nov 022023

Tout ce que vous voulez.

Elle m’avait dit “vous pouvez me demander tout ce que vous voulez”, vous nous avez sauvés moi et mon petit chien, je ne vous remercierai jamais assez.
C’était une période de disette sexuelle pour moi et je reconnais que j’ai lâchement profité de la situation. La veille je les avais sortis de sa voiture en feu alors qu’elle venait de percuter un arbre après une sortie de route à petite vitesse, dans la campagne déserte. Sonnée, en panique, sa portière bloquée. J’avais cassé la vitre et l’avais tirée à l’extérieur, son petit chien sautant derrière elle. Après le passage obligé aux urgences je l’avais raccompagnée chez elle et elle m’avait invité à diner pour me remercier, le week-end suivant. Nous en étions à l’apéritif quand elle m’avait fait cette déclaration.
-Je…, il n’y a pas de quoi, j’ai fait de ce que je devais.
-Non, ça me ferait plaisir de vous rendre service aussi à l’occasion, pour moi c’est important. Dit elle malgré sa timidité évidente.
Je ne sais si c’était par malice ou innocence , son chemisier léger mettait en valeur sa poitrine généreuse et le soutient gorge n’arrivait pas à dissimuler les tétons en érection. Je perçus que son regard avait suivit le mien, alors je me lançais.
- Voilà, puisque vous me proposez ce que je veux, ce n’est pas que je voudrais abuser, mais je peins, je dessine beaucoup, d’habitude d’après mes propres photos, sauf pour les nus, j’aimerais beaucoup trouver une vraie femme pour poser, mais je n’ai pas les moyens de payer un modèle. Alors,heu…, est ce que ça vous dirait de faire ça pour moi ?
Là elle prit son verre , se remit une rasade de porto et l’avala d’un trait. Le rouge aux joues elle murmura dans un filet de voix.
- Heu humm, je vous ai promis, je n’ai jamais fait ça mais d’accord, c’est d’accord. Vous êtes sûr que je suis convenable pour poser ?Vous ne m’avez pas vue sans vêtements, à vrai dire ça m’engoisse terriblement, je…, je ne me suis jamais mise nue devant quelqu’un.
-Pardon, vous avez quel âge ? Vous n’avez jamais eu de petit amis ?
Je la sentais très génée, le visage dans ses mains jointes elle fit non de la tête, les pomettes écarlates.
- C’est à dire qu’il y a dix ans, j’avais treize ans, un homme est rentré chez nous et m’a agressée, qjand j’ai crié mon père est accouru du jardin. Ca s’est très mal passé, papa a tellement frappé cet homme qu’il a dû appeler le SAMU, après papa a été condamné à deux ans de prison. L’homme restera tétraplégique toute sa vie. Alors depuis des garçons ont essayé de me séduire, mais ça me bloque, je revois toujours cet agresseur, je panique. Peut-être que si j’accepte votre proposition ça pourrait me guérir, vous croyer ?
Tout en l’écoutant mon côté pervers me soufflait de profiter de la situation, d’autant plus que je la trouvais de plus en plus exitante, timide et vierge cette pure beauté devenait irresistible,c’était probablement un peu salaud de ma part mais je lui dit.
-Je comprends tout à fait, je vais essayer de vous sortir de ce blocage, en douceur, on verra bien.
Là je commençais à broder ce qui me passait par la tête.
- En plus du dessin j’ai un projet pour répondre à un concours d’un magazine X. Bon, c’est un peu chaud bien sûr, le thème est le plaisir anal homme et femme.
Je la sentis d’abord se crisper, puis elle pouffa en mettant la main devant sa bouche.
- Ca existe ça, il y a des gens qui achètent ces cochonneries ? Oh mon dieu, mais quelle honte si je suis reconnue, vous imaginez ? Mais … , ‘ homme et femme’, vous allez photographier aussi un homme ?
Essayant de prendre un air professionnel je me voulu rassurant.
- Jamais de visage, bien sûr, ou alors juste le bas , ça je sais faire. Pour le modèle homme je n’en ai pas, alors je pensais être mon propre modèle., humm, peut-être avec votre aide..
-Vous ne seriez pas un peu coquin ? Dit elle avec un faux air de suspicion, l’oeil brillant et le sourire en coin. donc vous proposez qu’on se fasse la même chose, je prendrai des photos de vous ?
-C’est ça, c’est juste une proposition vous savez….
Tandis que je bredouillais empêtré dans cette situation scabreuse, la demoiselle s’est levée et sans un mot, me tournant le dos elle fit glisser les bretelles de sa robe légère qui flotta jusqu’au au sol, révélant un corps fin et musclé, passant les mains dans sont dos elle dégrapha son soutien-gorge, puis dans un geste fluide elle fit glisser la culotte à ses pieds. Je l’entendis exaler au moment où se cambrant elle posa les mains sur ses petites fesses plates naturellement écartées, qui laissaient apparaître l’oeil brun de son anus.
-Ca vous plait? Entendis je dans un brouillard, pendant que je déglutissais, les yeux rivés sur cette merveille.

A suivre…

nov 022023

Station service

J’aime voyager de nuit , vivre la nuit. Une heure du matin sur l’A71 . Un seul camping car sur le parking de la station . En roulant j’ai eu des pensées érotiques et ma queue est comprimée, bander en conduisant c’est dérangeant. Je rentre, un type accoudé boit son café, je le vois sourire en regardant la bosse de mon entre-jambes. Bon, ma boisson chaude attendra que j’ai soulagé mon envie de pisser. Comme je suis un garçon propre je me lave les mains d’abord et puis j’aime bien le parfum de ces savons d’autoroute, je me tamponne aussi le visage d’eau chaude. Les mains encore mouilées je passe à l’urinoir , au moment où je sors ma queue gonflée j’entends la porte. L’inconnu au café se place à côté de moi au moment ou mon jet de pisse éclabousse la faïance. Je tiens mon zob de la main droite, comme il s’est placé à ma gauche il a une vue directe sur l’engin.
-Salut, grosse envie, hein, ça pressait . Dit il, baissant sa braguette en faisant un clin d’oeil, tandis que je le regardais .
-Oui, ça soulage. Fis je un peu gêné , le membre cette fois ci complétement raide.
-Bah mon cochon, pas besoin de la tenir , t’as la bite au garde à vous ! Ah,ah.
-Heu, désolé, ça me fait ça la nuit, surtout en voiture.
Déjà mon jet diminuait et je percevais à la limite de mon champ de vision que mon voisin secouait sa nouille pour les dernières gouttes.Pendant que je pressait mon prépuce pour la même raison, l’inconnu se mit à genoux,il prit doucement ma queue d’une main , plaça ses lèvres sur mon gland et je sentis sa langue frétiller sur le dessous. Surpris et un peu paniqué je ne réagis pas.
-Dis donc, t’es tout chose, ça t’embête que je te suce ?
J’avais le rouge aux joues, les mots ne venant pas je secouais juste la tête pour dire non.
-T’inquiète pas, viens, suis moi, j’ai un camping car, je vais te présenter à ma femme.
Rentrant difficilement ma bite dans le pantalon, je le suivis . A une vingtaine de mètres des pompes une femme fumait devant l’imposant véhicule.
-Ma puce, regarde, je me suis fait un nouveau copain, il a un petit soucis.
Sans gêne il mit sa main en coupe sur mon entre-jambe et secoua un peu pour exposer ma bosse, son autre main se posant délicatement sur mes fesses.
-Heuu, c’est quoi le plan ? Vous draguez sur l’autoroute ? Dis je sans repousser les attouchements.
-T’as l’air timide toi, je m’appelle Alice. Dit elle avançant d’un pas elle posa sa main sur mon autre fesse tout en me déposant un léger baiser sur les lèvres, puis avec un joli sourire elle me prit la main et m’entraina à sa suite dans le véhicule.
-Moi c’est Romain fit la voix de son compagnon en fermant la porte derrière nous.
Je me laissais guider , appréciant la situation que j’aurais pu avoir comme phantasme. J’adore la baise sous toutes ses formes, mais c’est vrai que mes expériences sont limitées.
-Moi c’est Jean. Leur dis je, tandis que les deux commençaient à me caresser un peu partout.
-Pfff, fait chaud dit elle en enlevant son t-shirt et en laissant glisser son short. Seins menus aux aréoles gonflées avec de beaux tétons assez longs. Hanches larges et ventre plat, un beau buisson noir rasé juste autour de la vulve dont s’échappaient des petites lèvres pendantes. Elle m’attrapa la tête à deux mains et colla sa bouche sur la mienne, sa langue m’envahit et tournoya, je lui rendis son baiser .Je l’attirais par la taille alors que les mains de Romain retiraient mon pantalon, mon slip et mes chaussures. Ma bite s’était gonflée et les poils d’Alice m’irritaient délicieusement le gland. En quelques instant nous fumes nus tous les trois. Ils me prirent chacun par une main et m’attirèrent vers le grand lit au fond du véhicule.
Regarde nous! Fit alice, qui décidément semblait diriger la situation.
Elle se mit alors en levrette sur le lit, suivit de Romain, les deux s’écartant les fesses. L’anus rosé et un peu boursouflé de Romain contrastait avec le cratère brun et ridé d’Alice. Vue leur complicité je devinais ne pas être le premier à profiter du spectacle.
-Dis, tu nous lèches les p’tits trous, tu aimes ça ? Sussura-t-elle en se cambrant encore plus.
Sans répondre, posant une main sur chaque fessier je commençais par plonger ma langue dans le trou de madame. Un gémissement de plaisir se fit entendre, en même temps je frottais délicatement le bourlet anal de monsieur, puis je fis à chacun le gâterie inverse, profitant de la salive pour pénétrer Alice de l’index. Le trou de Romain était étonnamment souple, il s’écarta de suite sous la caresse, celui là se faisait prendre le cul quotidiennement par de gros calibres, sans aucun doute. Je me laissais aller à un de mes plaisirs et appliquais une bonne claque sur chaque fesse, les quatre claquements suivient chacun d’un gémissement et d’une cambrure. Bonne inspiration, ceux deux là aimaient les fessées.
Le souffle court et la voix rauque Alice ordonna.
- Jean , crache sur ton gland et enfile moi ta bite dans le cul ! Romain, passe derrière lui et lèche lui bien sa rosette !
Je me mis en position, l’oeil brun du cul offert me défiait, crachant de la salive directement dessus j’y posais mon gland, je n’ai pas eu à pousser beaucoup qu’il fut englouti. Alors que je sentais deux mains écarter mes fesses, celles d’Alice vinrent à la rencontre de mon zob tendu, puis la délicieuse sensation d’une langue humide et frérillante envoya des ondes dans l’arrière train. Il me fourrait maintenant un doigt dans la caverne et ma queue était litéralement tétée par la pompe anale de madame, je lui frottais les tétons de ma main libre. quand je sentis que mon plaisir risquait d’arriver je me retirais, laissant palpipter ma queue et vidant mon esprit pour ne pas exploser. Romain repassa à côté d’Alice.
-Je me retiens .Dis je en fourant trois doigts dans les trous ouverts . Je les vis s’embrasser. Le bout de mes doigts sentaient une crotte dure descendre dans le rectum d’Alice.
-Romain, viens mettre tes mains , je chie ! Dit elle sans gêne.Se relevant aussitôt il vient en effet mettre ses mains en coupe sous la croupe de sa femme et alors que je retirais mes doigts une grosse crotte de la taille d’une belle cougette fut explusée, verte, sans odeur désagréable. Romain semble-t-il habitué à la chose colla aussitôt sa langue sur le trou à moitié ouvert et lustra toute la zone goulument. Alice se retournant contempla avec un sourire innocent le fruit de ses entrailles.
-T’as vu ça comme je suis en bonne santé ! J’adore qu’on me regarde faire caca, ça t’a pas plu ?Dit elle en fixant ma queue débandée.
- Bah, c’est que…, je n’ai pas l’habitude, c’est nouveau. Je bafouillais, un peu gèné et excité à la fois, j’entrais dans un monde inconnu.
Romain alla déposer l’étron dans les wc, se lava les mains et quand il revint, grand sourire, la queue dressée , Alice était en train de pomper la mienne en me caressant la rosette. Son doigt trouva le passage et elle l’enfonça en entier. Quelle sensation délicieuse ! Romain collé derrière moi m’enlaça en me caressant les tétons, que je découvris très sensibles. Je sentais sa bite frotter sur le haut de mes fesses. Envahi de jouissance douce je fermais les yeux, complétement livré à leurs attouchements, prêt à tout subire .
- Jean s’il te plait, tu veux bien faire plaisir à mon Romain et le laisser te prendre ? La voix douce me parvenait comme dans la brume, un deuxième doigt était entré dans mon anus, puis un troisième, je ne me connaissais pas cette souplesse anale. Je hochais simplement la tête et toujours debout je me cambrais pour m’offir au dard qui descendait sur ma raie. Arrivé devant mon orifice il attendit que les doigts se retirent et aussitôt, d’un seule poussée je fus empalé, le chibre chaud rentra dans les entrailles. Je posais mes mains sur les épaules d’Alice qui me suçait avec tant de délicatesse, son compagnon m’enculant lui aussi avec douceur. Je découvrais ce nouveau plaisir avec étonnement et satisfaction. J’avais imaginé bien sûr dans mes rêves ce genre de situation, sans jamais l’avoir réalisée. Quel merveilleux cadeau du destin, à quelques mètres des voyageurs nous frôlaient sans savoir. Romain excéléra la cadence, ses mains m’agrippaient les hanches de plus en plus fort, Alice le sentit et cessa de me sucer pour m’appuyer délicatement sur le dos, m’invitant à me pencher sur le lit, les fesses désormais en l’air. Les coups de butoir me martelaient le cul, puis un plus fort que les autres m’annonça la première giclée, suivirent des pauses et de grands coups de reins accompagnés des grognements de jouissance du male qui finissait de me posséder, Il resta planté en moi un bon moment, Alice m’avait introduit plusieurs doigts dans la bouche, que je suçais avidement. Quand Romain commença à se retirer sa compagne se mit à genoux derrière moi, dès que la queue poisseuse s’extirpa je senti la bouche de la coquine se plaquer sur mon anus qu’elle étirait de chaque côté pour le garder ouvert. Je perçu l’écoulement du foutre hors de moi, sensation inconnue d’une diarrhée de sperme. Le flot fini par se tarrir, une langue fit le tour de ma rondelle pour récupérer chaque goutte, alors Alice se leva, me fit redresser, me prit le visage à deux mains et colla sa bouche sur la mienne, sa langue força le passage et dans son baiser elle me partagea tout le contenu de l’éjaculation de Romain. Elle appuya tendrement sur ma machoire pour fermer ma bouche, comprenant son désir je déglutis, avalant en plusieurs gorgées tout ce qui venait de sortir de mon rectum mélé à la salive d’Alice. Me tirant alors par la main elle m’entraina sur le lit, se remit en levrette.
-Prends moi d’abord en bas et termine en haut, prends ton temps, lime moi à fond !
Ses petites lèvres luisantes flottaient , pandouillaient et sa rosée dégouillinait goutte à goutte. De mon gland je séparais ses ailes de papillons et entrais dans son sauna vaginal, la queue serrée et pourtant glissant facilement tant il y avait de mouille.Ce n’est pas moi qui la pénétra, c’est elle qui m’avala, poussant du bassin, telle une plante carnivore son sexe happa le mien et ses contractions me masturbaient comme une main de fer dans un gant de velour.
-Ah,attends ! dis je alors que je présentais mon plaisir arriver. Elle compris, sans un mot la pression sur ma queue diminua, Alice glissa légèrement en avant, libérant ma queue gluante, passant une main derrière, d’un geste sûr elle prit mon membre et s’encula elle même en se l’enfonçant dans sa belle rosette brune et souple. Elle m’avait dit de faire durer, mais je n’en pouvais plus d’attendre, je m’activais dans son cul quelques instants et un éclair de jouissance grandit depuis mon périné et mon anus tant sollicité, le plaisir brûlant explosa dans toute la zone et comme de la lave en fusion irridia des couilles jusqu’au gland quand des jets de sperme fusèrent en de multiples spasmes. Les râles de jouissance d’Alice me parvenaient dans le lointain, elle aussi prenait son plaisir, les tremblements de ses cuisses et de son bassin ne laissaient pas de doutes.Je n’ai pas souvenir d’avoir eu meilleur orgasme. Il y en a des bons, des très bons, mais là le niveau de jouissance, dans tout mon corps, a été d’une intensité jamais égalée avant ni depuis.J’étais en sueur, je me couchais sur elle, toujours planté dans ce cul dans lequel je semblais soudé, ma queue ne débandant pas.Les mains de Romain caressaient nos corps.
-Romain, sur le dos! Ordonna Alice.
Obéissant, Romain vint se coucher à côté de nous. Alice délicatement me fit sortir d’elle et dans le même mouvement vint s’accroupir au dessus du visage à la bouche déjà grande ouverte.Je vis alors ma semence couler de l’anus à la bouche, la langue vint à la rencontre de l’orifice et comme elle tout à l’heure avec moi Romain lécha chaque coulure, rentrant sa langue profondément, les deux souvourant cet instant si intime. Alice se glissa sur le corps de son amant soumis et bouche à bouche dans un long baiser ils partagèrent la dégustation de mon sperme.Le spectacle était torride et terriblement sensuel. Leur étreinte n’en finissait pas, si bien que sans faire de bruit j’enfilait mes vêtements.Quand je posais la main sur la poignée de porte je vis le sexe dressé de Romain se faire avaler par le mont de Vénus d’Alice, ces deux là ne me captaient déjà plus. Un dernier regard et silencieusement je sortis du véhicule. L’air frais de la nuit me ramena à la réalité, je me dirigeais presque à regret vers ma voiture, en serrant dans ma main le courrier publicitaire avec leurs noms et leur adresse que j’avais ramassé sur la pile de courrier près de la porte.
nov 022023

