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nov 022023

Sequestrés

( Texte à la demande de Jean-Claude)
Jean-Claude ne s’était pas fait que des amis, quand je repense à cette histoire de vengeance, j’en frissonne .C’est Annie, sa femme et victime, qui me l’a racontée en détails.
Jean-Claude avait dû s’absenter deux jours et comme souvent il avait oublié son téléphone à la maison. Une heure après son départ Annie reçu un appel.
- Bonjour madame, votre mari vous prie de le rejoindre rapidement et de lui apporter son téléphone.
L’homme lui donna une adresse et raccrocha avant qu’elle est pu demander des explications. Inquiète elle sauta dans sa voiture, entra l’adresse dans le gps et se laissa guider. Ce qui l’étonna un peu c’est que le trajet pris la direction opposée à celle qu’aurait du prendre Jean-Claude. Quittant les agglomérations elle pénétra dans un secteur boisé qu’ils n’avaient pas encore visité, puis elle roula un long moment et se retrouva à la destination sur le parking désert d’un château encore fermé aux visiteurs. Là l’angoisse la saisit , quand une camionette qui devait la suivre vient se garer à sa hauteur. Elle sortit , allant au devant du conducteur qui venait à sa rencontre , au moment où elle allait parler un bras puissant arrivé par derrière lui enserra la poitrine , tandis qu’un chiffon empestant le produit chimique était plaqué sur son visage. Voulant crier et se débattre elle rua quelques instants et perdit rapidement connaissance.

