nov 022023
Béa
Ca a commencé comme ça. J’avais pris Béa en stop , un soir de pluie à un arrêt de bus désert. Une heure de route plus tard, après avoir beaucoup parlé, je lui proposais une chambre chez moi , plutôt que la rue une fois de plus pour cette sdf en fin d’espérence. Plus de famille, son ex et aussi ancien patron l’ayant virée pour prendre une gamine de vingt ans. Elle errait depuis quelques semaines d’abris de fortune en hébergement du 115, la misère totale. A 50 ans elle était au bord du vide, sans horizon ni espoir. Arrivés à la maison je l’installais comme une princesse dans la chambre d’amis avec salle de bain. Je lui sortis des cartons de vêtements laissés par mon ex femme , pendant qu’elle se mettait à l’aise je nous préparais un repas reconstituant. Après vingt minutes elle réapparut , transformée , ses vêtements usés et sales remplacées par une sortie de bain que j’avais connu sur d’autres épaules, les cheveux bruns lavés et brossés en arrière , bien que mince ses formes galbées resplendissaient , deux longues pointes tendaient le tissu moulant sur sa poitrine menue.
- Voilà, quel bonheur, une vraie douche et des vêtements propres.
- Bon, dis-je en essayant de ne pas regarder sa poitrine, à table, c’est prêt .
Elle devait être affamée , elle dévorait et le verre de vin avait été suivi d’un deuxième .Ses joues rosissaient, elle riait en discutant et j’avais l’impression partager des moments avec une femme sans problèmes. Etait ce les vapeurs d’alcool ou de l’insouciance, mais quand son peignoir s’est entrouvert elle n’a pas tenté de le refermer.
-Si tu veux, si tu me sors de la rue, tu pourras me demander ce que tu veux, sans limites. Je suis prête à tout pour m’en sortir.
Disant cela elle se leva et vient se planter devant moi , mains sur les hanches, peignoir grand ouvert sur un corps que je n’aurais pas deviné aussi beau. Pas un gramme de graisse, les abdominaux légèrement dessinés , les seins à la fois larges mais assez plats , avec ces tétons comme des bouts de crayons, les hanches minces posées sur des cuisses musclées, avec en leur centre une toison noire et abondante d’où s’échappaient une vulve proéminente avec des petites lèvres comme des ailes de papillon . La rue n’avait pas eu le temps de l’abimer , j’étais sous le charme. Elle laissa glisser son vêtement ,se retourna, se cambrant et des mains elle écarta ses petites fesses , attirant mon regard par son cratère anal entouré de brun, en dessous son appétissant sexe charnu . Sans un mot je m’agenouillais et plongeais mon visage dans son cul, la langue directement dans le petit trou offert. Je la léchais un long moment , introduisis un doigt dans sa fente déjà humide, jusqu’au clito que je titillais un peu avant de glisser dans son vagin, que je trouvais étroit, elle sursauta quand le doigt la pénétra. A ce moment là le remord me pris.
- Oh, je suis en train d’abuser de toi, je t’avais invité sans arrières pensées, tu n’es pas obligée tu sais, tu peux rester un moment ,sans contrepartie.
- Non, ne t’inquiète pas, ça aussi j’en avais envie, ça fait si longtemps , continue, s’il te plait.
Mes remords envolés je laissais mon majeur dans sa chatte et glissais un index dans sa rondelle lubrifiée de salive.
- Hummm , gémit elle, c’est bon, oh oui , j’aime ça, pffff, mon cul et ma chatte ensemble, ahhhh encore.