Vengeance S. M. .

Ca sonne. Elle ouvre la porte.
-Oui bonjour, c’est pour quoi ?
-Ta gueule pouffiasse ! Fit l’homme en la poussant violemment pour renter après elle dans la maison, en claquant la porte.
-Aaah ahhh, hurla Mme Dubois, Sylvie de son petit nom. Vous êtes fou, arrêtez ! Sortez de chez moi !
Perdant à moitié l’équilibre elle se retourna pour essayer de fuire, chutta et continua de manière grotesque à quatre pattes, quand la main puissante de l’homme lui tira les cheveux, l’autre main agrippant l’entre jambe entre les cuisses écartées, saissisant la vulve épaisse . Sylvie tenta de crier encore, mais seul un filet de voix filtra dans un gargouilli. La forçant à se relever, cheveux et chatte bien en main , il la mena dans le salon.
-A genoux sur le canapé salope , baisse tout, cul à l’air et ferme ta gueule ou je te la défonce !
Espérant calmer l’agresseur elle obtempéra, mortifié et tremblante.
- Oh non, pas mon anus ! Cria-t-elle instinctivement quand un doigt humide commença à lui pénétrer l’orifice, puis d’une seule poussée brûlante investit son rectum. S’en suivit un long gémissement , tandis que les larmes commençaient à couler.
- Ahhh, s’il vous plait, ne me faites pas mal et je ne crirai pas. Dit elle dans l’espoir de calmer le monstre.
-La salooooope , mais c’est pas vrai, j’ai le doigt dans la merde ! Sortant son doigt souillé d’excréments il le frotta sur les narrines de sa victime, grimassante et honteuse.
-Pitié, pas ça . Je dois…je dois aller aux toilettes, c’est urgent.
-Allez morue, debout, vas chier, avance !
La prenant par les cheveux il la laissa se précipiter vers les wc à quelques mètres, mais tandis qu’elle s’assayait , lui refusant toute intimité il lui plaça son sexe raide dans la bouche . Ne pouvant plus se retenir elle laissa exploser un mélange de gaz et de matière nauséabondes.
-Pouhaaa, mais t’es dégeulasse !
Il recula dans le couloir, alors que Sylvie , tremblante, commençait à s’essuyer.
-Ca suffit, debout, à la douche !
-Il l’attrapa à nouveau par les cheveux , jusque dans la salle de bain attenante.
-A poils salope, rentre là-dedans ! Fit il en la poussant dans la cabine. Tu ne te souviens vraiment pas de moi vieille salope ?
-Co.. comment, qui êtes vous? Je ne vous connais pas !
T’as oublié le p’tit Nico vieille truie ? C’était chouette hein de faire famille d’acceuil pour les pauvres gosses qui fermaient leurs gueules. Moi j’me souviens bien quand tu me planquais là,derrière le canapé ,quand tu te faisais troncher par tous tes amants, après quand ils étaient partis j’devais lécher ta chatte poisseuses jusqu’à ce que ça ne coule plus.
Raide et grelotante dans la douche Sylvie était dabord devenu blème, puis de plus en plus rouge, jusqu’à devenir écarlate, sa machoire inférieure tremblait quand elle articula.
- Nicolas, oh non, Nicolas, je…, pardon, pardon, ça fait au moins 20 ans ,je… j’ai changé , oh mon dieu
- Laisse le bon dieu où il est, il m’a jamais entendu quand je l’appelais au secours. Maintenant lave ton cul, ta chatte aussi, tiens lave tout , récure toi , t’es aussi dégeullasse en dedans que dehors !
-Sylvie retrouvant ses insticts lubriques se décida à jouer le jeu. Consciente de la rage justifiée de Nico, elle n’avait d’autre choix que de limiter sa colère en essayant de le charmer ou du moins de l’amener à la voir comme un objet de plaisir et non de vengeance. Laissant d’abord l’eau couler sur son corps , elle se savonna abondamment .Cambrant sa croupe, massant ses seins pour faire durcir ses longs tétons, frottant ses orifices. Tout cela sans un regard pour Nico, qui lui dès le début avait commencé à enlever ses vêtements, Jambes écartées il astiquait son sexe en ne perdant rien du spectacle. Tandis que Sylvie lui tournait le dos il s’approcha et lui appliqua une violante claque sur la fesse droite. Le jouflu charnu se déforma sous le choc, le cri de Sylvie suivit le bruit de la claque mouillée. La marque de la main commençant aussitôt à rougir.
-Aïeee, ça fait mal fit elle en se retournant. Aussitôt une gifle suivit d’une deuxième la fit taire, alors que croisant ses bras en protection devant son visage aux lèvres tranblantes, des larmes commençaient à couler.
-Ca c’est le millième de ce que tu m’as fait , ordure, les baffes, le martinet et les coups de pieds, tu t’souviens ? Allez, sort de là ! Dans la chambre !
Obtempérant, tête baissée elle s’exécuta, il la suivit, admirant ses belles miches généreuses, avec une légère culotte de cheval. Nico reconnut la pièce, presque identique à ses souvenirs. Sur la droite il apperçut le coffre. Cette grande caisse où Sylvie entreposait ses objets de dépravation sexuelle.
-Mets toi sur le lit, en levrette comme t’avais l’habitude quand tu m’faisais lécher ton trou du cul et le foutre qui te sortait de partout !
Obéissante Sylvie fit une pose la plus impudique possible, jambes très écartées, cambrée au maximum . elle savait l’effet produit sur ses amants. CHLACC ! Un trait de douleur lui traversa les fesses quand le martinet s’abattit sur son cul. Nico y avait mis toute sa force et plusieurs filets de sang perlèrent aussitôt. Sylvie lacha un cri aïgu tandis qu’elle se projetait en avant en plaquant ses mains sur le feu qui lui envahissait l’arrière train.
-Ohhh, tu m’as fait vraiment mal, s’il te plait, arrête !
Nico ne l’écoutait pas, fouillant dans le coffre il sortit plusieurs objets.
-D’abord tu vas fermer ta gueule et te remettre en position, j’te préviens, si tu n’obéis pas tu vas danser !
Lentement, en sanglotant, Sylvie repris la pose, cette fois ci sans faire de zèle, genoux et fesses serrés. Nico sans ménagements lui écarta les cuisses et lui appuya sur les reins . La raie du cul ainsi ouverte il cracha plusieurs fois sur la rondelle brune et ridée , puis il choisit un gros plug anal en acier et le planta sans ménagement dans la rosette .
-ARRRGGG, gémit la victime alors que le trou du cul cédait sous la pression.
-Pas comme çaaaa , tu m’déchires ! Fais moi tout c’que tu veux , mais arrête de m’faire mal s’il te plaît ! Nico, pardon, pardon, pardon. J’étais un garce, c’est vrai, j’tai fait souffrir, j’suis désolée, pitié.
-Nico insensible aux prières retira brusquement l’objet et l’enfonça à nouveau, plusieurs fois , savourant sa domination. A présent le trou restait ouvert et Sylvie sursautait encore, mais ne criait plus.
-Maintenant tourne toi salope ! A toi de me lécher l’cul !
Nico présenta ses fesses écartées à deux mains et il sentit aussitôt cette sensation merveilleuse d’une langue sur sa rosette. Volontairement il ne s’était pas essuyé après avoir vidé son rectum le matin.
-Pouhaa, non je ne peux pas, c’est trop sale, j’ai envie de vomir ! Fit Sylvie après le premier coup de langue.
Se retournant vivement Nicos lui envoya deux baffes magistrales, puis lui agrippant les cheveux il lui grogna à l’oreille, dents serrées.
- Tu lèches ou j’te défonce vraiment la gueule et j’tenfonce les ciseaux dans la chatte et le cul et je coup ! Allez !
Les cheveux en bataille, des larmes inondant ses joues marquées par les claques, Sylvie approcha sa bouche de la raie à nouveau tendue. Fermant les yeux , à petits coups de langue elle commença à nettoyer l’orifice dégoutant. Passant un main derrière lui Nico plaqua le visage entre ses fesses.
-Rentre te langue, tourne, astique et avale. C’est ça, continue, rentre au maximun salope ! Lèche bien ma merde comme j’ai lécher la tienne, tu t’souviens ? T’arrête pas jusqu’à c’que j’te l’dise!
Savourant ce qu’il attendait depuis si longtemps il la laissa lécher pendant cinq minutes, jusqu’à ce qu’il sentit le besoin d’expulser un énorme pet tandis qu’il lui maintenait le visage plaqué contre son cul à deux mains. Sylvie essaya sans succès d’échapper à cette nouvelle humiliation, sans toutefois le frapper de peur des représailles. Alors Nico la libéra ,se retournant, la queue raide, le gland luisant de mouille, la regardant avec satifaction. N’osant ni parler ni bouger, Sylvie gardait la tête baissée , au bord de la nausée à savoir ce qu’elle avait dû déglutir et respirer. Alors elle misa pour une participation active, dans l’espoir encore d’apaiser la colère de Nico.
- Bon, d’accord, j’ai bien mérité ta vengeance , fais moi tout ce que tu veux, prends ton pied, punis moi comme j’le mérite !
-T’inquiète ma grosse, tu vas encore déguster.
-Oui, sort la salope qui est en moi. Regarde cette belle queue que tu as maintenant, fourre la moi partout, pisse moi dessus et pire si tu veux, j’prends tout !
-O.K. ,debout, on va dans la cuisine.
-Tandis qu’elle le précédait dans le couloir il lui claqua le cul, puis lui glissa encore un doigt dans la rondelle pour la faire avancer, il la fit monter sur la table, sur le dos, cul en l’air, jambes relevées vers les épaules, complètement offerte. Il farfouilla alors dans les placards et dans le frigo. Entonnoir, légumes, bouteille d’eau, beurre; Sylvie, observait les objets s’accumuler à côté d’elle, soulagée de ne pas y voir de couteaux. elle allait déguster, mais sa vie ne semblait pas en danger. Nico débala la plaquette de beurre puis la frotta directement sur sa rosette, c’était froid mais pas désagéable.
-Humm, tu vas me faire des cochonneries, hein, t’aimes ça t’occuper de mon cul ! Fit elle d’une voix basse et rauque.
Nico pris l’entonnoir, enfonça deux doigts dans le petit trou, les écarta et glissa l’embout de l’ustensile au maximum. Sylvie le cul toujours en l’air, Nico commença à verser le contenu de la bouteille de deux litres dans le rectum.
-Pfff, tu ne vas pas tout mettre au moins ?
-Si,si. Fit tranquillement Nico , qui laissait doucement l’eau pénétrer sa victime. Quand l’eau arrivait au bord Nico attendait que des bulles remontent, puis il remplissait à nouveau. Il voyait à la vulve humide de Sylvie que cette garce appréciait la situation. Les poils luisant de mouille, les petites lèvres poisseuses , le clito gonflé ne laissait pas de doute. Alors que la moitié du liquide s’était vidée dans le rectum il rentra le goulot de la bouteille dans la chatte béante, jusqu’à la dernière goutte.
-Bouge pas la truie, reste comme ça !
Il monta sur la table, à moitié accroupi au dessus du visage de Sylvie qui découvrit sa raie très poilue et ses couilles pendantes . Après quelques secondes de concentration, le bout de la queue sur l’entonnoir,Nico lacha un jet puissant de pisse, jusqu’à ce que ça déborde et dégouline sur le ventre, la poitrine et le visage de Sylvie. Il s’accroupi vraiment et introduisant sa bite de force dans la bouche, il finit de se vider. Sylvie toussa, cracha , mais Nico lui tenait le visage à deux mains, puis il s’assit complétement , l’emprisonnant avec ses fesses. Il arracha l’entonnoir et commença à la fesser rudement, de grosses claques bruyantes sur chaque fesse. A chaque coup de petits geyser sortaient de l’anus. Quand le fessier fut d’une couleur camion de pompiers, il libéra sa victime. Sans un mot Sylvie se mit debout, une main entre ses fesses elle partit vers les wc, mais la pression étant trop forte elle se vida presque complétement avant d’arriver,libérant un liquide teinté et mélé de matières,dans des éclats de rire de Nico.
-Alors vieille peau, on se chie dessus !. Dit Nico en la suivant , tout en se masturbant.
Sylvie assise sur les toilettes, coudes sur les genoux et visages dans les mains, sanglotait doucement, des jets de liquide jaillissaient encore de sa rosette.
-Alors j’ai été sage, tu as eu ce que tu as voulu?
Nico, jambe écartées , vient se placer devant elle, sa main coulissant lentement sur son dart dressé. De l’autre main il attrapa les cheveux et releva la tête de Sylvie.
-Ouvre la bouche morue !
Elle obéit, bouche grande ouverte, langue sortie. Nico accéléra sa branlette, frottant quelques instants ses couilles sur le visage inondé de larmes , puis respirant et branlant de plus en plus fort il fourra son gland écarlate sur la langue,accompagné par de grands coups de bassin, dans un râle il expulsa de grands jets de foutre épais. Sylvie crut boire la tasse, une quantité impressionante de sperme semblait remplir sa bouche. Il se retira et frotta son gland poisseux sur le petit nez de sa victime.
-Ahhhh, maintenant avale ! Dépêche !
En quelques gorgées et déglutitions la semence fut bue jusqu’à la dernière goutte. Les yeux rivés sur la queue à moitié débandée ,Sylvie tentait de refouler ses craintes pour la suite.
-Bon, maintenant écoute moi bien la pute, à partir de maintenant je passerai quand je veux, j’vais t’sauter, t’enculer et t’faire toutes les saloperies possibles, t’as compris ?
Sylvie à la fois soulagée que son présent supplice se termine et effrayée par ceux à venir, hocha la tête; résignée. Toutes constestations auraient été du suicide. Elle savait bien qu’elle n’avait pas d’autre choix que de se plier aux ordres, Nico avait les moyens de faire ressurgir le passé et de la faire condamner lourdement. Elle resta là, n’osant bouger, tandis que Nico ramassait et enfilait ses affaires. Toujours assise sur le trône quand la porte d’entrée se ferma.
nov 022023

