Trouducule moi s.t.p.
‘Hummm, humm, haaa, putain c’est bon !’ Je sursaute , je me retourne , je vois quelques feuilles bouger dans les fougères naissantes . Je me lève et m’approche, là surprise , mon voisin , le type si calme et réservé que je croise chaque jour, en train de se palucher, à poil sur le sol . Silence, bouches bées tout les deux, moment de solitude, il a toujours sa bite en main qui ramollit . ‘Heuu, salut, pas de problème ,’continue’ dis je pour détendre le moment de gène. ‘
Là son visage devient écarlate, il tente de bafouiller quelque chose, incompréhensible . Je suis pris de pitié , ‘je peux m’asseoir près de toi’ dis je , croisant ses bras autour de ses jambes, tête baissée ,il murmure un petit ‘oui, je suis désolé, je pensais être seul’, ‘moi aussi’ répondis-je ‘et ne t’inquiète pas, tout le monde se branle, ici c’est un endroit magnifique pour ça , tu aimerais que je te prenne en photo, sans prendre ton visage si tu veux.’ . Il relève le visage, toujours le rouge aux joues , mais une sorte d’espoir dans les yeux.
-Je crois qu’on est vraiment que tout les deux ici , ce que je te propose, c’est qu’on se photographie tout les deux, regarde , je vais me déshabiller aussi, comme ça plus de gène’.
Sans attendre la réponse je me débarrasse vite fait , tout tombe par terre, je suis debout , nu devant lui , la queue à moitié réveillée et il regarde , sa mâchoire tombe en même temps que ses cuisses s’ouvrent à nouveau, révélant sa queue avec quelques brins d’herbes collés par la mouille. Là , c’est un vrai sourire qui apparaît sur son visage , j’en profite pour le photographier, son visage levé vers moi , sa bite un peu floue dans l’ombre , je m’approche et fait une autre photo où ma queue apparaît, je la tiens d’une main devant son regard plein de tendresse. Il me dit , ‘tourne toi’, je m’exécute et ses mains caressent d’abord mes fesses, les écartent doucement , puis délicatement une langue vient lécher mon anus, donne des petits coups de langue, tourne autour, je me cambre un peu pour recevoir l’hommage, que c’est bon . Le soleil m’inonde le corps , cette langue viole ma rosette si doucement, je suis au paradis.
Dans la série des rêves à réaliser il y a celui-ci en haut de liste, avoir une relation avec un homme , ça me manque tellement de fantasmer dessus et de ne pas connaître et là sans m’y attendre ça m’est offert sur un plateau, merci la vie.
Mon petit voisin est plus jeune que moi qui ai passé la soixantaine, je lui donne à peine 40. Nos femmes papotent souvent ensemble , mais pas nous . Là pendant qu’il me lèche encore le trou (décidément il aime ça) je me paluche la queue doucement, puis sa langue se retire, dommage, mais aussitôt je sens une pression plus dure , un doigt commence à forcer le passage. ‘oh, mais mon cochon tu penses à m’enculer, c’est ça ?’ Le doigt s’arrête, ‘non continue, rentre le entier’. Là je me baisse un peu jambes écartées, cambré, les mains sur les genoux et je me laisse me prendre, un deuxième doigt rejoint l’autre, je souffle tellement c’est bon, son autre main passe en dessous et me malaxe doucement les couilles , puis remonte sur ma queue, la serre et commence des va-et-vient . Je n’en peux plus de plaisir , je tourne la tête pour le regarder et vois qu’il se branle à toute vitesse, je vois son beau gland rouge, luisant, décalotté et recalotté par sa main crispée. ‘Oh, prends moi, vas y , tu as bien ouvert mon cul , fourres y ta bite bon sang ‘. Il ne faut pas lui dire deux fois, presque aussitôt deux mains me prennent les hanches tandis que son mandrin gonflé prend la place de ses doigts. Pour une première fois mon cul accueille une belle queue sans problème, ça rentre aussitôt. En même temps qu’il m’encule sa main droite passe devant et il me branle en cadence , comme ses coups dans ma chatte masculine.