Mes doigts s’activant dans ses orifices je me mis debout et de ma main libre je lui pétrissais les seins pendant que ma bouche trouvait la sienne. Nos langues s’emmélaient, elle cambrait son cul au maximum, sa mouille dégoulinant sur ma main, puis je n’en puis plus , sortant mes doigts ,je me plaçais derrière elle et libérant de mon pantalon ma queue gonflée je plaçais mon gland écarlate contre sa rosette dilatée et d’une longue poussée je l’enculais tandis qu’elle poussait un long râle tout en donnant un coup de reins en arrière pour mieux se faire enfiler. Je la pilonnais , glissant une main par devant j’agrippait sa chatte et la branlais vigoureusement dans ses escalopes trempées avec des clapotements humides. C’était intense, presque brutal pour nous deux. A ces râles de plus en plus rapides je sentis son plaisir monter, moi même le feu de la jouissance me pris du trou du cul jusqu’à la pointe du gland. Au moment où elle se figea dans un long cri rauque j’explosais en elle, de longs spasmes de foutre brûlant j’aillirent dans son cul. Je la soulevais de terre, mon dard planté au fond de son rectum. Je vidais mes couilles pendant que je sentais son anus me serrer la queue par intermitances. La tension redescendit, nous étions si bien que je restais en elle encore un long moment, puis épuisés nous glissâmes au sol, ma bite libérée toujours tendue. Avec douceur elle pris ma queue d’une main et la mis en bouche pour la nettoyer . Ce fut tout ce soir là , épuisés nous nous couchâmes . Au premières lueurs du jour elle dormait encore et moi j’avais une gaulle comme du marbre, plus que d’habitude, ma bite tendait vers le plafond. Elle était moitié sur le ventre et moitié les fesses tournées vers moi. Merveilleuse vue que ces deux poires ouvertes surmontant une moule généreuse et un cratère sombre et ridé, d’une sensualité torride. Je fis doucement une caresse des épaules jusqu’à ses fesses, je sentis au frémissement de son corps que ça l’avait réveillée, mais elle ne bougea pas , je continuais le câlin intime vers ses cuisses et lentement je remontais à l’entre-jambes, elle se cambra, m’invitant à poursuivre. Sa grosse vulve poissait encore du sperme de la veille, mélangé à sa mouille. La place était déjà prête à se faire investir .Plus raide que jamais j’approchais ma queue à l’entrée de ce temple pour la première fois , je frottais d’abord mon gland entre ses petites lèvres, jusqu’au bouton, puis la bite lubréfiée je commençais à la pénétrer. Je cru d’abord qu’elle était vierge tellement l’ouverture résistait, puis elle même donna un coup de cul et le gland rentra .Quel délice ce passage si serré , je sentais son minou descendre le long de ma queue.
-Humm, ta queue n’est pas grosse, je préfère, dit elle . Tu sens comme je suis étroite ?
-Oh oui fis je dans un gémissement.
C’est vrai qu’avant mon cancer de la prostate , je trouvais mes 17 cm un peu juste et la radiothérapie ayant endommagé les corps caverneux j’avais encore perdu 4 cm. Je me trouvais diminué dans ma virilité et là ,miracle, une femme sorti de nulle part m’appréciait comme je suis , malgré ma bite raccourcie . Je continuais à la limer lentement, ma main glissant vers ses seins trouva les tétons durcis, au moins 1,5 cm entre mes doigts, ses aréoles gonflées et granuleuses ne trompaient pas sur le plaisir qu’elle ressentait. Comme la veille son plaisir vint rapidement , je laissais monter le mien .
-Dis moi des saletés, des cochonneries, insulte moi fit elle , je suis ta salope, dis ?
Surpris et je me prétais au jeu . Je sussurais à son oreille.
- Oui, petite salope , prends ça dans ta chatte baveuse, ta chatte et ton cul sont des garages à bites.
Là je déchargeais mon foutre en violents spasmes , donnant de grands coups de bassins contre ses petites fesses musclées.Avant d’avoir fini je sortis ma queue et l’indroduisis sans ménagement dans le trou du cul pour finir de jouir dans le rectum.
- AÏÏÏE cria t’elle, mais sans me rejeter, se tendant au contraire pour me faire pénétrer à fond.
-Prends ça salope, continuais je, j’aime te défoncer le cul, je vais te bourrer du matin au soir espèce de pute !
-Oui, continue.
-Non attends, je suis à cours d’idées, je manque de pratique dans l’insulte.
-Ahhh, souffla-t-elle dans un râle de fin d’orgasme, pardon, tu dois me prendre pour une dépravée. Quand j’étais jeune j’ai eu un amour passionnel, il aimait ça, m’insulter, me dominer quand on baisait. Après il redevenait tout doux et poli,presque timide. C’était mignon, j’ai gardé ça en moi, j’ai besoin d’être prise et traitée comme une chienne quand je fais l’amour, c’est bête hein ?