Cocu en colère

A. , ma douce amie et femme de J.C. , m’a donné à vivre les meilleurs scéances de cul de mon existence .Epanouie comme peuvent l’être les femmes sexy de plus de 50 ans , cul, chatte, seins, tout en elle était offert généreusement et j’en ai profité tant que la vie nous l’a permis. Mon penchant pour la rondelle, la rosette, le p’tit trou, le cratère anal, bref , le trou du cul, a été comblé de multiples fois . elle était comme ça, généreuse et soumise, sans chichi, jamais grincheuse et bonne jouisseuse.Je la retrouvais pendant les déplacement de JC., c’est à dire souvent. Quand elle m’attendait notre jeux était que je rentrais dans la maison sans sonner et en silence, elle patientait dans la chambre, nue et en levrette, un bandeau sur les yeux et dos à la porte.Sans bruit j’ôtais mes vêtements et sans la toucher je présentais ma queue raide à l’entrée de son vagin ,que je voyais toujours humide et parfois dégoulinant de mouille. Juste un frisson et une aspiration d’air accompagnaient le cambrement de sa croupe , douce même dans le délire hérotique. Tout en la pénétrant lentement je laissais alors glisser de grosses goutes de salive jusqu’à sa rosette brune et d’un pouce je massais l’orifice, en tournant d’abord , puis invariablement le doigt s’enfonçait dans le puy, bien au chaud. Alors invariablement nous commencions nos dialogues vulgaires, d’autant plus excitant que nous étions d’ordinaire extrèmement polis et courtois.
-Ahhh, salopard, t’as encore envie de m’enculer, hein ? Mon gros cul de vieille salope t’excite, ta queue me ramone la chatte mais t’en veux plus petit dégueulasse !
- C’est ça vieille pute, j’vais t’dilater les trous, tiens, j’te file deux doigts dans le panier à crottes, prend ça !
Là , crachant à nouveau sur sa rondelle je glissais mon majeur à côté le l’index, forçant la résistance de son sphincter, la douleur légère lui arrachant un gémissement. Alors à travers les fines parois de son vagin et de son rectum mes doigts massaient ma queue à chaque allé-retour.
- Putain c’est bon ,fit elle a travers ses dents serrées. Continue, mets m’en trois !
Alors l’annulaire fit sa place, lui ouvrant encore plus le trou du cul. La mouille de sa moule provocant des bruits mouillés à chaque fois que mon bassin s’écrassait sur son cul. Ses seins ballotaient et de ma main libre je lui pétris l’un et l’autre, roulant les tétons entre mes doigts, puis ma main remonta jusqu’à sa fente trempée, trouvant le clito en érection, je frottait et lui donnais de petites tapes. Elle était à présent baisée, enculée et branlée en même temps, je suais abondamment, elle aussi avait le dos luisant. Nous ne parlions plus, juste nos gémissements de bêtes en rute occupaient l’espace. Ses reins cambrés à l’extrème annonçaient l’arrivée de son orgasme , je la laissais venir, alors son cri s’étouffa dans l’oreiller et ses cuisses commencèrent un tremblement incontrolé, pendant trente seconde elle fut comme électrocutée. Alors je laissais venir mon plaisir, sortant de sa chatte tout en gardant mes doigts dans son cul, je viens placer mon sexe luisant de sa mouille devant sa bouche, elle l’ouvrit en tirant la langue et en même temps je sentis le délice d’un de ses doigts me pénétrant la rondelle, là je lâchais tout, une succession de jets de foutre lui remplit la bouche, plus je me branlais, plus ça sortait, son doigt me pillonant l’anus ajoutait un plaisir intense et finalement je plongeais ma queue au maximum, sa langue me lécha les couilles un moment, puis complètement vidé de ma semence je la libérais, elle suça le doigt sorti de mon cul et me couchant près d’elle nous nous embrassames pour partager nos fluides.
Une autre fois elle me proposa de ne pas nous laver jusqu’à notre prochaine rencontre, deux jours plus tard .
-Je veux que nous nous connaissionst encore plus intimement , nous allons aussi apprivoiser nos côtés honteux, ce que nous ne partageons avec personne, d’accord?
Par jeux ou par défis j’acceptais , moi qui me douche deux fois par jour et qui fait la chasse aux mauvaise odeurs je me demandais bien comment j’allais vivre cette expérience. Nous étions fin juin, la chaleur était étoufante , les deux jours à transpirer et à évacuer mes déjections m’avaient laisser une impression de clochardisation, j’hésitais d’abord à la rencontrer dans cet état, mais elle vint chez moi en avance, j’étais piégé.Nous nous embrassames avec le goût de notre dernier repas entre les dents.Je l’enlaçais et bien sûr nos vêtement volèrent rapidement à travers la pièce. elle commença à me donner des petits baisers sur tout le corps, respirant mes aisselles, écartant mes fesses et me décalotant. Gêné comme jamais je l’entendais inspirer bruyamment , le nez dans mes parties intimes elle léchait tout , puis elle monta sur le lit et se mit en levrette. J’étais malgré tout très excité, la queue raide.Aimanté par son superbe cul j’y plongeais le visage, l’odeur de pisse fut la plus forte, mais je n’y prêtais pas attention, ma langue commença à lui lécher l’anus, là un goût aigre agressa mes papilles, je continuais pourtant, nullement indisposé, cette découverte de la saleté corporelle me donna encore plus de désir. Elle se cambra au maximum et je descendis lui lécher la fente odorante, instant dans les plis, léchant l’entrée du vagin distribuant des effluves fortes et un goût acide.La petite garce gémissait, je m’occupais alors de ses pieds. elle avait dû marcher en sandales les deux derniers jours, quand je pris chaque orteil en bouche je sentis de la matière sur ma langue, mais je m’appliquais à tout nettoyer, je me sentais en mission , je devais la rendre propre intégralement, comme elle venait de la faire avec moi. Quand j’eu terminé je lui mis même deux doigts dans la rondelle et les fis tourner dans son rectum, puis tandis que je plongeais ma bite dans son cul je lui fis tourner la tête pour qu’elle me regarde sucer mes doigts. J’étais comme ivre de cette nouvelle luxure, j’en voulais encore plus. La petite cochonne venait de réveller une nouvelle partie de moi.

Bon, je vous saoule sans doute avec ces détails scabreux .C’était pour vous signifier la fusion qui nous à unis quelques temps, une complicité totale. Ce qui devait arriver arriva. Un jour où J.C. devait être loin en déplacement j’avais rejoint Annie, nous nous donnions du plaisir, elle offerte en levrette et moi faisant des aller-retours dans ses orifices. Tout à mon action, les mains crispées dans la chair de ses hanches , je limais, je pilonnais, je percutais son fessier avec des gémissements rauques. Tandis que mon plaisir s’annonçait je senti une main glisser sur mes fesses , puis j’en vis une autre se glisser entre les miennes sur la croupe d’Annie en même temps que la voix de Jean-claude murmurait à mon oreille.
- Continue, ne t’arrête pas.
Malgré le choc de la surprise j’intégrais aussitôt la situation, je continuais mes coups de piston, puis ce fut Annie qui compris qu’une troisième main la caressait.
- Ahhhh, chéri, tu es là , ahhhh, regarde , tu aimes qu’il me prenne devant toi ? Ahhhh.
Quelle heureuse surprise. J’avais ce sentiment de trahison qui me rongeait depuis le début et ce voile gris s’envolait soudain. J’avais l’impression que mon sexe devenait plus dur et volumineux, cette nouvelle complicité me redonna de la vigueur, où peut-être était-ce le doigt de J.C. tournant sur ma rosette puis y pénétrant tandis que son autre main glissait entre les cuisses de sa femme.