C’est d’abord un lourd mal au crâne qu’elle ressentit, une pensanteur sur les paupières et dans les muscles. Puis venu de loin son prénom .
- Annie, Annie , c’est moi , je suis là.
Cette voix comme un murmure, mais, c’est Jean-Claude .Cette pensée se frayant un chemin dans la brume de sa léthargie la poussa à ouvrir un peu les paupières. La lumière crue d’un néon lui arracha un gémissement.
- Jean-Claude, c’est toi ? Que se passe t’il ?
Elle essaya de bouger mais compris que ses mains étaient attachées dans le dos et ses chevilles ligotées également.
-Oui, c’est moi, on a été k**nappés, il y avait un type caché dans la voiture, il m’a endormi, comme toi, je ne sais pas ce qu’il se passe. A ce moment là , une porte s’ouvrit violemment , trois hommes en treillis et cagoulés vinrent soulever Annie du lit et la sortirent de la pièce .
-Laissez là ! Cria Jean-Claude. En passant un des hommes le fit taire d’une monstreuse gifle .Son visage alla s’écraser sur le mur, du sang s’échappant aussitôt par les narines, la porte se referma. Il entendit les cris de terreur d’Annie s’éloigner dans un couloir , puis une autre porte claquer.
Arrivée dans une nouvelle pièce les choses se passèrent très vite pour la pauvre femme. Un homme sorti un long couteau de son étui et tandis que les deux autres la maintenaient il trancha les liens , puis de gestes précis ce sont tous les vêtements, qui coupés comme par un rasoir, chutèrent au sol. Annie nue, en état de choc, tremblante , restait debout , paralysée par la peur, sans même essayer de cacher son intimité.
Bon, écoute moi trainée, on va te donner des ordres, c’que tu refuseras c’est ton homme qui le subira, t’as compris morue ? En sanglots, la morve au nez , elle acquisa de la tête. Elle sentit un liquide chaud glisser sur ses jambes et compris que sa vessie l’avait trahie.
-Alors cochonne , tu te fous de nous? Essuie, avec tes fringues, magne ! Cria le plus grand des trois.
Ramassant des lambeaux de ses vêtements , craignant le couteau toujours menacant , Annie s’agenouilla et essuya la flaque , son émotion était telle qu’elle continuait à émettre des jets de pisses incontrôlés. La honte et surtout la terreur la submergeaient , sa résistance déjà vaincue elle se jurait d’obéir à tous les ordres, dans l’espoir d’en sortir vivante.
Elle se remit debout , frissonnante, tête baissée pour ne pas affronter le regard de ses bourreaux, les mains en coupe ne sachant que faire des chiffons qui gouttaient entre ses doigts.
Faisant signe à un de ses complices ,celui qui semblait diriger lui ordonna.
-Va chercher le connard, et tu lui mets le bandeau sur les yeux.
L’individu sorti et tournant autour de sa victime le même homme commença à la peloter, malaxant un sein , claquant une fesse puis l’autre . Ouvrant ses machoires d’une main il enfonça deux doigts dans la bouche et dit.
- Suce !
Malgré son écoeureurement Annie obtempéra. Les deux doigts enduits de salive l’homme plongea alors sa main entre les cuisses de la femme et horreur, elle sentit chacune des phalanges pénètrer ses orifices .Elle ne put retenir un cri, de surprise mais aussi de douleur, puis vinrent les mouvements, son anus et son vagin violés étaient en feu . A ce moment la porte s’ouvrit et elle vit Jean-Claude poussé dans le dos perdre l’équibre et s’étaler lourdement au sol, presque à ses pieds .
-Bon, alors voilà la situation, je vais donner des ordres, si un refuse c’est l’autre qui sera puni. On commence . Toi déjà tu t’déssapes ! Fit il en flanquant un coup de pied dans la cuisse de Jean-Claude , qui trésaillit et se recroquevilla en réflex de protection.
-Allez mauviette , regarde! Dit-il en attrapant un téton d’Annie puis le pressant fortement en tournant.
-Ahhhhh , gémit-t-elle , n’osant se défendre.
Jean-Claude allait protester, mais sa certitude de voir les choses empirer venait de vaincre sa résistance . Aussi rapidement que possible il enleva tous ses vêtements, nu et honteux . L’homme lacha le sein, laissant une marque rouge qui laisserait longtemps après des marques d’hématome.
- Les gars, j’compte 5 trous à remplir et vous ? Sortez vos queues !
Ce que venait de dire le chef ne laissa aucun doute aux suppliciés quand à leur sort. ‘A la limite pensa Annie, si ce n’est qu’une histoire de viol et qu’ils nous laissent partir , en s’en remettra. Ce vicieux de Jean-Claude qui aime se promener avec un plug va être servi . Je me demande bien qui sont ces types et pourquoi nous, ça a l’air bien organisé.
-A genoux !
L’ordre hurlé à son oreille la fit sursauter et une brusque pression sur les épaules l’obligea à s’exécuter. Un autre fit de même avec Jean-Claude. Les trois hommes avaient sorti bites et couilles de leur braguettes, encore à moitié molles ils les secouaient devant les visages du couple. Spectacle d’une absolue vulgarité. Celui devant Annie mis son sexe devant sa bouche. L’odeur était répugnante, probablement pas lavé depuis longtemps, tout la révulsait , l’acte , la saleté, la honte . Pourtant elle ouvrit la bouche, décidée à en finir le plus rapidement possible.
-Lèche bien salope, j’ai baisé deux putes hier, faut m’nettoyer ça !
Un haut le coeur la pris en entendant ces mots, elle ne put retenir un petit pet, extrèmement génée.
-Non mais oh, tu m’pètes dessus, tu vas voir, dit il en se retournant et en collant ses fesses contre le visage. Là à son tour il lacha un énorme pet en rigolant.
-Prends ça ! Et d’une pression de main il maintenait le visage , puis ordonna.
- Lèche tout, régale toi !
Suffocant , respirant la puanteur de ce cul tout aussi sale que le devant, elle sortit quand même la langue, aussitôt envahie d’un goût amer, elle contint une nouvelle nausée, les larmes aux yeux elle continua l’horrible nettoyage. Cela lui sembla durer longtemps, puis l’homme à nouveau pivota. Elle pris une grande respiration quand aussitôt le sexe à présent gonflé s’engoufra à nouveau dans sa bouche. Elle s’imagina le faire avec Jean-Claude et cela l’aida un peu à poursuivre la fellation. Tout en suçant son regard fixa son mari qui lui aussi souffrait le martyre. Un homme était allongé sur le dos, Jean-Claude à quatre pattes le sucait , la tête maintenue par deux mains et des bras puissants , le troisième homme à genoux derrière s’activait dans le cul de son mari et comme un cow-boy il lui donnait de grosses claques sur les fesses .
-Les mecs, on s’retient , on fait durer, sortez vos queues !