-Ne t’inquiètes pas, je vais m’y faire, si tu tiens toujours à rester ici un moment. C’est rapide, mais de toutes façons je ne vais pas te mettre à la rue dans ces conditions, j’ai de quoi vivre pour deux, faisons un test ,reste et crois mois j’ai bien l’intention d’accepter ta proposition, je te ferai ce que veux,quand je veux,où je veux, d’accord?
-Top là, fit elle en me regardant les yeux humides, puis elle fondit en larmes, la tête sur mon épaule en m’enlaçant.
A suivre… peut-être…
- Voilà, quel bonheur, une vraie douche et des vêtements propres.
- Bon, dis-je en essayant de ne pas regarder sa poitrine, à table, c’est prêt .
Elle devait être affamée , elle dévorait et le verre de vin avait été suivi d’un deuxième .Ses joues rosissaient, elle riait en discutant et j’avais l’impression partager des moments avec une femme sans problèmes. Etait ce les vapeurs d’alcool ou de l’insouciance, mais quand son peignoir s’est entrouvert elle n’a pas tenté de le refermer.
-Si tu veux, si tu me sors de la rue, tu pourras me demander ce que tu veux, sans limites. Je suis prête à tout pour m’en sortir.
Disant cela elle se leva et vient se planter devant moi , mains sur les hanches, peignoir grand ouvert sur un corps que je n’aurais pas deviné aussi beau. Pas un gramme de graisse, les abdominaux légèrement dessinés , les seins à la fois larges mais assez plats , avec ces tétons comme des bouts de crayons, les hanches minces posées sur des cuisses musclées, avec en leur centre une toison noire et abondante d’où s’échappaient une vulve proéminente avec des petites lèvres comme des ailes de papillon . La rue n’avait pas eu le temps de l’abimer , j’étais sous le charme. Elle laissa glisser son vêtement ,se retourna, se cambrant et des mains elle écarta ses petites fesses , attirant mon regard par son cratère anal entouré de brun, en dessous son appétissant sexe charnu . Sans un mot je m’agenouillais et plongeais mon visage dans son cul, la langue directement dans le petit trou offert. Je la léchais un long moment , introduisis un doigt dans sa fente déjà humide, jusqu’au clito que je titillais un peu avant de glisser dans son vagin, que je trouvais étroit, elle sursauta quand le doigt la pénétra. A ce moment là le remord me pris.
- Oh, je suis en train d’abuser de toi, je t’avais invité sans arrières pensées, tu n’es pas obligée tu sais, tu peux rester un moment ,sans contrepartie.
- Non, ne t’inquiète pas, ça aussi j’en avais envie, ça fait si longtemps , continue, s’il te plait.
Mes remords envolés je laissais mon majeur dans sa chatte et glissais un index dans sa rondelle lubrifiée de salive.
- Hummm , gémit elle, c’est bon, oh oui , j’aime ça, pffff, mon cul et ma chatte ensemble, ahhhh encore.