Là s’arrête la rigolade, je me suis senti soudainement projeté sur le côté en même temps qu’un coup violent sur la tempe m’assomait à moitié . J’entendis le cri étoufé d’Annie quand, s’étant retournée elle prit le coup de poing de Jean-Claude dans le ventre. Mes mains furent tirées dans le dos, solidement attachées et reliées à mes pieds , avec une corde qu’il avait dû préparer. Ma queue palpitante encore du plaisir avorté et le goût de la rondelle d’Annie encore sur ma langue , je vis Jean-Claude, le visage ravagé par la colère et la jalousie, baisser son pantalon et son caleçon , il agrippa alors mes cheveux et m’ouvrant la machoire d’une main il plongea sa bite encore molle dans ma bouche.
- Tu me mords, tu meurs, suce ! Grinça t-il l’air mauvais.
Alors, persuadé qu’il tiendrait promesse, pour la première fois de ma vie je commençais à sucer, une bite, un zob, une queue, un chibre, un braquemar, etc, tous les noms me passaient par la tête et je sentis l’engin grossir rapidement, ma langue tournait autour du gland,dessous aussi, comme j’aime qu’on me le fasse. Après environ deux minutes c’est un pilon qui me ramonait jusqu’à la glotte, me donnant des hauts le coeur. Alors il me libéra et retournant Annie sur le ventre , à deux mains il tira sa croupe à lui et sans ménagement il lui enfila le vagin d’un seul coup de reins, arrachant un cri aigu.C’est peut-être ce cri qui lui fit perdre la tête, pour la faire taire il plaça ses mains sur le coup fragile et commença à serrer. Annie s’agitat, se débatit. Dans l’action le sexe de Jean-claude glissa et pénétra l’anus de sa compagne. Les coups de reins d’Annie n’étaient pas sexuels, mais une vaine tentative pour tenter de sauver sa vie. Jean-Claude piolonnait sauvagement et je criais.
- Arrête, mais arrête, tu vas la tuer !
Puis je n’entendis plus les plaintes, je ne vis plus de ruades, Annie comme une poupée de chiffon le réagissait plus. Jean-Claude s’en apperçut aussi et sorti de sa victime au moment même ou sa jouissance explosait. Debout,hirsute et soufflant comme un boeuf il laissa jaillir de longs jets de foutre , arrosant et contemplant sa victime, l’air hagard , réalisant soudainement ce qu’il venait de faire. Il tenta tout, bouche à bouche, massage cardiaque, mais je voyais bien à l’angle de la tête que des vertèbres avaient été brisées, Annie était morte.
Jean-claude en état de choc, quitta l’appartement,pantalon encore baissé, me laissant attaché à côté du corps. Je l’entendais descendre l’escalier en répétant ” j’ai tuée ma femme, j’ai tuée ma femme….” . Après quelques minutes une voisine entra dans la pièce, poussa un hurlement et ressortit aussitôt, j’attendis un quinzaine de minutes et des policiers entrèrent . J’ai bien sûr une honte qui ne me quittera jamais, Jean-Claude est en prison en attente du procès, mais j’ai entendu dire que des psychiatres pourraient le déclarer irresponsable au moment des faits. En ce moment je finis mes cartons, demain je pars loin, très loin, sans douter qu’Annie et Jean-Claude seront du voyage à jamais dans mes nuits de cauchemards.

nov 022023

Je suis une vilaine.

Merci à mon chéri de me laisser utiliser sa page. Je suis B.A. ,sa petite puce , son objet docile , ma grotte, ma caverne et mon fourreau sont à lui 24/24 h. . J’ai lu quelques belles cochonneries ici , c’est bien lui de me faire mouiller avec des mots . D’abord pour me situer, je fais 1,68 m , 56 kg, brune , cheveux aux épaules, pas épilée, je préfère et lui aussi. Il parrait que j’ai un beau cul et une belle gueule. Je trouve mes fesses plates , mais il dit que c’est parfait pour la sodo, pas besoin d’écarter mes fesses pour me sodomiser et ça il aime, des fois plusieurs fois par jour, sur le dos ,en levrette, debout, quand je fais la vaisselle, mon trou du cul est en libre-service pour mon homme. Sinon j’aime le faire durcir dans ma bouche, surtout quand il dort encore .Parfois quand il se réveille et que je lui ai fait dresser la colonne, je n’ai plus qu’à l’enfoucher avec mon minou, humm ! J’ai le vagin étroit , ça ne rentre pas tout seul ,alors je me caresse toujours avant pour me dilater et me rendre humide, il aime beaucoup quand je me caresse. Ce qu’il adore aussi c’est que je lui glisse un doigt dans son petit trou quand je le suce, c’est l’occasion de me mettre en 69 et on se fait la même gâterie, chacun un doigt dans le cul, en plus il me fait le ciseaux, un doigt dans chaque trou, j’adorrrre ! Là je suis toute seule jusqu’à demain, il est 7:00 , je viens de me réveiller, seule , beurk ! Je me suis d’abord caressé avant d’ouvrir les yeux, j’imagine des trucs, les cochonneries dont je rêve c’est par exemple de dépuceler l’étudiant qui vit en-dessous, j’imagine le surprendre dans les caves en train de se branler . Un jour à la librairie je l’ai vu acheter une revue de cul et je le croise toujours seul, pas de copine ni de copain, d’ailleurs c’est samedi aujourd’hui, il doit être chez lui….. Je suis peut-être folle , mais je vais tenter un truc, je vais aller sonner chez lui et lui dire que j’ai vu une grosse araignée, que j’ai trop peur et le supplier de m’en débarasser. Bon, je me douche , me brosse les dents, etc., et je vous raconte plus tard….. (Pour information, mon chéri m’a dit que je peux tester ailleurs si lui aussi en a le droit, on a fait ‘top là’ ).

Voili, voilou, il est 11:30, je suis sur un nuage , il vient de partir. Pour résumer j’ai en bouche le goût de son sperme et mes orifices sont encore distendus , quel rodéo ! Donc, j’ai bien joué le coup, en t-shirt et culotte je suis descendue frapper fort à sa porte, il a ouvert ,en caleçon et les cheveux en bataille , un peu paniqué d’être réveillé en sursaut. Je lui ai sorti mon scénario de l’araignée ,avec l’air effrayé de la fille terrorisée. Il a d’abord été géné et s’est à moitié caché derrière la porte en me disant.
- Heu, oui, d’accord, j’arrive.
Je l’attendais sur le palier quand il est sorti en t-shirt et jogging. Arrivé chez moi je lui ai d’abord fait chercher dans la chambre, bien sûr sans rien trouver, alors j’ai commencé l’allumage. Passant devant je me mis à regarder sous le lit, je savais qu’il me matait pendant que j’étais en levrette à faire semblant de chercher, ma culotte serrait entre mes fesses et moulait bien mon minou , mon t-shirt aussi bâillait et mes nénés devaient être bien visibles. Quand je me suis relevée il était là bouche bée , le rouge aux joues et une belle bosse dans son jogging. Je lui ai dit en faisant la moue.
- Pas d’araignée , j’peux pas rester toute seule pendant qu’elle se balade chez moi. Oh – dis-je l’air surprise en fixant la bosse de son entre-jambes- , mais , tu…tu.., mais tu bandes !
Le pauvre ne savait pas où se mettre , il déglutissait sans pouvoir parler, le visage maintenant écarlate.
-C’est pas grave tu sais , ce sont mes fesses qui te font cet effet, et bien je prends ça comme un compliment, merci .
Et là j’ai pris son visage à deux mains et je lui ai fait un gros bisous sur le nez , comme il ne bougeait pas, tétanisé, j’ai recommencé plus bas, mes lèvres sur les siennes j’ai poussé ma langue entre ses dents , en me collant à lui j’ai sentis la dureté de sa bite contre mon ventre. Puis sa langue a accepté la mienne, il s’est mis à me rouler un patin enfièvré, ses mains sont devenues baladeuses, le coquin m’a agrippé une fesse et un nichon. Alors j’ai glissé une main entre nous, dans son pantalon, j’y ai trouvé sa belle bite en liberté, chaude comme une bouillote. Belle à mon goût, plutôt courte, mais tellement dure et pas trop grosse, de celles qui passent partout sans faire mal et ne donnent que du bien. Alors sa main hésitante a migré sur le devant , ses doigts se sont glissés entre la peau et le tissu, d’abord sur ma toison, puis ils sont descendus ,tandis que j’ouvrais mes cuisses, jusqu’à ma petite fleur, écartant les pétales son majeur arriva à mon entrée humide, la paume frottant mon bouton rose si sensible. Humm, quel délicieux moment que celui où l’on se donne une première fois et que l’on découvre l’abandon de l’autre. Son doigt en crochet me pénétra, doucement, timidement .Pour l’encourager j’activais ma main sur sa bite en serrant fort, son prépuce coulissait bien sur son gland humide de désire.
Là, prise d’une pulsion j’ai glissé une main sur ses fesses, quand j’ai commencé à les pétrire il s’est cambré , j’ai donné une claque et il a gémit en s’offrant encore plus. Alors je me suis agenouillée, d’abord une léchouille sur son dard , puis je l’ai fait se tourner, j’ai écarté ses fesses à deux mains, regardant d’abord son petit trou au milieu de poils avec ses belles couilles ballotant en dessous,là j’ai collé mes lèvres sur son anus et comme si je l’embrassais sur la bouche j’ai poussé ma langue. Je l’ai faite frétiller, tourner , lui a mis ses mains sur les genoux pour mieux s’offrir. Quand sa rondelle a été bien ouverte et enduite de ma salive, j’ai repris ma respiration et délicatement je lui ai mis deux doigts serrés à l’entrée de sa grotte et en appuyant un peu ils ont pénétré sans difficulté, il a même poussé son cul vers moi pour aider la pénétration. Là j’ai fait une manoeuvre, me glissant entre ses jambes tout en gardant mes doigts dans son trou j’ai pu mettre mon visage devant et goulûment j’ai englouti sa belle bite que le petit coquin était en train de branler. J’ai savouré la mouille qui recouvrait son gland décalloté, j’adore ce goût. Je lui ai masturbé l’anus de plus en plus vite et courageuse j’ai englouti toute sa belle queue en retenant ma respiration,jusqu’à ce que ma langue puisse les lécher ls boulles. C’est quand j’ai introduit un troisième doigt dans son trou complétement souple qu’il a commencé à grogner, je l’ai ai tous rentré à fond et c’est en reprenant ma respiration que son gland entre mes lèvres il a tout lâché, en gémissant comme un supplicié. Pfff, la quantité de jus était impressionnante , il a giclé pendant peut-être trente seconde, j’avais la bouche pleine quand ça s’est arrêté. Il est resté debout empalé sur mes doigts, la bite palpitante, alors en le regardant les yeux dans les yeux je lui est montré ma bouche ouverte pleine de son jus et doucement j’ai dégluti et tout avalé, le pauvre mignon avait un sourire bête tellement touchant. Doucement j’ai retiré mes doigts et sans cesser de le regarder je les ai léchés, puis j’ai aspiré la goutte de sperme qui restait sur son gland. Comme il restait dur je l’ai fait s’allonger , je l’ai enfourché et j’ai empallé mon minou baveux sur sa tige, puis sans trop bouger j’ai glissé mes doigts sur mon petit bouton et je me suis rapidement donné du plaisir , je sentais sa bite commencer à ramollir et quand mon orgasme est arrivé j’ai coincé sa nouille comme dans un coupe cigare , j’ai pris mon pied de justesse, mais qu’est que c’était bon cette baise rapide, je crois que je vais être mouillée toute la journée et que ce soir j’irai encore sonner à sa porte, j’ai un petit trou qui n’a pas été visité aujourd’hui.

nov 022023

Trio surprise.

