nov 022023
Trio surprise.
Vint le jour où je franchis le pas , traverser la cour et répondre à l’invitation de mes petits voisins. Une cour commune, les jardinets accolés , dans notre village loin de tout. J’avais emmenagé dans cette vieille maison deux mois auparavant , je n’aime pas trop la promiscuité, mais vu le prix et la beauté du lieu j’avais acheté rapidement, croisant les doigts pour avoir un voisinage tranquille. Jusque là tout allait bien, des jumeaux, un frère et une soeur habitaient la maison d’à côté . Calmes, sympathiques, mignons , au décès de leurs parents ils étaient resté là. Moi jeune retraité et eux travaillant à domicile on se croisait assez souvent, aujourd’hui ils m’avaient invité à diner, pour mieux faire connaissance . On était en été et eux comme moi nous avions l’habitude d’être dans nos jardins en tenues légères.Quand j’arrivais, mon panier de légumes bio et une bouteille de vin dans les mains , ce fut Lola ,en maillot de bain deux pièces cachant le minimum, qui m’accueillit d’abord en me claquant deux bises , elle me précéda pour aller sur leur terrasse, en tortillant franchement son petit pétard. Tom qui préparait la table se fendit d’un grand sourire en me voyant et plus étonnant, lui aussi vint me faire deux bises .
-’Bon, pourquoi pas’ – me dis-je , moi plutôt réservé ce n’était pas dans mes habitudes, mais la démarche était plutôt sympa. Ce qui me troubla c’est qu’Eric portait un string ficelle,moulant des gros attributs sur le devant et laissant ses petites fesses musclées en liberté. Lola quand à elle avait son mini soutien-gorge déformé par de longs et gros tétions et la forme de son minou parfaitement dessinée par le léger triangle de tissu. Cette exposition volontaire de leurs corps m’intimidait un peu, avec mon short et mon t-shirt je me sentais décalé. Bien consciente de ma gène et avec malice Lola me dit.
- Nous sommes naturels, si tu veux te mettre à l’aise comme nous , vas-y, ça sera plus sympa.
-Bon, pourquoi pas, dis-je , je vous préviens ,je n’ai pas de maillot, juste un caleçon.
Plus exité que mal à l’aise, j’enlevais short et t-shirt. Tom nous servit des punchs et nous trinquâmes en picorant des amuses-gueules. Nous parlions de choses et d’autres, l’alcool aidant l’ambiance était très détendue. Quand Lola riait elle posait toujours une main sur son frère ou moi. Ils avaient mis de la musique sud américaine et le corps de Lola ondulait en rythme . Avec son maillot brésilien elle était d’un érotisme torride, malgré moi je sentais mon sexe durcir, mais je n’étais pas le seul , Tom était en train de développer un sacré gourdin qui déformait son slip. Etrange quand même d’un frère pour sa soeur. Je n’essayais plus d’analyser la situation et me laissais bercer par la légère ivresse et les mélodies ensorcelantes. Lola vit mes regards langoureux sur ses attributs et ceux de son frère, ça semblait l’amuser. Elle se collait se plus en plus à moi , alors elle me passa une main sur l’épaule et l’autre sur celle de son frère, puis chacun fit de même. Nous dansâmes ainsi quelques instants, puis des mains caressèrent des dos, puis des fesses, Lola approcha son visage et ses lèvres enveloppèrent les miennes, sa langue s’aventura, la mienne l’accueillit tandis que je sentais la main de Léo se glisser doucement sur mes fesses. Ma queue était à présent parfaitement tendue, quand la main de Lola commença à l’effleurer.