C’est si bon, merveilleux, mais je ne veux pas jouir tout de suite. ‘Attends, arrête , je veux te faire la même chose, je veux te trouduculer ‘.
Il a compris et arrête de me pilonner, sort doucement sa bite, elle est luisante et raide , je la sens prête à exploser, il fait un effort de concentration pour ne pas jouir. J’en profite pour l’embrasser, mon premier baiser avec un homme me semble tellement naturel, sa langue répond à la mienne, ça frétille, ça suce, c’est sauvage.
Il se remet sur le dos, comme à mon arrivée , prend ses jambes à deux mains et en les écartant les remonte vers les épaules . Je prends quelques instant pour admirer , il a de belles couilles qui pendent bien, presque jusqu’à son trou de balle . Pas beaucoup de poils , mais pas rasé, comme moi, je préfère . Sa bite est toujours tendue, elle touche son nombril , plus longue que la mienne ,mais moins large , parfaite pour la sodo, je l’ai bien vérifié à l’instant.
Je m’agenouille, les cuisses de chaque côté de son petit cul offert, je recule légèrement pour placer mon gland contre son anus tout rose, je frotte ma mouille tout autour pour lubrifier et je laisse les choses se faire, doucement ça rentre, je regarde fasciné la rondelle entourer mon gland , puis le prépuce décalotté, et millimètre par millimètre ma queue est avalée, disparaît dans l’étui chaud de son cul et nos couilles se touchent . Quelle sensation ! Le soleil nous éclabousse , les insectes et les oiseaux font de la musique et je reste sans bouger empalé comme dans une chatte. On se regarde en souriant , alors je commence de doux va-et-vient , ça dure plusieurs minutes, je ne veux pas jouir tout de suite dans son cul. Doucement, alors que je le sens encore près de la jouissance par mon frottement sur sa prostate , je me retire délicatement, je vois ses yeux étonnés, ‘non reste’ dit il . Mais j’ai une autre idée, le contournant je me mets au-dessus de lui, ma bouche devant sa queue et la sienne face à la mienne, je veux que l’on jouisse en 69 l’un dans l’autre, les bites dans les bouches . Dans cette position je lui masse aussi les fesses, il fait de même, puis j’entre un majeur dans sa rosette , tout de suite il fait la même chose, mais avec le pouce, que c’est bon. Tout se fait en silence avec juste nos gémissements et nos bruits de succion . Je sens mon trou du cul dans un feu délicieux , la jouissance commence à arriver , lui aussi je le sens à ses mouvements, on accélère en cadence , de plus en plus, et puis soudain j’explose, au moment même où ses jets de foutre emplissent ma bouche, ça brûle de plaisir dans la queue et dans le cul, je continue à me vider et lui à me remplir pendant plus d’une minute , un orgasme comme on en a peu . On reste là, on s’agrippe pour préserver l’instant, on continue à sucer nos bites qui se ramollissent doucement . Bien sûr il faut bien se lâcher, je me couche sur le côté, encore haletant . Je l’entends renifler, et je vois que des larmes coulent , ‘merci’ me dit il, c’était merveilleux, j’ai adoré. ‘C’est à moi de te remercier, sans toi ça ne serait pas arrivé , c’était divin.’
A regret nous remettons lentement nos vêtements, le feu encore présent dans le bas-ventre , puis après quelques dernières caresses nous convenons à l’avenir de faire semblant d’avoir à nous emprunter des outils et nous donner un coût de mains pour nos travaux de maison respectifs . Il a une grange à retaper à l’écart du village, quel bon prétexte pour se retrouver. Je le laisse partir d’abord et je m’en vais un peu plus tard, le coeur léger, sourire aux lèvres.