Vint le jour où je franchis le pas , traverser la cour et répondre à l’invitation de mes petits voisins. Une cour commune, les jardinets accolés , dans notre village loin de tout. J’avais emmenagé dans cette vieille maison deux mois auparavant , je n’aime pas trop la promiscuité, mais vu le prix et la beauté du lieu j’avais acheté rapidement, croisant les doigts pour avoir un voisinage tranquille. Jusque là tout allait bien, des jumeaux, un frère et une soeur habitaient la maison d’à côté . Calmes, sympathiques, mignons , au décès de leurs parents ils étaient resté là. Moi jeune retraité et eux travaillant à domicile on se croisait assez souvent, aujourd’hui ils m’avaient invité à diner, pour mieux faire connaissance . On était en été et eux comme moi nous avions l’habitude d’être dans nos jardins en tenues légères.Quand j’arrivais, mon panier de légumes bio et une bouteille de vin dans les mains , ce fut Lola ,en maillot de bain deux pièces cachant le minimum, qui m’accueillit d’abord en me claquant deux bises , elle me précéda pour aller sur leur terrasse, en tortillant franchement son petit pétard. Tom qui préparait la table se fendit d’un grand sourire en me voyant et plus étonnant, lui aussi vint me faire deux bises .
-’Bon, pourquoi pas’ – me dis-je , moi plutôt réservé ce n’était pas dans mes habitudes, mais la démarche était plutôt sympa. Ce qui me troubla c’est qu’Eric portait un string ficelle,moulant des gros attributs sur le devant et laissant ses petites fesses musclées en liberté. Lola quand à elle avait son mini soutien-gorge déformé par de longs et gros tétions et la forme de son minou parfaitement dessinée par le léger triangle de tissu. Cette exposition volontaire de leurs corps m’intimidait un peu, avec mon short et mon t-shirt je me sentais décalé. Bien consciente de ma gène et avec malice Lola me dit.
- Nous sommes naturels, si tu veux te mettre à l’aise comme nous , vas-y, ça sera plus sympa.
-Bon, pourquoi pas, dis-je , je vous préviens ,je n’ai pas de maillot, juste un caleçon.
Plus exité que mal à l’aise, j’enlevais short et t-shirt. Tom nous servit des punchs et nous trinquâmes en picorant des amuses-gueules. Nous parlions de choses et d’autres, l’alcool aidant l’ambiance était très détendue. Quand Lola riait elle posait toujours une main sur son frère ou moi. Ils avaient mis de la musique sud américaine et le corps de Lola ondulait en rythme . Avec son maillot brésilien elle était d’un érotisme torride, malgré moi je sentais mon sexe durcir, mais je n’étais pas le seul , Tom était en train de développer un sacré gourdin qui déformait son slip. Etrange quand même d’un frère pour sa soeur. Je n’essayais plus d’analyser la situation et me laissais bercer par la légère ivresse et les mélodies ensorcelantes. Lola vit mes regards langoureux sur ses attributs et ceux de son frère, ça semblait l’amuser. Elle se collait se plus en plus à moi , alors elle me passa une main sur l’épaule et l’autre sur celle de son frère, puis chacun fit de même. Nous dansâmes ainsi quelques instants, puis des mains caressèrent des dos, puis des fesses, Lola approcha son visage et ses lèvres enveloppèrent les miennes, sa langue s’aventura, la mienne l’accueillit tandis que je sentais la main de Léo se glisser doucement sur mes fesses. Ma queue était à présent parfaitement tendue, quand la main de Lola commença à l’effleurer.
- Oh, qu’elle est dure ! Souffla-t-elle sur mon visage, puis sans attendre elle me baissa le caleçon qui glissa à mes pieds. Le souffle court je vis que Léo avait aussi enlevé son slip de bain, son superbe dard dressé et palpitant. J’attrapais les deux seins gonflés aux si belles pointes, que je frottais dans mes paumes, puis je défis les noeuds qui retenaient slip et soutif , nous étions nus tout les trois. Lola avaient attrapé nos deux queues, je découvrais sa chatte à tatons, elle était poisseuse de mouille, petites lèvres très larges dans lesquelles mes doigts s’engoufraient . Léo quand à lui, me faisait des bisous dans le cou et un de ses doigts s’aventurait jusqu’à frotter ma rondelle. En quelques minutes nous avions basculé dans un délire sexuel, je me laissais porter…
J’avais bien 25 ans de plus qu’eux, mais à ce moment là nous étions pareils, juste des humains en rute . Léo, visiblement bisexuel et partenaire de sa soeur , s’était agenouillé derrière moi, écartant mes fesses il me faisait la sublime délicatesse de lécher ma rosette. Une langue longue et pointue rentrait profondément en moi tout en tournant sur les bords de mon anus. Puis ce fut sa soeur qui se baissant à son tour pris mes couilles dans une paume , son autre main coulissa sur mon membre et sa bouche se referma sur mon gland écarlate, la langue frétillait dessous puis léchait autour, j’étais pris dans un merveilleux manège pornographique. Un doigt remplaça la langue dans mon cul , Lola se mit debout me tourna le dos, puis très cambrée elle vint se coller contre moi en guidant ma bite dans son vagin, d’abord très serré, mais tellement humide que mon gland glissa dans la fournaise . A ce moment là mon trou fut libéré et deux mains me saisirent les hanches , puis je sentis un bélier écarter mes fessses, trouver mon entrée et mon petit trou commença à subir l’assaut d’une enculade déterminée. C’était ma première fois, je ne pensais pas cela possible, mais millimètre par millimètre le braquemar tendu progressait et élargissait le passage déjà bien préparé . Alors vint une résistance, mais il continua doucement et je sentis mes muscles se relacher et accepter cette pénétration anale, là d’une seule poussée il rentra toute sa queue. Je poussais un long gémissement de plaisir, d’autant plus que le vagin de Lola me serrait comme un gant et je palpitais en elle, au bord de l’explosion. Lola qui soudain émit un râle de bête fauve, long, comme à l’agonie. Son vagin me serra le membre comme une poigne d’acier en fusion, elle donna quelques violents coups de cul en arrière ce qui eu pour effet de m’enfiler un peu plus sur la bite de son frère, qui se mit à s’agiter frénétiquement en me labourant les entrailles, son plalsir venait, le mien je le laissais enfin lui aussi exploser. En décalé nous avons lancer des jets de foutres, qui dans la chatte, qui dans le cul. J’agrippais Lola par ses nichons, malaxant les pointes , alors elle passa une main entre ses cuisses et caressa les deux paires de couilles en train de se vider. Je ne savais pas de ma bite ou de mon cul lequel avait le plus de plaisir, tout était en feu dans cette zone. Lola s’avança doucement et quand mon gourdin sortit il fut suivi d’un torrent de mouille de sa jouissance, nous aspergeant les cuisses .Elle resta penchée mains sur les genoux et j’admirais son trou de balle dilaté lui aussi par le plaisir et luisant de transpiration comme le reste du corps musclé de cette beauté. Presque à regret je sentis glisser la bite de Léo, je me cambrais un peu plus et écartais mes fesses des deux mains, quand son gland se libéra je savais que lui aussi observait ma dilation causée par sa délicieuse sodomie.
Nous nous affalâmes chacun dans un des larges fauteuils de jardin , cuisses ouvertes, bras balants, nous observant en souriant, c’est l’image que je garde de cette expérience boulversante de sensualité qui m’a profondément changé et donné une liberté sexuelle que je n’imaginais pas auparavent. Bien sûr, nous avons eu depuis de nombreuses séances de cette nature , des histoires plus torrides les unes que les autres.
nov 022023

Sequestrés

( Texte à la demande de Jean-Claude)
Jean-Claude ne s’était pas fait que des amis, quand je repense à cette histoire de vengeance, j’en frissonne .C’est Annie, sa femme et victime, qui me l’a racontée en détails.
Jean-Claude avait dû s’absenter deux jours et comme souvent il avait oublié son téléphone à la maison. Une heure après son départ Annie reçu un appel.
- Bonjour madame, votre mari vous prie de le rejoindre rapidement et de lui apporter son téléphone.
L’homme lui donna une adresse et raccrocha avant qu’elle est pu demander des explications. Inquiète elle sauta dans sa voiture, entra l’adresse dans le gps et se laissa guider. Ce qui l’étonna un peu c’est que le trajet pris la direction opposée à celle qu’aurait du prendre Jean-Claude. Quittant les agglomérations elle pénétra dans un secteur boisé qu’ils n’avaient pas encore visité, puis elle roula un long moment et se retrouva à la destination sur le parking désert d’un château encore fermé aux visiteurs. Là l’angoisse la saisit , quand une camionette qui devait la suivre vient se garer à sa hauteur. Elle sortit , allant au devant du conducteur qui venait à sa rencontre , au moment où elle allait parler un bras puissant arrivé par derrière lui enserra la poitrine , tandis qu’un chiffon empestant le produit chimique était plaqué sur son visage. Voulant crier et se débattre elle rua quelques instants et perdit rapidement connaissance.