- Oh, qu’elle est dure ! Souffla-t-elle sur mon visage, puis sans attendre elle me baissa le caleçon qui glissa à mes pieds. Le souffle court je vis que Léo avait aussi enlevé son slip de bain, son superbe dard dressé et palpitant. J’attrapais les deux seins gonflés aux si belles pointes, que je frottais dans mes paumes, puis je défis les noeuds qui retenaient slip et soutif , nous étions nus tout les trois. Lola avaient attrapé nos deux queues, je découvrais sa chatte à tatons, elle était poisseuse de mouille, petites lèvres très larges dans lesquelles mes doigts s’engoufraient . Léo quand à lui, me faisait des bisous dans le cou et un de ses doigts s’aventurait jusqu’à frotter ma rondelle. En quelques minutes nous avions basculé dans un délire sexuel, je me laissais porter…
J’avais bien 25 ans de plus qu’eux, mais à ce moment là nous étions pareils, juste des humains en rute . Léo, visiblement bisexuel et partenaire de sa soeur , s’était agenouillé derrière moi, écartant mes fesses il me faisait la sublime délicatesse de lécher ma rosette. Une langue longue et pointue rentrait profondément en moi tout en tournant sur les bords de mon anus. Puis ce fut sa soeur qui se baissant à son tour pris mes couilles dans une paume , son autre main coulissa sur mon membre et sa bouche se referma sur mon gland écarlate, la langue frétillait dessous puis léchait autour, j’étais pris dans un merveilleux manège pornographique. Un doigt remplaça la langue dans mon cul , Lola se mit debout me tourna le dos, puis très cambrée elle vint se coller contre moi en guidant ma bite dans son vagin, d’abord très serré, mais tellement humide que mon gland glissa dans la fournaise . A ce moment là mon trou fut libéré et deux mains me saisirent les hanches , puis je sentis un bélier écarter mes fessses, trouver mon entrée et mon petit trou commença à subir l’assaut d’une enculade déterminée. C’était ma première fois, je ne pensais pas cela possible, mais millimètre par millimètre le braquemar tendu progressait et élargissait le passage déjà bien préparé . Alors vint une résistance, mais il continua doucement et je sentis mes muscles se relacher et accepter cette pénétration anale, là d’une seule poussée il rentra toute sa queue. Je poussais un long gémissement de plaisir, d’autant plus que le vagin de Lola me serrait comme un gant et je palpitais en elle, au bord de l’explosion. Lola qui soudain émit un râle de bête fauve, long, comme à l’agonie. Son vagin me serra le membre comme une poigne d’acier en fusion, elle donna quelques violents coups de cul en arrière ce qui eu pour effet de m’enfiler un peu plus sur la bite de son frère, qui se mit à s’agiter frénétiquement en me labourant les entrailles, son plalsir venait, le mien je le laissais enfin lui aussi exploser. En décalé nous avons lancer des jets de foutres, qui dans la chatte, qui dans le cul. J’agrippais Lola par ses nichons, malaxant les pointes , alors elle passa une main entre ses cuisses et caressa les deux paires de couilles en train de se vider. Je ne savais pas de ma bite ou de mon cul lequel avait le plus de plaisir, tout était en feu dans cette zone. Lola s’avança doucement et quand mon gourdin sortit il fut suivi d’un torrent de mouille de sa jouissance, nous aspergeant les cuisses .Elle resta penchée mains sur les genoux et j’admirais son trou de balle dilaté lui aussi par le plaisir et luisant de transpiration comme le reste du corps musclé de cette beauté. Presque à regret je sentis glisser la bite de Léo, je me cambrais un peu plus et écartais mes fesses des deux mains, quand son gland se libéra je savais que lui aussi observait ma dilation causée par sa délicieuse sodomie.
Nous nous affalâmes chacun dans un des larges fauteuils de jardin , cuisses ouvertes, bras balants, nous observant en souriant, c’est l’image que je garde de cette expérience boulversante de sensualité qui m’a profondément changé et donné une liberté sexuelle que je n’imaginais pas auparavent. Bien sûr, nous avons eu depuis de nombreuses séances de cette nature , des histoires plus torrides les unes que les autres.
-’Bon, pourquoi pas’ – me dis-je , moi plutôt réservé ce n’était pas dans mes habitudes, mais la démarche était plutôt sympa. Ce qui me troubla c’est qu’Eric portait un string ficelle,moulant des gros attributs sur le devant et laissant ses petites fesses musclées en liberté. Lola quand à elle avait son mini soutien-gorge déformé par de longs et gros tétions et la forme de son minou parfaitement dessinée par le léger triangle de tissu. Cette exposition volontaire de leurs corps m’intimidait un peu, avec mon short et mon t-shirt je me sentais décalé. Bien consciente de ma gène et avec malice Lola me dit.
- Nous sommes naturels, si tu veux te mettre à l’aise comme nous , vas-y, ça sera plus sympa.
-Bon, pourquoi pas, dis-je , je vous préviens ,je n’ai pas de maillot, juste un caleçon.
Plus exité que mal à l’aise, j’enlevais short et t-shirt. Tom nous servit des punchs et nous trinquâmes en picorant des amuses-gueules. Nous parlions de choses et d’autres, l’alcool aidant l’ambiance était très détendue. Quand Lola riait elle posait toujours une main sur son frère ou moi. Ils avaient mis de la musique sud américaine et le corps de Lola ondulait en rythme . Avec son maillot brésilien elle était d’un érotisme torride, malgré moi je sentais mon sexe durcir, mais je n’étais pas le seul , Tom était en train de développer un sacré gourdin qui déformait son slip. Etrange quand même d’un frère pour sa soeur. Je n’essayais plus d’analyser la situation et me laissais bercer par la légère ivresse et les mélodies ensorcelantes. Lola vit mes regards langoureux sur ses attributs et ceux de son frère, ça semblait l’amuser. Elle se collait se plus en plus à moi , alors elle me passa une main sur l’épaule et l’autre sur celle de son frère, puis chacun fit de même. Nous dansâmes ainsi quelques instants, puis des mains caressèrent des dos, puis des fesses, Lola approcha son visage et ses lèvres enveloppèrent les miennes, sa langue s’aventura, la mienne l’accueillit tandis que je sentais la main de Léo se glisser doucement sur mes fesses. Ma queue était à présent parfaitement tendue, quand la main de Lola commença à l’effleurer.