Les trois hommes libérèrent momentanément leurs victimes. Ils se tenaient , leurs grosses bites raides, prètent à cracher des litres de foutre.
-Mais qu’allaient ils encore subir. Pensa Annie qui regardait le pauvre visage de son homme, le nez égratigné, du sang sur son visage aimé. Son intimité violée en public. Quel cauchemard !
- Bon on est chauds là les tourtereaux, toi la blondasse tu vas te mettre en levrette et bien écarter ton cul, fais voir ton entrée de service !
Annie informée sur la suite du supplice s’exécuta, se tournant elle s’agenouilla , puis se pencha jusqu’à avoir son joli visage au sol, elle passa alors ses mains dans le dos, les posa sur ses fesses et les écarta le plus largement possible. Son anus prêt à recevoir les monstrueuses bites palpitantes.
- Toi le mari, va faire le ménage, lèche lui l’trou et crache dessus, faut qu’ça glisse !
-Jean-Claude, abattu, s’exécuta . Cette gâterie il la faisait déjà souvent à sa femme, mais là, pour préparer son viol c’était particulièrement révoltant, pourtant il n’avait pas d’autre choix, ces monstres étaient capable de tout. Consciencieusement il commença à lécher cette rosette adorée, avec amour et douceur.
-Plus vite connard ! Hurla-t-on dans son dos au moment où ce qui devait un fouet lui provoqua un éclair de douleur sur les fesses. Annie sentit la langue s’activer ,rentrer loin dans son anus , comme elle l’aimait tant en temps ordinaires .Un moment de douceur dans cet enfer.
-Ca suffit, dégage ! Maintenant le cocu tu vas te branler devant ta truie, allez, à genoux en face et regarde nous l’enculer, t’as intérêt à bander!
Jean-Claude fut poussé sur le côté et il vint penaud se placer en face d’elle, il prit son sexe ramolli et commença à le triturer. A quoi pouvait il penser le pauvre ?
- Mon dieu, les monstres, mais c’est innomable se lamenta Annie , quand deux mains lui agrippèrent les hanches, elle sentit d’abord une pression sur son petit trou, puis comme un bélier défoncerait une porte une violente pénération fit exploser la douleur dans son puy intime. Le feu, la sensation de déchirement lui arrachèrent plus de larmes et un long cri de souffrance. Elle serra les poings, ferma les yeux , essayant de supporter l’assaut. Puis lentement le mal s’atténua. Le bandit continuait à violer son derrière en crispant fort ses doigts dans les chairs de son postérieur, elle le sentait proche de l’extase. elle se dit qu’au moins le passage était fait et que la suite serait moins douloureuse. Jean-Claude à sa surprise continuait les va-et-vient sur sa bite et celle ci avait commencé à gonfler. D’abord, choquée elle se dit que cela vallait mieux d’obéir aux ordres et qu’il devait se concentrer sur son érection pour satisfaire les tortionnaires. L’homme s’activait de plus en plus vite, puis au moment ou elle pensait qu’il allait jouir il sortit d’entre ses fesses et vint se placer à hauteur de Jean-Claude, le forçant à ouvrir la bouche avec son gland violacé, se mettant de côté pour qu’Annie voit ça il branla fort son énorme queue et mon amie vit de longs jets de foutre fuser dans la bouche de son homme, au milieu des râles de jouissance de la brute. Il n’avait pas fini de jouir qu’elle senti qu’un autre prenait possession de son cul. Un gros gland la pénétra suivi d’une tige plus fine que la précédente. A peine pénétrée par derrière , le dernier homme arriva devant elle, astiquant son membre, elle voyait à grand vitesse le prépuce décaloter puis recouvrir le gland luisant et rouge. L’homme agrippa ses cheveux , lui relevant la tête il força ses lèvres de son braquemart raide comme du bois. La queue s’introduisit entièrement, forçant sa gorge , faisant venir une nausée incontrolable. L’air lui manquait, la panique la pris et elle essaya de se dégager. D’un coup elle fut libérée , la bite ressortit brusquement, suivit d’un flot de vomi incontrolable.
-P… pardon, marmona-t-elle. Tandis que le premier jouisseur tenait fermenent fermée la bouche de Jean-Claude pour le forcer à avaler sa semence. Annie vit son homme déglutir. A ce moment là le deuxième sortit de son cul puis vient remplacer le premier dans la bouche du mari , tandis que le troisième commençait un nouveau ramonage de ses entrailles. La folle sarabande continuait. Le deuxième jouisseur visa moins bien et plusieurs jets de sperme maculèrent de visage de Jean-Claude, les yeux , les joues, les lèvres en ressurent autant que la langue et l’intérieur de la bouche. Annie bien malgré elle sentait son bas-ventre s’échauffer , habituée à jouir quand elle donnait son cul à son homme , même le stress et la peur ne pouvait retenir les ondes de plaisir qui irradiaient de son anus jusqu’à sa chatte, d’autant plus que Jean-Claude (Le salaud il me le paiera ! ) avait maintenant sa belle queue raide et gonflée. Elle le vit même frotter ses doigts sur son visage pour recueillir les trainées de sperme puis mettre les doigts à la bouche pour tout aspirer.
-Stop ! Arrête la branlette ! Fit le grand en retirant brusquement la main de la queue palpitante de J.C. , qui le regard hébété et sembla se réveiller. Il s’était comme échappé du cauchemard en se masturbant dans une rêverie.
- Attend , je viens! Fit l’enculeur d’Annie, qui libérant son cul en laissant le trou largement dilaté , vint à son tour mettre son braquemart dans la bouche de Jean-Claude, en lui pinçant le nez. Annie voyait les fesses poilues se contracter à chaque giclée de sperme. Jean-Claude referma ses lèvres autour du membre et aspira en fermant les yeux. Annie ne savait si il y prenait vraiement plaisir ou si il donnait le change pour adoucir leurs bourreaux. Elle n’était pas arrivée jusqu’à l’orgasme, bien heureuse et frustrée à la fois. Elle sentait sa rondelle encore parcourue de chaudes de bonnes sensations et sa chatte suintait, parfaitement lubrifiée. Toujours le cul en l’air.
-Bon, assez joué, toi tu repars dans ta cage, emmenez le et butez le ! dit le chef. Un des hommes pris Jean-Claude par la bite encore tendue et le fit sortir de la pièce .
-Non, pas ça, arrêtez§ Cria Annie.
- Ta gueule! Fit le chef dans l’oreille de mon amie . Puis une seconde après un gros BANG emplit l’atmosphère . Aussitôt avant un nouveau cri l’homme colla à nouveau un chiffon imbibé d’un produit anesthésiant sur le visage d’Annie, épuisée elle se débattit à peine et sombra dans l’inconscience avec une dernière pensée par son amour assassiné.