C’est d’abord un lourd mal au crâne qu’elle ressentit, une pensanteur sur les paupières et dans les muscles. Puis venu de loin son prénom .
- Annie, Annie , c’est moi , je suis là.
Cette voix comme un murmure, mais, c’est Jean-Claude .Cette pensée se frayant un chemin dans la brume de sa léthargie la poussa à ouvrir un peu les paupières. La lumière crue d’un néon lui arracha un gémissement.
- Jean-Claude, c’est toi ? Que se passe t’il ?
Elle essaya de bouger mais compris que ses mains étaient attachées dans le dos et ses chevilles ligotées également.
-Oui, c’est moi, on a été k**nappés, il y avait un type caché dans la voiture, il m’a endormi, comme toi, je ne sais pas ce qu’il se passe. A ce moment là , une porte s’ouvrit violemment , trois hommes en treillis et cagoulés vinrent soulever Annie du lit et la sortirent de la pièce .
-Laissez là ! Cria Jean-Claude. En passant un des hommes le fit taire d’une monstreuse gifle .Son visage alla s’écraser sur le mur, du sang s’échappant aussitôt par les narines, la porte se referma. Il entendit les cris de terreur d’Annie s’éloigner dans un couloir , puis une autre porte claquer.
Arrivée dans une nouvelle pièce les choses se passèrent très vite pour la pauvre femme. Un homme sorti un long couteau de son étui et tandis que les deux autres la maintenaient il trancha les liens , puis de gestes précis ce sont tous les vêtements, qui coupés comme par un rasoir, chutèrent au sol. Annie nue, en état de choc, tremblante , restait debout , paralysée par la peur, sans même essayer de cacher son intimité.
Bon, écoute moi trainée, on va te donner des ordres, c’que tu refuseras c’est ton homme qui le subira, t’as compris morue ? En sanglots, la morve au nez , elle acquisa de la tête. Elle sentit un liquide chaud glisser sur ses jambes et compris que sa vessie l’avait trahie.
-Alors cochonne , tu te fous de nous? Essuie, avec tes fringues, magne ! Cria le plus grand des trois.
Ramassant des lambeaux de ses vêtements , craignant le couteau toujours menacant , Annie s’agenouilla et essuya la flaque , son émotion était telle qu’elle continuait à émettre des jets de pisses incontrôlés. La honte et surtout la terreur la submergeaient , sa résistance déjà vaincue elle se jurait d’obéir à tous les ordres, dans l’espoir d’en sortir vivante.
Elle se remit debout , frissonnante, tête baissée pour ne pas affronter le regard de ses bourreaux, les mains en coupe ne sachant que faire des chiffons qui gouttaient entre ses doigts.
Faisant signe à un de ses complices ,celui qui semblait diriger lui ordonna.
-Va chercher le connard, et tu lui mets le bandeau sur les yeux.
L’individu sorti et tournant autour de sa victime le même homme commença à la peloter, malaxant un sein , claquant une fesse puis l’autre . Ouvrant ses machoires d’une main il enfonça deux doigts dans la bouche et dit.
- Suce !
Malgré son écoeureurement Annie obtempéra. Les deux doigts enduits de salive l’homme plongea alors sa main entre les cuisses de la femme et horreur, elle sentit chacune des phalanges pénètrer ses orifices .Elle ne put retenir un cri, de surprise mais aussi de douleur, puis vinrent les mouvements, son anus et son vagin violés étaient en feu . A ce moment la porte s’ouvrit et elle vit Jean-Claude poussé dans le dos perdre l’équibre et s’étaler lourdement au sol, presque à ses pieds .
-Bon, alors voilà la situation, je vais donner des ordres, si un refuse c’est l’autre qui sera puni. On commence . Toi déjà tu t’déssapes ! Fit il en flanquant un coup de pied dans la cuisse de Jean-Claude , qui trésaillit et se recroquevilla en réflex de protection.
-Allez mauviette , regarde! Dit-il en attrapant un téton d’Annie puis le pressant fortement en tournant.
-Ahhhhh , gémit-t-elle , n’osant se défendre.
Jean-Claude allait protester, mais sa certitude de voir les choses empirer venait de vaincre sa résistance . Aussi rapidement que possible il enleva tous ses vêtements, nu et honteux . L’homme lacha le sein, laissant une marque rouge qui laisserait longtemps après des marques d’hématome.
- Les gars, j’compte 5 trous à remplir et vous ? Sortez vos queues !
Ce que venait de dire le chef ne laissa aucun doute aux suppliciés quand à leur sort. ‘A la limite pensa Annie, si ce n’est qu’une histoire de viol et qu’ils nous laissent partir , en s’en remettra. Ce vicieux de Jean-Claude qui aime se promener avec un plug va être servi . Je me demande bien qui sont ces types et pourquoi nous, ça a l’air bien organisé.
-A genoux !
L’ordre hurlé à son oreille la fit sursauter et une brusque pression sur les épaules l’obligea à s’exécuter. Un autre fit de même avec Jean-Claude. Les trois hommes avaient sorti bites et couilles de leur braguettes, encore à moitié molles ils les secouaient devant les visages du couple. Spectacle d’une absolue vulgarité. Celui devant Annie mis son sexe devant sa bouche. L’odeur était répugnante, probablement pas lavé depuis longtemps, tout la révulsait , l’acte , la saleté, la honte . Pourtant elle ouvrit la bouche, décidée à en finir le plus rapidement possible.
-Lèche bien salope, j’ai baisé deux putes hier, faut m’nettoyer ça !
Un haut le coeur la pris en entendant ces mots, elle ne put retenir un petit pet, extrèmement génée.
-Non mais oh, tu m’pètes dessus, tu vas voir, dit il en se retournant et en collant ses fesses contre le visage. Là à son tour il lacha un énorme pet en rigolant.
-Prends ça ! Et d’une pression de main il maintenait le visage , puis ordonna.
- Lèche tout, régale toi !
Suffocant , respirant la puanteur de ce cul tout aussi sale que le devant, elle sortit quand même la langue, aussitôt envahie d’un goût amer, elle contint une nouvelle nausée, les larmes aux yeux elle continua l’horrible nettoyage. Cela lui sembla durer longtemps, puis l’homme à nouveau pivota. Elle pris une grande respiration quand aussitôt le sexe à présent gonflé s’engoufra à nouveau dans sa bouche. Elle s’imagina le faire avec Jean-Claude et cela l’aida un peu à poursuivre la fellation. Tout en suçant son regard fixa son mari qui lui aussi souffrait le martyre. Un homme était allongé sur le dos, Jean-Claude à quatre pattes le sucait , la tête maintenue par deux mains et des bras puissants , le troisième homme à genoux derrière s’activait dans le cul de son mari et comme un cow-boy il lui donnait de grosses claques sur les fesses .
-Les mecs, on s’retient , on fait durer, sortez vos queues !
Les trois hommes libérèrent momentanément leurs victimes. Ils se tenaient , leurs grosses bites raides, prètent à cracher des litres de foutre.
-Mais qu’allaient ils encore subir. Pensa Annie qui regardait le pauvre visage de son homme, le nez égratigné, du sang sur son visage aimé. Son intimité violée en public. Quel cauchemard !
- Bon on est chauds là les tourtereaux, toi la blondasse tu vas te mettre en levrette et bien écarter ton cul, fais voir ton entrée de service !
Annie informée sur la suite du supplice s’exécuta, se tournant elle s’agenouilla , puis se pencha jusqu’à avoir son joli visage au sol, elle passa alors ses mains dans le dos, les posa sur ses fesses et les écarta le plus largement possible. Son anus prêt à recevoir les monstrueuses bites palpitantes.
- Toi le mari, va faire le ménage, lèche lui l’trou et crache dessus, faut qu’ça glisse !
-Jean-Claude, abattu, s’exécuta . Cette gâterie il la faisait déjà souvent à sa femme, mais là, pour préparer son viol c’était particulièrement révoltant, pourtant il n’avait pas d’autre choix, ces monstres étaient capable de tout. Consciencieusement il commença à lécher cette rosette adorée, avec amour et douceur.
-Plus vite connard ! Hurla-t-on dans son dos au moment où ce qui devait un fouet lui provoqua un éclair de douleur sur les fesses. Annie sentit la langue s’activer ,rentrer loin dans son anus , comme elle l’aimait tant en temps ordinaires .Un moment de douceur dans cet enfer.
-Ca suffit, dégage ! Maintenant le cocu tu vas te branler devant ta truie, allez, à genoux en face et regarde nous l’enculer, t’as intérêt à bander!
Jean-Claude fut poussé sur le côté et il vint penaud se placer en face d’elle, il prit son sexe ramolli et commença à le triturer. A quoi pouvait il penser le pauvre ?
- Mon dieu, les monstres, mais c’est innomable se lamenta Annie , quand deux mains lui agrippèrent les hanches, elle sentit d’abord une pression sur son petit trou, puis comme un bélier défoncerait une porte une violente pénération fit exploser la douleur dans son puy intime. Le feu, la sensation de déchirement lui arrachèrent plus de larmes et un long cri de souffrance. Elle serra les poings, ferma les yeux , essayant de supporter l’assaut. Puis lentement le mal s’atténua. Le bandit continuait à violer son derrière en crispant fort ses doigts dans les chairs de son postérieur, elle le sentait proche de l’extase. elle se dit qu’au moins le passage était fait et que la suite serait moins douloureuse. Jean-Claude à sa surprise continuait les va-et-vient sur sa bite et celle ci avait commencé à gonfler. D’abord, choquée elle se dit que cela vallait mieux d’obéir aux ordres et qu’il devait se concentrer sur son érection pour satisfaire les tortionnaires. L’homme s’activait de plus en plus vite, puis au moment ou elle pensait qu’il allait jouir il sortit d’entre ses fesses et vint se placer à hauteur de Jean-Claude, le forçant à ouvrir la bouche avec son gland violacé, se mettant de côté pour qu’Annie voit ça il branla fort son énorme queue et mon amie vit de longs jets de foutre fuser dans la bouche de son homme, au milieu des râles de jouissance de la brute. Il n’avait pas fini de jouir qu’elle senti qu’un autre prenait possession de son cul. Un gros gland la pénétra suivi d’une tige plus fine que la précédente. A peine pénétrée par derrière , le dernier homme arriva devant elle, astiquant son membre, elle voyait à grand vitesse le prépuce décaloter puis recouvrir le gland luisant et rouge. L’homme agrippa ses cheveux , lui relevant la tête il força ses lèvres de son braquemart raide comme du bois. La queue s’introduisit entièrement, forçant sa gorge , faisant venir une nausée incontrolable. L’air lui manquait, la panique la pris et elle essaya de se dégager. D’un coup elle fut libérée , la bite ressortit brusquement, suivit d’un flot de vomi incontrolable.
-P… pardon, marmona-t-elle. Tandis que le premier jouisseur tenait fermenent fermée la bouche de Jean-Claude pour le forcer à avaler sa semence. Annie vit son homme déglutir. A ce moment là le deuxième sortit de son cul puis vient remplacer le premier dans la bouche du mari , tandis que le troisième commençait un nouveau ramonage de ses entrailles. La folle sarabande continuait. Le deuxième jouisseur visa moins bien et plusieurs jets de sperme maculèrent de visage de Jean-Claude, les yeux , les joues, les lèvres en ressurent autant que la langue et l’intérieur de la bouche. Annie bien malgré elle sentait son bas-ventre s’échauffer , habituée à jouir quand elle donnait son cul à son homme , même le stress et la peur ne pouvait retenir les ondes de plaisir qui irradiaient de son anus jusqu’à sa chatte, d’autant plus que Jean-Claude (Le salaud il me le paiera ! ) avait maintenant sa belle queue raide et gonflée. Elle le vit même frotter ses doigts sur son visage pour recueillir les trainées de sperme puis mettre les doigts à la bouche pour tout aspirer.
-Stop ! Arrête la branlette ! Fit le grand en retirant brusquement la main de la queue palpitante de J.C. , qui le regard hébété et sembla se réveiller. Il s’était comme échappé du cauchemard en se masturbant dans une rêverie.
- Attend , je viens! Fit l’enculeur d’Annie, qui libérant son cul en laissant le trou largement dilaté , vint à son tour mettre son braquemart dans la bouche de Jean-Claude, en lui pinçant le nez. Annie voyait les fesses poilues se contracter à chaque giclée de sperme. Jean-Claude referma ses lèvres autour du membre et aspira en fermant les yeux. Annie ne savait si il y prenait vraiement plaisir ou si il donnait le change pour adoucir leurs bourreaux. Elle n’était pas arrivée jusqu’à l’orgasme, bien heureuse et frustrée à la fois. Elle sentait sa rondelle encore parcourue de chaudes de bonnes sensations et sa chatte suintait, parfaitement lubrifiée. Toujours le cul en l’air.
-Bon, assez joué, toi tu repars dans ta cage, emmenez le et butez le ! dit le chef. Un des hommes pris Jean-Claude par la bite encore tendue et le fit sortir de la pièce .
-Non, pas ça, arrêtez§ Cria Annie.
- Ta gueule! Fit le chef dans l’oreille de mon amie . Puis une seconde après un gros BANG emplit l’atmosphère . Aussitôt avant un nouveau cri l’homme colla à nouveau un chiffon imbibé d’un produit anesthésiant sur le visage d’Annie, épuisée elle se débattit à peine et sombra dans l’inconscience avec une dernière pensée par son amour assassiné.

De très loin un voix lui parvenait, Annie, Annie. Puis un peu plus nettement, elle avait mal à la tête, que se passait il ? Puis l’image fulgurante de ces derniers instants de lucidité revint en mémoire et elle ouvrit les yeux en hurlant ‘Nonnn, Jean-Claude , nonnn ! ‘
-Je suis là, ici, regarde moi .
Hébétée , la vision brouillée , elle vit au-dessus d’elle des branches d’arbres , des coins de ciel, puis le visage tuméfié de Jean-Claude.
-Nous sommes vivants mon coeur, ils nous ont libérés, j’ai été endormi aussi, comme ce matin. Regarde ça , une lettre. Ils écrivent ” Change de métier, ne te mèles plus de nos affaires, la prochaine fois sera la bonne.”. Ces salauds ont fait tout ça pour nous faire peur, c’est dingue.
-Mais , le coup de feu ? Quand ils t’ont emmené j’ai entendu un coup de feu dit-elle .
-Sans doute juste pour te faire encore plus peur, ils m’ont endormi tout de suite après m’avoir dit que l’autre allait te trancher la gorge. Oh ma chérie, ça va, c’était l’horreur mais nous sommes en vie .

Ils avaient été laissés nus , dans les buissons à côté du parking et de la voiture d’Annie , les clés,le téléphone , leurs papiers et deux bleus de travail en guise de vêtements leur avaient été laissé.

Annie m’en parla après quelques mois, encore traumatisée, Jean-Claude lui refoula l’histoire , mais je sentis bien qu’ensuite son attitude et ses moeurs avaient évolués .

nov 022023

La clé de la honte.