- Oh, qu’elle est dure ! Souffla-t-elle sur mon visage, puis sans attendre elle me baissa le caleçon qui glissa à mes pieds. Le souffle court je vis que Léo avait aussi enlevé son slip de bain, son superbe dard dressé et palpitant. J’attrapais les deux seins gonflés aux si belles pointes, que je frottais dans mes paumes, puis je défis les noeuds qui retenaient slip et soutif , nous étions nus tout les trois. Lola avaient attrapé nos deux queues, je découvrais sa chatte à tatons, elle était poisseuse de mouille, petites lèvres très larges dans lesquelles mes doigts s’engoufraient . Léo quand à lui, me faisait des bisous dans le cou et un de ses doigts s’aventurait jusqu’à frotter ma rondelle. En quelques minutes nous avions basculé dans un délire sexuel, je me laissais porter…
J’avais bien 25 ans de plus qu’eux, mais à ce moment là nous étions pareils, juste des humains en rute . Léo, visiblement bisexuel et partenaire de sa soeur , s’était agenouillé derrière moi, écartant mes fesses il me faisait la sublime délicatesse de lécher ma rosette. Une langue longue et pointue rentrait profondément en moi tout en tournant sur les bords de mon anus. Puis ce fut sa soeur qui se baissant à son tour pris mes couilles dans une paume , son autre main coulissa sur mon membre et sa bouche se referma sur mon gland écarlate, la langue frétillait dessous puis léchait autour, j’étais pris dans un merveilleux manège pornographique. Un doigt remplaça la langue dans mon cul , Lola se mit debout me tourna le dos, puis très cambrée elle vint se coller contre moi en guidant ma bite dans son vagin, d’abord très serré, mais tellement humide que mon gland glissa dans la fournaise . A ce moment là mon trou fut libéré et deux mains me saisirent les hanches , puis je sentis un bélier écarter mes fessses, trouver mon entrée et mon petit trou commença à subir l’assaut d’une enculade déterminée. C’était ma première fois, je ne pensais pas cela possible, mais millimètre par millimètre le braquemar tendu progressait et élargissait le passage déjà bien préparé . Alors vint une résistance, mais il continua doucement et je sentis mes muscles se relacher et accepter cette pénétration anale, là d’une seule poussée il rentra toute sa queue. Je poussais un long gémissement de plaisir, d’autant plus que le vagin de Lola me serrait comme un gant et je palpitais en elle, au bord de l’explosion. Lola qui soudain émit un râle de bête fauve, long, comme à l’agonie. Son vagin me serra le membre comme une poigne d’acier en fusion, elle donna quelques violents coups de cul en arrière ce qui eu pour effet de m’enfiler un peu plus sur la bite de son frère, qui se mit à s’agiter frénétiquement en me labourant les entrailles, son plalsir venait, le mien je le laissais enfin lui aussi exploser. En décalé nous avons lancer des jets de foutres, qui dans la chatte, qui dans le cul. J’agrippais Lola par ses nichons, malaxant les pointes , alors elle passa une main entre ses cuisses et caressa les deux paires de couilles en train de se vider. Je ne savais pas de ma bite ou de mon cul lequel avait le plus de plaisir, tout était en feu dans cette zone. Lola s’avança doucement et quand mon gourdin sortit il fut suivi d’un torrent de mouille de sa jouissance, nous aspergeant les cuisses .Elle resta penchée mains sur les genoux et j’admirais son trou de balle dilaté lui aussi par le plaisir et luisant de transpiration comme le reste du corps musclé de cette beauté. Presque à regret je sentis glisser la bite de Léo, je me cambrais un peu plus et écartais mes fesses des deux mains, quand son gland se libéra je savais que lui aussi observait ma dilation causée par sa délicieuse sodomie.
Nous nous affalâmes chacun dans un des larges fauteuils de jardin , cuisses ouvertes, bras balants, nous observant en souriant, c’est l’image que je garde de cette expérience boulversante de sensualité qui m’a profondément changé et donné une liberté sexuelle que je n’imaginais pas auparavent. Bien sûr, nous avons eu depuis de nombreuses séances de cette nature , des histoires plus torrides les unes que les autres.