De très loin un voix lui parvenait, Annie, Annie. Puis un peu plus nettement, elle avait mal à la tête, que se passait il ? Puis l’image fulgurante de ces derniers instants de lucidité revint en mémoire et elle ouvrit les yeux en hurlant ‘Nonnn, Jean-Claude , nonnn ! ‘
-Je suis là, ici, regarde moi .
Hébétée , la vision brouillée , elle vit au-dessus d’elle des branches d’arbres , des coins de ciel, puis le visage tuméfié de Jean-Claude.
-Nous sommes vivants mon coeur, ils nous ont libérés, j’ai été endormi aussi, comme ce matin. Regarde ça , une lettre. Ils écrivent ” Change de métier, ne te mèles plus de nos affaires, la prochaine fois sera la bonne.”. Ces salauds ont fait tout ça pour nous faire peur, c’est dingue.
-Mais , le coup de feu ? Quand ils t’ont emmené j’ai entendu un coup de feu dit-elle .
-Sans doute juste pour te faire encore plus peur, ils m’ont endormi tout de suite après m’avoir dit que l’autre allait te trancher la gorge. Oh ma chérie, ça va, c’était l’horreur mais nous sommes en vie .

Ils avaient été laissés nus , dans les buissons à côté du parking et de la voiture d’Annie , les clés,le téléphone , leurs papiers et deux bleus de travail en guise de vêtements leur avaient été laissé.

Annie m’en parla après quelques mois, encore traumatisée, Jean-Claude lui refoula l’histoire , mais je sentis bien qu’ensuite son attitude et ses moeurs avaient évolués .

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ICRA

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