( Texte à la demande de Jean-Claude)
Les obsèques de mes pauvres amis Annie et Jean-Claude maintenant terminées ,je me morfondais en ressassant les terribles événements, quand me revint en tête que quelques semaines auparavant Jean-Clauce m’avait confié une clé USB en me disant.
-C’est pour que tu saches, tu n’es pas obligé de regarder tout de suite , tu verras bien assez tôt.
Rangée dans ma boite fourre-tout je l’avais oubliée .Aucune idée de ce qu’elle pouvait contenir ,je l’insérais dans l’ordi et je fus intrigué en voyant le titre ‘notre agression -vidéo-surveillance’ . Je fis démarrer ce qui était un enregistrement , un plan fixe en boir et blanc, avec le son. Je reconnu le salon de mes amis , ils avaient donc une caméra de surveillance dissimulée , je pense entre des bibelots, sur la bibliothèque . Là j’arrêtais la lecture en me demandant si d’autres caméras avaient pu filmer leur assassinat .Après réflexion je conclus que non, sinon les gendarmes seraient déjà venus pour contester mon témoignage. A moitié rassuré seulement ,je continuais. Annie entra d’abord dans le champs de vision , suivie d’un inconnu, puis de Jean-Claude . L’homme avait un blouson de cuir noir qu’il jeta sur un dossier de chaise et une saccoche plus un trépied qu’il posa au sol.
-Bon, et bien depuis le moment qu’on devait se rencontrer, dit Jean-Claude , c’est quand même mieux que les photos et les messages.
- T’as raison fit l’autre, et puis je crois que vous êtes parfaits pour un bon shooting photos, soft mais érotique, comme convenu.
Annie que l’on avait plus vu à l’image revenait avec un plateau chargé de verres et de bouteilles de bières et sodas qu’elle laissa sur la table basse.
-Alors Michel , un p’tit coup à boire avant de commencer?
Entendre à nouveau sa voix me serra la gorge, je sentis venir un sanglot.
-Allez donc vous préparer, si vous voulez on va commencer pas ici, la pièce est sympa et il y a une belle lumière devant la véranda. Allez-y, je vous sers quoi ?
-Merci , une bière dit Jean-claude et Annie prend toujours un jus de tomates.
Là ils sortirent du champs de vision et le dénommé Michel prit ce qu’il m’a semblé être un flacon compte-gouttes d’une poche du blouson , je le vis vider à deux reprises la pipette dans deux verres , qu’il remplit aussitôt avec les boissons demandées. Lui-même attrapa une bière qu’il commença à boire au goulot. Mes amis revenaient déjà . Ces deux coquins étaient en petites tenues, Annie en maillot brésilien, poitrine nue avec un bras pudiquement devant pour encore cacher non pas ses gros seins mais plutôt les tétons et un reste de pudeur.Jean-Claude quand à lui , ce qui ne m’étonna pas depuis que j’avais assisté à la soirée tragique, avait enfilé un collant résille,une culotte en dentelle et des chaussures de femme à talons, noires et brillantes , une perruque de long cheveux noirs et un petit haut à bretelles en mousseline.
- Wahooo, fit Michel , deux très belles plantes. A la votre, on trinque ?
Je compris qu’un truc pas très net allait se passer, ils blablatèrent un moment tout en sirotant leurs boissons et la séance commença . Parfois sortant du champ de vision de la caméra, tantôt y revenant. J’entendais le déclencheur de l’appareil quand le flash illuminait la pièce. Puis vint un moment où Annie dit.
-Pfff, ça fatigue tout ça , je m’assois un peu.
-Moi aussi ,soupira mon ami qui s’affala lourdement à côté de son épouse. Drôle de vision que leurs corps ainsi exposés , Annie les jambes étendues , les ongles de pieds toujours parfaitement vernis , le léger triangle de son string lui rentrant dans la moule , à moitié dans la fente , laissant apparente sa toisson légère.
-Je n’sais pas c’que j’ai ,j’me sens…..
Elle ne termina pas sa phrase, ses paupières se fermèrent tandis que sa tête s’enfonçait dans le dossier moelleux du canapé .
- Alors ma puce, tu dors ? Fit Jean-Claude d’une voix pateuse.
Michel les regardait calmement, bras croisé , pas étonné visiblement de leur assoupissement.
-Heee, qu’est ce que… Commença J.C.
Lui non plus ne trouva pas ses mots, comme Annie il se laissa aller en arrière, vautré, la bouche ouverte, les yeux clos. Il était évident que les gouttes étaient un puissant soporifique , l’individu les avait drogués. C’est alors que le vis enlever ses vêtements, en quelques instant son corps musclé se tenait devant le canapé, jambes écartées et il caressait son sexe en observant ses victimes , là je pus observer son visage de pervers, son sourire grimaçant et malsain. S’approchant d’Annie il tira sur le string et lui enleva, puis sortant une corde de son sac il entrepris de la nouer à l’articulation d’un genou , puis il plia la jambe, la remonta vers l’épaule et faisant une boucle sous chaque aisselle il attacha l’autre jambe de ma même manière, maintenant Annie dans une position obscène avec ses cuisses écartées et relevées où toute son intimité était offerte à la vue. Vint le tour de Jean-Claude, il subit le même traitement, juste la culotte fut enlevée et lui aussi se retrouva avec sa belle queue et son cul rasé à la merci du monstre.
- Putain qu’elle est bonne la salope tandis qu’il écartait le sexe d’Annie .Il cracha dessus par deux fois, sa salive dégoulinant juqu’à l’anus et sans ménagement il y introduisit son gros doigt de salopard, puis l’index dans le vagin à sa merci. Il activa autant ses doigts dans les orifices que son autre main sur sa queue devenue raide. Puis il il se mit en position, un genou se le canapé pour être à hauteur du cul de la suppliciée. Là je ne le vis que de dos, cachant le haut du corps d’Annie , mais sous le cul poilu du violeur j’apperçus le gland se poser sur la tendre rondelle brune, puis grace à la salive la bite fut introduite facilement. Je ne voyais plus que le dos crispé de muscles ainsi que les fesses de l’homme pilonner le si joli cul , quel acte révoltant. A côté Jean-Claude endormi était toujours offert à la vue quand le violeur décida de s’occuper de lui. Sortant son braquemart de la rosette, qui resta dilatée, il appliqua une grosse claque sur les fesses du mari.
-Ah ah, à toi ma p’tite cochonne , j’vais baiser ta chatte de mec. Il fit la même chose, son majeur enduit de salive pénétra le trou du cul offert aux regards, mais là saisissant la belle queue de Jean-Claude il la prit en bouche , il lui doigtait le cul tout en le suçant. Etrangement je vis la bite commencer à grossir entre les lèvres du bandit , dans son inconscience le viol qu’il subissait faisait réagir mon ami. Se reculant pour observer le résultat de ses attouchements , l’immonde individu plaça le bout de sa queue sur la rondelle dilatée par le doigtage et il s’enfonça sans hésiter .Maintenant de profil devant la caméra je voyais que sa main branlait vigoureusement la bite tendue pendant que les coups de bassins devaient faire pénétrer le membre du violeur jusqu’au fond du rectum de sa victime, les paires de couilles se boxant à chaque poussée. Tandis qu’il pilonnait le mari l’individu tendit la main pour pétrire les gros seins de la femme , puis il lui mit des doigts dans la bouche, puis encore dans ses orifices, cul et chatte furent pénétrés comme de la vulgaire viande et ressortant ses doigts il les introduisit à nouveau dans la bouche, enduits des secrétions de sa victime. Il soufflait , son dos luisait de sueur ,je le sentais proche de la jouissance, alors il se retira du cul martyrisé et se plaçant au dessus du visage de Jean-Claude , il branla vigoureusement sa bite turgéscente devant la bouche et avec un crispement des fesses un grand jet de sperme j’aillit sur les lèvres et la langue inertes . Il se déplaça alors rapidement et procéda pareillement sur Annie , un premier jet rata la bouche et macula le joli visage , les yeux, le nez, posant le gland violacé entre les lèvres il envoya les autres giclées directement dans la cible. Il revint alors pour secouer son membre et faire sortir les dernières gouttes entre les lèvres de Jean-Claude.
-Ahhh, arghhh, putain mes salauds, c’était bon , fit l’homme se remettant debout et contemplant le spectacle de son crime. Il prit son appareil photo et fit une vingtaine de clichés de la scène pornographique que je contemplais avec consternation. Puis, tranquillement il s’habilla en sifflotant. Sans se presser il défit les cordes maintenant ses victimes, remit les culottes et essuya les coulures de sperme sur le visage d’Annie . Avec un mouchoir il essuya ses empreintes sur les verres, mit sa bouteille de bière vide dans son sac, rammassa ses affaires et sorti du champ de la caméra, j’entendis la porte se fermer.
Tout à l’heure je me rendrai à la gendarmerie , pour la mémoire et l’honneur de mes chers amis . Puisse ce monstre finir derrière les barreaux lui aussi.
nov 022023

Ton cul, ma bite, même combat.

-Tu sais , comme l’a écrit Frédéric Dard , “Ton cul , ma bite, même combat”.
-Oh toi alors , t’es obsédé, j’l'ai jamais fait , j’ai un tout petit anus et si j’ai un accident ,hein, ça va tout salir et j’aurai trop honte.
Voilà, c’était l’histoire de ma vie avec Cathy, trois ans à la baiser quand madame le veut bien, où elle le veut et comme elle le veut, mais surtout pas de sodomie, même pas un doigt. C’est une gentille fille pleine de qualités, mais question cul c’est un désastre , enfin c’était, jusqu’à la semaine dernière. C’est que je me suis quand même aperçu que pour obtenir ce qu’elles souhaitent , se transformer en pute ne les dérange pas.
Donc ce fameux sauna dont elle me parlait depuis le début de notre relation et que je refusais d’acheter et d’installer au sous-sol par manque de moyens, là à la faveur du petit héritage que je venais de toucher elle a remis le couvert, bien lourdement. En fait j’en avais envie aussi, mais je lui ai quand même dit.
-D’accord, mais à une condition, ton cul, je veux pouvoir t’enculer au moins trois fois par semaine et ton sauna tu l’auras, mais attention, ce n’est pas limité dans le temps, ton petit trou pour toujours.
-Oh mon salaud, t’as pas honte ! Pas question, ah ça non !
Là j’ai eu droit à 24h de bouderie et puis le lendemain matin, au réveil elle me glissa à l’oreille.
-Tu sais, pendant que tu dormais j’ai un peu touché mon anus , juste pour savoir hein, comme ça. Avec un peu de salive j’ai rentré mon doigt, d’abord un peu et puis j’ai tout mis. Attention, je ne suis pas une perverse , c’est parce que tu insistes tellement. Alors si tu veux ,doucement, tu peux me rentrer un doigt aussi. Pendant que j’avalais ma salive en sentant que quelque chose était en train de changer, après avoir pris ma main et inspecté mes doigts elle se tourna dos à moi et me dit.
- Vas y, tu peux, tes ongles sont bien taillés, mais mets de la salive, je ne veux pas avoir mal.
Là ,le souffle court , je soulevais le drap , les rondeurs de son merveilleux pétard se découpaient en ombre chinoise, ma queue comme à chaque réveil était déjà bien raide, mais pour ne rien brusquer je me penchais et plongeais le visage entre les joues de son cul tant désiré. Ses fesses sont parfaites, pas minces, mais suffisament plates pour toujours laisser visible le trou de son cul , cratère brun clair avec une multitude de rides fines. Ma langue gorgée de salive commença à donner délicatement une feuille de rose que j’apprécie tant. Léchant la rondelle dans tous les sens, tournant, puis de haut en bas, plongeant la pointe de ma langue dans son trou. Cela lui provoquait des mouvements du bassins prométeurs, la coquine se découvrait une belle sensibilité anale. Mais subitement elle sursauta et se leva précipitement.
-Oh là là, attends , il y a urgence !
Elle alla au petit trot, sur la pointe de pieds jusqu’aux toilettes et comme à son habitude ,sans fermer la porte elle laissa échapper un long pet matinal suivi d’un gros ,’PLOUF’, puis de trois ‘plic ploc’ . He oui, les jolies femmes ont aussi les mêmes contraintes que tout le monde. En effet j’avais déclenché une réaction en chaîne , me dis je en souriant au plafond, la bite comme un poteau.
-Deux minutes ! Fit elle en allant sous la douche. Sans se sécher elle revient sur le lit, un sourire espiègle en regardant ma queue gonflée. Cette fois elle se mit carrément en levrette, je n’eu qu’à pencher le visage , mais je n’allais pas vers son sexe adorable fendu de deux longues petites lèvres frippées. Ma bouche se posa sur anus offert et si souvent désiré. Je recommençais à lécher ,dans le parfum du savon aux amandes. Je me régalais au maximum, sa rosette devenue accueillante semblait s’ouvrir un peu sous les caresses humides, j’en profitais pour y poser un index et commençait à masser en douceur son puit d’amour. Tranquillement j’inclinais de plus en plus la pointe de mon doigt vers le centre, en appuyant tout en tournant un peu. Là la magie opéra, la première phalange pénétra presque sans résistance, je tournais encore sans forcer, puis je continuais. Cathy soufflait doucement en émettant des petits ‘humm’ de satisfaction. Je crachais sur la partie du doigt encore dehors et d’une poussée lente mais ferme je rentrais tout l’index. Elle tortillait un peu son cul, je voyais ses mains pétrirent les draps , elle se cambrait. Aucun doute ,le plaisir n’était pas simulé.
- Pfffff, c’est vrai que c’est bon, ne t’arrête pas, tu aimes ce que tu vois ? Dit elle en plongeant sa main entre mes cuisses pour saisir mon membre dur comme du bois.
-Si j’aime? Tu rigoles, je doigte le plus joli cul de l’hexagone, tu te rends compte, je suis en train de faire le piston dans ta rosette et quelque chose me dit que tu as de bonnes sensations, non?
-Vilain! Fit elle avec un petit rire. Tu me pervertis et en plus ….j’aime ça. Oh, oh là oui comme ça gémit-elle tandis qu’ayant glissé mon autre main par devant je lui titillais son clito durci. A ce moment là je sortis doucement mon index pour le remplacer par le majeur, je lui crachais encore sur la rondelle et la pénétration se fit facilement, elle tendit mêmes ses fesses pour aider à la manoeuvre. Glissant du clito à la fente ,jusqu’au vagin, je trouvais une humidité comme dans ses meilleurs moments d’excitation , elle mouillait abondamment et ses cuisses se serraient convulsivement sur ma main en train de la branler par devant. Je décidais de tenter un deuxième doigt, index et majeur, tout en tournant pour dilater le sphincter les deux intrus se réunirent dans le conduit chaud . elle gemit plus fort.
-Ahhhh, oh c’est gros, encore, encore un ,vas-y , s’il te plait, ouvre moi plus ….. et sodomise moi , oh oui, encule moi fort !
Elle se déchainait. Son dos luisait de transpiration, je voyais son téton tendu sur son aréole gonflée et je me penchais pour la téter, j’aspirais le bouton comme pour boire son lait. ayant libéré ma main gauche je me frottais le gland avec mes doigts enduits de sa mouille. Lui obéissant j’élargis sa rosette avec un troisième coquin, ça força un peu au niveau des phalanges, mais comme si je tenais une poignée de baby-foot au moment de marquer un but la place fut investie et je rentrais tout entièrement. Son trou de balle était maintenant prêt à recevoir même un concombre. Mais j’ai voulu faire durer le plaisir et lui donner une petite leçon, je n’allais pas la sodomiser cette fois ci . Me rapprochant de son visage tout en me branlant énergiquement et en lui pistonnant le cul , je lui ordonnait.
-Ouvre la bouche !
-Quoi?
-Ouvre la bouche j’te dis et tire la langue !
-Mais…, tu ne m’encules pas ? Fit elle en écartant les machoires.
Sans lui répondre je laissais venir mon plaisir ,je lui rentrais ma queue dans le bec et comme elle même se tripotait la pastille avec de grands bruits mouillés , nous jouîmes ensemble. Je vidais de longs jets de foutre , elle serra ses lèvres pour ne pas en perdre une goutte. Le plaisir envahissait tout mon bas ventre. Je sentais son anus complétement souple et dilaté puis se contacter par spasmes, plus lentement je trifouillais encore entre ses fesses, jusqu’à ce que les soubressauts de son orgasme se calment. Pendant qu’elle avalait mon sperme je regardais son cul et enlevais mes doigts, son cratère dépucelé resta ouvert ,je lui écartais bien les fesses pour profiter du spectacle encore un peu et tranquillement je le laissais se refermer puis je lui fit une tendre petite léchouille .
- Tu ne m’as pas sodomisée. Fit elle avec une petite moue . Mais alors , qu’est ce que c’était bon, hummm, j’étais stupide, je me suis privée de ça si longtemps.
–Merci pa puce. Dis je en lui posant un bisou sur le bout du nez . Tu m’as fait un beau cadeau et ne t’inquiètes pas, aujourd’hui , après le petit dèj. c’est journée au lit , l’initiation n’est pas terminée.

