Tendre salope
‘ Bon alors voilà, déshabille toi tu vas essayer plusieurs tailles et choisis ce que tu préfères’.
Devant le ton d’autorité de ma nouvelle patronne j’acquiesçais , mais gêné je dis ‘ c’est que ce matin tous mes slips étaient au lavage, je n’ai rien en dessous’.
‘Oh là là , tu veux ce travail ou non, on n’a pas que ça à faire , j’en ai vu d’autre, dépêche toi’ .
Timide de nature je n’osais lui répliquer et en rougissant je baissais puis enlevais mon pantalon .En t-shirt, la nouille à l’air devant une inconnue. Elle me regardait, bras croisés et s’humectant les lèvres, puis pris un bleu de travail . ‘Enfile ça !’ ,sa voix avait un peu changé, plus basse , elle inspirait fort. Je passait les jambes dans le vêtement , mais il était trop étroit , en le remontant ma bite dépassait trop pour le remonter. Moment de gêne intense, je n’avais plus de voix . ‘Attends, je vais t’aider’ dit elle, joignant le geste à la parole elle glissa sa main sous mes couilles et ma queue et comme un chausse pied essaya de tout faire rentrer, mais pas moyen.Je sentais bien qu’elle insistait bizarrement , sa main maintenant autour de ma virilité . ‘Madame, ça ne passe pas’ osais-je dans un souffle. En même temps cette main chaude et ses mouvements commençaient à faire gonfler ma bite . La situation était devenu très étrange .
‘Bon d’accord, on essaye autre chose’ souffla t’elle , mais sans lâcher ma queue aussitôt, puis s’agenouillant pour tirer le pantalon vers bas, sa tête face à mes parties.
Comme elle ne se relevait pas je dis, ‘Madame, ça va ?’ Sa chevelure abondantes était tout ce que je voyais d’elle en dessous, soudain sa main repris ma queue. ‘Oh madame’ articulais je en croassant. Mais elle continua ,elle me branlait doucement, décalottant en cadence, puis m’ayant fait durcir elle me prit en bouche, je sentis quelque chose de doux et humide entourer mon gland, un frottement léger dessous, puis tout autour. Ma première pipe , incroyable cette situation , mais j’arrêtais de réfléchir et acceptais ce que maintenant mon corps demandait avec énergie. Ma queue gonflée à son maximum, dure comme du bois était avalée jusqu’aux couilles, puis libérée,et encore et encore ,j’agrippais sa tête , oubliant ma timidité, et j’accompagnais le mouvement de pompage. Puis ,surpris, je sentis une main passer entre mes jambes, un doigts glisser dans la raie du cul , se poser sur mon trou et faire un massage circulaire. Quelle sensation nouvelle mais vraiment délicieuse. A ce moment elle enleva son doigt, lâcha ma queue et se recula pour me regarder , le braquemart tendu comme jamais, luisant de salive et de mouille . Elle avait pris des couleurs et semblait avoir couru un marathon , puis elle mit son majeur dans la bouche le suça , cracha dessus et aussitôt vient me le planter entre les fesses, poussant fort. Mélange de brûlure et de plaisir, ‘Hoooaa’ fis je en levant les yeux au plafond,pendant que je sentis sa bouche reprendre son travail sur ma bite . Enculé en sucé en même temps , j’étais complètement privé de repères , je me laissais prendre par le cul et la bite par une inconnue, submergé de plaisir , j’ai senti la jouissance arriver comme un torrent, un truc gigantesque , et brusquement j’ai tout lâché, du foutre a explosé dans sa bouche en longs jets brûlants , mes jambes m’ont lâché mais son bras solide avec son doigt planté dans mon cul me soutinrent. Je me vidais en plus d’une minute . A la fin elle recula le visage ,bouche ouverte, je vis tout mon foutre emplir l’espace derrière ses dents, alors elle commença à déglutir, plusieurs fois jusqu’à tout avaler, puis elle retira doucement le doigt de mon cul et se le mit dans la bouche ,suçant les traces de merde au passage . Incroyable , je restais là, la queue encore tendue et brûlante de plaisir, le cul un peu en feu aussi.
‘Mon petit mignon tu gardes ton poste , fit elle en se remettant debout, elle s’approcha de moi, mit sa bouche sur la mienne , sa main caressant ma queue ramollissante et rentra sa langue très loin , puis me lâchant ouvrit la porte en me disant, habille toi donc nigaud, il y a du boulot , ah et aussi, à midi on se retrouve ici sans faute.’
Je suis resté longtemps dans ce magasin, en fait aujourd’hui c’est moi le patron .