ramollissent doucement . Bien sûr il faut bien se lâcher, je me couche sur le côté, encore haletant . Je l’entends renifler, et je vois que des larmes coulent , ‘merci’ me dit il, c’était merveilleux, j’ai adoré. ‘C’est à moi de te remercier, sans toi ça ne serait pas arrivé , c’était divin.’

A regret nous remettons lentement nos vêtements, le feu encore présent dans le bas-ventre , puis après quelques dernières caresses nous convenons à l’avenir de faire semblant d’avoir à nous emprunter des outils et nous donner un coût de mains pour nos travaux de maison respectifs . Il a une grange à retaper à l’écart du village, quel bon prétexte pour se retrouver. Je le laisse partir d’abord et je m’en vais un peu plus tard, le coeur léger, sourire aux lèvres.

nov 022023

Mon premier rendez-vous

Cela faisait si longtemps que j’attendais qu’un autre homme est envie de moi , là mes jambes flageolent un peu , j’suis pas très fier sur ce banc devant l’étang. Avec ce contact xHamster on a partagé beaucoup de cochonneries sur la messagerie , on se connait en photo, on sait ce que l’on veut et pour lui aussi c’est une première fois .

Ca y est, je vois un camping-car arriver, c’est lui .Il se gare , je m’approche la bouche sèche et puis je vois son regard, le même que le mien sans doute , il passe à l’intérieur et la porte de côté s’ouvre , allez, je rentre.

Et puis là on se regarde deux secondes et on s’enlace, sans un mot, nos bouches se collent , ma main gauche lui agrippe une fesse, la droite part tout de suite à l’entre jambe, il gémit un ‘oui’ . Il me masse aussi la queue à travers le pantalon .

Nos langues se délient ,on se déshabille en parlant.

‘Alors dis, tu vas être ma salope comme dans les messages, tu vas me bouffer le cul, me défoncer’ , dis je dans un souffle à son oreille .

‘Oh oui , et toi pareil hein ? Je veux sentir ton gland écarter ma rondelle , mais mets moi une fessée d’abord , fais moi ce que tu veux.’

A ce moment là chacun agrippe la bite de l’autre , on se caresse , on soupèse les couilles , puis il me fait sucer son majeur et glisse sa main entre mes fesses. ‘Je peux’ dit il ? En réponse je me cambre et aussitôt je sens son doigt humide sur ma rosette, il tourne doucement et appuie en continu , mon trou s’ouvre pendant que je m’active à le branler , sa queue est déjà tendue, raide, le gland humide. J’ai le souffle court , ‘tourne toi salope’ ordonne t’il , je m’exécute en me penchant sur la petite table, instinctivement j’écarte mes fesses à deux mains et je me lâche complètement en paroles ,’ prends moi, défonce moi, enfile moi ta grosse bite dans le cul’ .

Je suis offert à moitié couché sur la table ,comme une pute il y retiré ses doigts et j’entend nettement qu’il commence à prendre des photos de mon cul offert , mais ça ne dure pas, c’est maintenant une douce langue que je sens rentrer dans mon trou,une main me massant les couilles et remontant sur ma bite à moitié réveillée. Puis je remettant debout il place enfin son gland contre ma rosette humide , ça semble gros quand il pousse , je tends quand même mon cul vers lui et là miracle, d’une seule poussée il rentre tout son membre, jusqu’à ce que nos couilles se touchent. ‘Aaah , ouiiii, je couine de plaisir, quelle sensation, rien à voir avec les carottes et les concombres , c’est si doux et tellement agréable de se sentir désiré.

‘Tu aimes ça petite pute ,je te bourre bien ? ‘ lâche t’il en soufflant et en me pilonnant à grands coups de bassin . Lui souvent si discret en messagerie se libère complètement, j’aime ça, je suis pareil.

‘Oui, défonce moi, prends ton pied dans ma chatte de mec , encule ta salope’ . Je me surprends à être aussi vulgaire, mais oui , qu’est ce que c’est bon de se laisser aller.

Il commence à déjà donner les singe d’un orgasme imminent, le repoussant légèrement des mains , dans le même mouvement je me retourne et m’agenouille devant lui, bouche ouverte , langue tirée , il ‘na que le temps de saisir sa queue veinée, rouge, que je sens un premier long jet de foutre gicler directement au fond de ma bouche, puis un autre et un autre, ça ne s’arrête pas, pas une goutte dehors, son gland à moitié rentré me balance tout directement à l’intérieur , jusqu’à de que le jet s’arrête . Ses jambes flageolent ,il râlent , souffle et continue à se lustrer doucement la colonne pendant que par petites gorgées je fais descendre son foutre crémeux dans ma gorge.

Moi j’ai la bite en feu qui dégouline de mouille . ‘S’il te plait, mets toi en levrette , je n’en peux plus, donne moi ton cul , lui dis je.’

‘Oui, mais d’abord merci, je t’ai baisé comme dans mes rêves , ton trou du cul était si serré quand je l’ai enfilé, qu’est ce que c’est bon , je ne m’étais pas branlé pendant trois jours pour te garder mon sperme, là je t’ai mis la dose’

Puis il me tourne le dos s’agenouille et se met docilement en levrette, le cul bien cambré. Il a la raie bien poilue de poils noirs , je me place pour le lécher, humm, comme j’en ai rêvé , ma langue entre en contact avec son anus un peu boursouflé . J’humecte, ma langue tourne d’abord autour, puis je la pousse dedans, ça résiste un peu, j’insiste plus fort, la passage s’ouvre, j’adore cet instant, je caresse mon chibre brûlant en même temps , je sens que le plaisir ne va pas tarder. Vite j’insère en douceur un index, ça rentre facilement, je tourne un peu et fais des aller-retours , n’y tenant plus je m’agenouille et commence l’enculade tout de suite, je pousse, il fait ‘haa’ , ça résiste, j’insiste, je le prends aux hanches et donne une poussée et là ça rentre, il gémit, moi aussi, je n’ai que le temps de donner deux ou trois coups de bassin et je sens le plaisir monter, alors me retirant en comprimant ma queue je fais le tour et lui enfourne ma queue brûlante dans la bouche et j’explose , j’ai eu des milliers d’orgasmes mais celui-ci est géant ,énorme, brûlant, tout mon corps est en orgasme. Il en a profité pour me remettre deux doigts dans le cul et le plaisir est divin, incroyable, le cul fouillé , la bite vidée et encore si sensible au plaisir, je me laisse glisser à son niveau et on s’embrasse, nos bouches encore pleines du goût de nos spermes, et on continue à se caresser les queues, doigter les trous, sans vouloir nous arrêter.

Seulement trente minutes se sont écoulées pour cette première rencontre et on était pourtant hors du temps, cela a semblé une éternité . Chacun de nous à une vie d’homme marié à retrouver maintenant , nos femmes ne sont pas de grandes baiseuses, loin de là,le train va recommencer, donc dans un dernier câlin langoureux avant de sortir du camping car nous nous fixons déjà rendez-vous pour très bientôt , ça va être long quand même d’attendre.

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ICRA

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