Voilà, il y a des jours comme ça qui commencent merveilleusement bien.

nov 022023

R.I.P Annie et Jean-Claude .

( Texte à la demande de Jean-Claude)
Il y a des souvenirs que l’on aime pas évoquer, il faut pourtant que je l’écrive, d’après mon psy ça sera libérateur. Donc, un soir que nous rentrions du cinéma ,mes amis Annie et Jean-Claude m’invitèrent à finir la soirée chez eux. Je les déposais et allais garer la voiture .Quelques minutes plus tard j’arrivais devant les portes restées entrouvertes et entendis des éclats de voix. Pensant à une dispute soudaine je rentrais discrètement dans le vestibule resté dans la pénombre et je fus pétrifié en voyant deux individus menaçant mes amis avec un couteau et un pied de biche, Annie et Jean-Claude à genoux devant eux, les mains sur la tête .Lâchement probablement, ne sachant que faire je reculais dans la grande penderie ouverte et délicatement je passais derrière les manteaux , complètement caché à la vue, mais avec un regard sur le salon. A voir le grand sac ouvert et quelques tiroirs renversés au sol j’en déduisis que ces hommes avaient été surpris en plein cambriolage .
- Toi la salope, à poil ! Cria le plus grand en mettant son couteau sous la gorge de Jean-Claude pour l’empêcher de bouger.
- Oh mon dieu non, ne faites pas ça, dit elle, prenez tout ce que vous voulez .
BIM BAM ! Une violente paire de gifles fit vaciller Annie qui poussa un cri aigüe de terreur. Jean-Claude voulu se lever malgré la menace, mais aussitôt le couteau entailla profondément la peau.
Le truand remonta la pointe de l’arme sous l’œil et dit froidement , les dents serrées.
- Tu refais ça j’te l’perce, pigé ?
Les machoires crispées Jean-Claude émit un ‘hum hum’ d’acceptation . Annie en panique se déshabilla aussitôt , se tortillant à genoux pour faire glisser robe et culotte. C’était la première fois que je voyais mon amie nue , comme un voyeur je fixais ses gros seins blancs ,son ventre plat ,sans être maigre et sa légère toison grisonnante. Sa blondeur faisait ressortir son bronzage .Elle avait gardé ses escarpins d’où émergeaient ses jolis orteils aux ongles parfaiement vernis. Elle avait un corps de sportive , je les savais tout les deux prenant soin d’eux mêmes, ça se confirmait .Ce corps réservé à Jean-Claude maintenant exposé comme une pute en chaleur d’un pays sous développé. A ce moment là le plus petit truand tourna la tête dans ma direction et s’avança d’un pas décidé. Je me figeais, tétanisé , arrivé devant la penderie il continua et alla fermer la porte , après avoir jeté un coup d’oeil à l’extérieur. Il retourna dans le salon sans m’avoir capté. Mon mollet droit agité de spasmes , tous mes muscles en alerte , je m’efforçais de respirer la bouche ouverte, lentement, en silence. De toutes façons l’agression repris bruyamment car de peur Annie n’avait pu retenir son envie d’uriner , je voyais ses cuisses dégouliner de pisse , une flaque s’agrandissant autour d’elle.
-Ah la garce ! Explosa le plus grand et avisant sur la table le vase rempli de rose il le saisit et aspergea la pauvre femme. Jean-Claude cria.
-Mais arrêtez ! Laissez nous, laissez là …
Il ne put pas terminer, un violent coup de pied vint le frapper à l’entre-jambe .Il s’écroula de douleur, devant sa femme, sur les roses éparpillées . Le tirant par une oreille le petit le fit se redresser. Sur la poitrine plusieurs roses restaient plantées dans la peau , des gouttes de sang perlant là où s’étaient fichées les épines.
-Les gémissements de mon ami et les cris avalés de sa femme, la machoire tremblante, me terrorisaient . J’assistais à une scène d’horreur, incapable d’agir, terré dans le placard et dans ma honte.
- Bon assez rit ! Dit le grand en baissant sa braguette, aussitôt imité par son comparse, les deux sortant leurs sexes. Le petit vulgairement commença à se masturber et son chibre impressionnant grossit rapidement. La bite du plus grand jaillit du pantalon, comme sur ressort, déjà raide et dressée. Je notais que les deux étaient circoncis.
-Toi le connard , fous toi à poil, dit il en balançant une violante gifle sur la bouche de Jean-Clause, éclatant la lèvre et provoquant un fliet de sang ! Allez putain, dessape toi ,tournez vous, les deux et penchez vous , allez une bonne levrette dans vos cul d’bourges , regarde c’que j’vais t’mettre ,dit il en prenant le menton de Jean-Claude pour le forcer à regarder le bracmard rigide, tout en gardant le couteau contre la gorge déjà sanglante. Les doigts tremblants la victime défaisait ses boutons, il ôta d’abord la chemise, chaque respiration contractait les abdominos , puis lentement il fit glisser d’un seul geste slip et pantalon, dévoilant un sexe imposant et un pubis rasé. Tout en se retournant il ôta maladroitement ses mocassins et enleva les derniers remparts de sa pudeur. Se penchant il fit ce qu’il avait si souvent demandé à Annie et fait lui-même parfois , prenant la position de la levrette il offrit son cul au regard des sauvages et de moi-même. Ses couilles pleines et rondes semblaient tellement fragiles et il devait encore souffrir du violent du coup de pied. Mais ce qui me coupa le souffle c’est la tache rose indiquant qu’il portait un plug anal. Mon ami de toujours était sodomite, quelle surprise. D’ailleurs à cette vue on aurait pu tout à fait penser regarder une superbe femme, ses longues cuisses fuselées , jusqu’à ses mollets longilignes très féminins, le tout entièrement lisse. Ce qui ne trompait pas étaient les balloches commençant à bleuir et la queue qui étrangement s’était durcie, oui , il bandait , malgré le danger et l’humilition Jean-Claude avait la trique , comme les agresseurs et je pouvait deviner au dessus du ventre plat son muscle pectoral qui comme un nichons de femme exitée avait le téton dressé . Je n’en revenais pas.
-Putain, c’est une petite fiote ,alors t’aimes te faire mettre la tapette ? Eh bah j’vais t’farcir , tu vas la sentir ma grosse queue !
Annie prenant son visage dans les mains secoua doucement la tête de gauche à droite avec un reniflement entrecoupé de sanglots et se mit en position comme son mari, d’abord à genoux ,puis lentement elle se pencha en avant , laissant ses fesses en l’air .Ses seins généreux bougeant au rythme de sa respiration rapide , on devinait son anus en cratère terriblement attirant et ses cuisses un peu écartées laissaient voir une vulve charnue aux petites lèvres comme des oreilles.
-Oh putain la salope,fit le petit, regarde ce cul et ce trou de balle, c’est pour moi ,toi j’t'encule , j’vais t’défoncer !
-Ah ah ,ricana-t-il en se penchant pour cracher sur la rosette et s’accroupissant à moitié il frotta son gros dard dans la salive et au milieu des pleurs d’Annie il enfonça sans ménagement son membre dans l’orifice .Annie ne put retenir un cri de douleur, mais le monstre l’agrippant aux hanches donna un grand coup de bassin déchirant les entrailles de sa victime. Un cri muet et les hocquets de mon amie m’arrachèrent des larmes, tandis que Jean-Claude ,le couteau piquant sa nuque à présent , était sécoué des spasmes d’une crise de larmes, ses fesses se contractaient au rythme de ses sanglots. Son derrière que je découvrais rasé et ses boules également lisses offerts au regards de tous. Ce détaille intime me troubla , son derrière ressemblait à celui d’une femme.
Le grand ,qui était derrière Jean-Claude , tira sur le plug, dilatant l’anus qui resta à moitié ouvert , puis il sorti de son bougeoir une longue bougie rouge, il la mit devant la bouche de mon pauvre ami et lui dit.
-Allez suce, lèche bien, c’est pour ton cul de p’tite fiote.
- Aie ! Regarde son p’tit pétard rasé.Fit il à son complice ,tandis que Jean-Claude la résistance vaincue , léchait la bougie consciencieusement. Le salopard alors d’un geste ferme lui introduisit l’objet dans la rondelle et lui fit faire de violents aller-retour, comme un piston. Le pauvre J-C ne bougeait pas mais ses cuisses tremblaient nerveusement, à côté Annie se faisait défoncer le fion par la petite crapule, je voyais les nichons balloter sous les coups de boutoir. Les seuls bruits étaient les grognements des violeurs et les sanglots d’Annie.
-Arrgg ,gémit Jean-claude quand lui aussi fut pénétré sans douceur par la bite turgenscente. A ma grande honte je dois avouer que durant ces événements épouvantables ma bite avait durci et du liquide gluant commençait à inhiber mon caleçon, cette lubricité digne du Marquis de Sade réveillait des pulsions en moi. Je me caressais à travers le pantalon, insistant sur mon gland lubrifié devenu si sensible. Les deux criminels pilonnaient les culs des malheureux , le petit s’activait furieusement et bientôt dans un cri rauque se cambra ,se figea, puis donna encore quatre ou cinq coups de rein, déversant sa semence dans le rectum de la suppliciée , qui a court de larmes et de gémissements endurait maintenant en silence ce viol répugnant. Puis se fut au tour de son compère , qui dans de grands soufflements arrivait à l’orgasme.
-Arrgg , je jouis p’tit enculé, prend ça, ah c’est bon!
C’est à ce moment que courageusement Jean-Claude décida d’agir. La bite plantée dans ses fesses crachant encore son sperme il tenta de s’arracher à l’agresseur en ce levant subitement, mais l’autre fut plus vif et déterminé, le couteau parti en avant et plongea entièrement à la base du crâne , pénétrant le cervelet et tuant mon ami sur le coup. Le corps s’effondra dans une position grotesque, à genoux,bras le long du corps , fesses en l’air , du sperme s’écoulant de l’anus resté dilaté. Annie ne put retenir un cri d’effroi qui transperça mes tympans, elle aussi voulu se lever ,mais le criminel ramassa son pied de biche et d’un large mouvement tournant vint heurter violamment avec l’arrondi de l’objet la tempe qui craqua dans un bruit qui me hantera à jamais, faisant voler les beaux cheveux blonds, provoquant également une mort immédiate. Le corps s’affala près de celui de son homme adoré, étrangement les visages et les bouches se touchaient , dans un dernier baiser de la mort.
Les tueurs en panique , réalisant la monstruosité de leur forfait, remballèrent leurs queues gluantes dans les pantalons, ramassèrent leur sac et s’enfuirent aussitôt de la maison, me laissant en état de choc .Je restais là sans bouger de longues minutes, pas un bruit à l’extérieur. Lentement je sortis de la penderie, puis de la maison et prenant mon téléphone je composais le 112 .
Les pompiers , le samu et les gendarmes arrivèrent rapidement . On prit soin de moi, sensé avoir découvert les corps . Bien sûr je ne reconnu pas avoir assisté à toute la scène , mais je prétendais avoir vu des hommes s’enfuirent quand j’arrivais et je donnais une description précise. Justement, en panique, ils avaient causé un accident un peu plus loin . Rapidement interpellés ils furent confondus par les objets dérobés trouvés dans leur voiture, puis plus tard par les analyses de spermes. Les preuves accablantes les envoyèrent de suite derrière les barreaux et le procès à venir devrait les y maintenir pour très longtemps encore.
Paix aux âmes de mes chers amis, que ma lâcheté a probablement condamnés , mais je n’en serais jamais sûr, peut-être aurais je subi le même sort funeste .
RIP Annie et Jean-Claude.
(Ceci est bien sûr un récit de fiction, une commande bien sympathique)

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