Mes doigts s’activant dans ses orifices je me mis debout et de ma main libre je lui pétrissais les seins pendant que ma bouche trouvait la sienne. Nos langues s’emmélaient, elle cambrait son cul au maximum, sa mouille dégoulinant sur ma main, puis je n’en puis plus , sortant mes doigts ,je me plaçais derrière elle et libérant de mon pantalon ma queue gonflée je plaçais mon gland écarlate contre sa rosette dilatée et d’une longue poussée je l’enculais tandis qu’elle poussait un long râle tout en donnant un coup de reins en arrière pour mieux se faire enfiler. Je la pilonnais , glissant une main par devant j’agrippait sa chatte et la branlais vigoureusement dans ses escalopes trempées avec des clapotements humides. C’était intense, presque brutal pour nous deux. A ces râles de plus en plus rapides je sentis son plaisir monter, moi même le feu de la jouissance me pris du trou du cul jusqu’à la pointe du gland. Au moment où elle se figea dans un long cri rauque j’explosais en elle, de longs spasmes de foutre brûlant j’aillirent dans son cul. Je la soulevais de terre, mon dard planté au fond de son rectum. Je vidais mes couilles pendant que je sentais son anus me serrer la queue par intermitances. La tension redescendit, nous étions si bien que je restais en elle encore un long moment, puis épuisés nous glissâmes au sol, ma bite libérée toujours tendue. Avec douceur elle pris ma queue d’une main et la mis en bouche pour la nettoyer . Ce fut tout ce soir là , épuisés nous nous couchâmes . Au premières lueurs du jour elle dormait encore et moi j’avais une gaulle comme du marbre, plus que d’habitude, ma bite tendait vers le plafond. Elle était moitié sur le ventre et moitié les fesses tournées vers moi. Merveilleuse vue que ces deux poires ouvertes surmontant une moule généreuse et un cratère sombre et ridé, d’une sensualité torride. Je fis doucement une caresse des épaules jusqu’à ses fesses, je sentis au frémissement de son corps que ça l’avait réveillée, mais elle ne bougea pas , je continuais le câlin intime vers ses cuisses et lentement je remontais à l’entre-jambes, elle se cambra, m’invitant à poursuivre. Sa grosse vulve poissait encore du sperme de la veille, mélangé à sa mouille. La place était déjà prête à se faire investir .Plus raide que jamais j’approchais ma queue à l’entrée de ce temple pour la première fois , je frottais d’abord mon gland entre ses petites lèvres, jusqu’au bouton, puis la bite lubréfiée je commençais à la pénétrer. Je cru d’abord qu’elle était vierge tellement l’ouverture résistait, puis elle même donna un coup de cul et le gland rentra .Quel délice ce passage si serré , je sentais son minou descendre le long de ma queue.
-Humm, ta queue n’est pas grosse, je préfère, dit elle . Tu sens comme je suis étroite ?
-Oh oui fis je dans un gémissement.
C’est vrai qu’avant mon cancer de la prostate , je trouvais mes 17 cm un peu juste et la radiothérapie ayant endommagé les corps caverneux j’avais encore perdu 4 cm. Je me trouvais diminué dans ma virilité et là ,miracle, une femme sorti de nulle part m’appréciait comme je suis , malgré ma bite raccourcie . Je continuais à la limer lentement, ma main glissant vers ses seins trouva les tétons durcis, au moins 1,5 cm entre mes doigts, ses aréoles gonflées et granuleuses ne trompaient pas sur le plaisir qu’elle ressentait. Comme la veille son plaisir vint rapidement , je laissais monter le mien .
-Dis moi des saletés, des cochonneries, insulte moi fit elle , je suis ta salope, dis ?
Surpris et je me prétais au jeu . Je sussurais à son oreille.
- Oui, petite salope , prends ça dans ta chatte baveuse, ta chatte et ton cul sont des garages à bites.
Là je déchargeais mon foutre en violents spasmes , donnant de grands coups de bassins contre ses petites fesses musclées.Avant d’avoir fini je sortis ma queue et l’indroduisis sans ménagement dans le trou du cul pour finir de jouir dans le rectum.
- AÏÏÏE cria t’elle, mais sans me rejeter, se tendant au contraire pour me faire pénétrer à fond.
-Prends ça salope, continuais je, j’aime te défoncer le cul, je vais te bourrer du matin au soir espèce de pute !
-Oui, continue.
-Non attends, je suis à cours d’idées, je manque de pratique dans l’insulte.
-Ahhh, souffla-t-elle dans un râle de fin d’orgasme, pardon, tu dois me prendre pour une dépravée. Quand j’étais jeune j’ai eu un amour passionnel, il aimait ça, m’insulter, me dominer quand on baisait. Après il redevenait tout doux et poli,presque timide. C’était mignon, j’ai gardé ça en moi, j’ai besoin d’être prise et traitée comme une chienne quand je fais l’amour, c’est bête hein ?
-Ne t’inquiètes pas, je vais m’y faire, si tu tiens toujours à rester ici un moment. C’est rapide, mais de toutes façons je ne vais pas te mettre à la rue dans ces conditions, j’ai de quoi vivre pour deux, faisons un test ,reste et crois mois j’ai bien l’intention d’accepter ta proposition, je te ferai ce que veux,quand je veux,où je veux, d’accord?
-Top là, fit elle en me regardant les yeux humides, puis elle fondit en larmes, la tête sur mon épaule en m’enlaçant.
A suivre… peut-être…