Je suis une vilaine.
Voili, voilou, il est 11:30, je suis sur un nuage , il vient de partir. Pour résumer j’ai en bouche le goût de son sperme et mes orifices sont encore distendus , quel rodéo ! Donc, j’ai bien joué le coup, en t-shirt et culotte je suis descendue frapper fort à sa porte, il a ouvert ,en caleçon et les cheveux en bataille , un peu paniqué d’être réveillé en sursaut. Je lui ai sorti mon scénario de l’araignée ,avec l’air effrayé de la fille terrorisée. Il a d’abord été géné et s’est à moitié caché derrière la porte en me disant.
- Heu, oui, d’accord, j’arrive.
Je l’attendais sur le palier quand il est sorti en t-shirt et jogging. Arrivé chez moi je lui ai d’abord fait chercher dans la chambre, bien sûr sans rien trouver, alors j’ai commencé l’allumage. Passant devant je me mis à regarder sous le lit, je savais qu’il me matait pendant que j’étais en levrette à faire semblant de chercher, ma culotte serrait entre mes fesses et moulait bien mon minou , mon t-shirt aussi bâillait et mes nénés devaient être bien visibles. Quand je me suis relevée il était là bouche bée , le rouge aux joues et une belle bosse dans son jogging. Je lui ai dit en faisant la moue.
- Pas d’araignée , j’peux pas rester toute seule pendant qu’elle se balade chez moi. Oh – dis-je l’air surprise en fixant la bosse de son entre-jambes- , mais , tu…tu.., mais tu bandes !
Le pauvre ne savait pas où se mettre , il déglutissait sans pouvoir parler, le visage maintenant écarlate.
-C’est pas grave tu sais , ce sont mes fesses qui te font cet effet, et bien je prends ça comme un compliment, merci .
Et là j’ai pris son visage à deux mains et je lui ai fait un gros bisous sur le nez , comme il ne bougeait pas, tétanisé, j’ai recommencé plus bas, mes lèvres sur les siennes j’ai poussé ma langue entre ses dents , en me collant à lui j’ai sentis la dureté de sa bite contre mon ventre. Puis sa langue a accepté la mienne, il s’est mis à me rouler un patin enfièvré, ses mains sont devenues baladeuses, le coquin m’a agrippé une fesse et un nichon. Alors j’ai glissé une main entre nous, dans son pantalon, j’y ai trouvé sa belle bite en liberté, chaude comme une bouillote. Belle à mon goût, plutôt courte, mais tellement dure et pas trop grosse, de celles qui passent partout sans faire mal et ne donnent que du bien. Alors sa main hésitante a migré sur le devant , ses doigts se sont glissés entre la peau et le tissu, d’abord sur ma toison, puis ils sont descendus ,tandis que j’ouvrais mes cuisses, jusqu’à ma petite fleur, écartant les pétales son majeur arriva à mon entrée humide, la paume frottant mon bouton rose si sensible. Humm, quel délicieux moment que celui où l’on se donne une première fois et que l’on découvre l’abandon de l’autre. Son doigt en crochet me pénétra, doucement, timidement .Pour l’encourager j’activais ma main sur sa bite en serrant fort, son prépuce coulissait bien sur son gland humide de désire.
Là, prise d’une pulsion j’ai glissé une main sur ses fesses, quand j’ai commencé à les pétrire il s’est cambré , j’ai donné une claque et il a gémit en s’offrant encore plus. Alors je me suis agenouillée, d’abord une léchouille sur son dard , puis je l’ai fait se tourner, j’ai écarté ses fesses à deux mains, regardant d’abord son petit trou au milieu de poils avec ses belles couilles ballotant en dessous,là j’ai collé mes lèvres sur son anus et comme si je l’embrassais sur la bouche j’ai poussé ma langue. Je l’ai faite frétiller, tourner , lui a mis ses mains sur les genoux pour mieux s’offrir. Quand sa rondelle a été bien ouverte et enduite de ma salive, j’ai repris ma respiration et délicatement je lui ai mis deux doigts serrés à l’entrée de sa grotte et en appuyant un peu ils ont pénétré sans difficulté, il a même poussé son cul vers moi pour aider la pénétration. Là j’ai fait une manoeuvre, me glissant entre ses jambes tout en gardant mes doigts dans son trou j’ai pu mettre mon visage devant et goulûment j’ai englouti sa belle bite que le petit coquin était en train de branler. J’ai savouré la mouille qui recouvrait son gland décalloté, j’adore ce goût. Je lui ai masturbé l’anus de plus en plus vite et courageuse j’ai englouti toute sa belle queue en retenant ma respiration,jusqu’à ce que ma langue puisse les lécher ls boulles. C’est quand j’ai introduit un troisième doigt dans son trou complétement souple qu’il a commencé à grogner, je l’ai ai tous rentré à fond et c’est en reprenant ma respiration que son gland entre mes lèvres il a tout lâché, en gémissant comme un supplicié. Pfff, la quantité de jus était impressionnante , il a giclé pendant peut-être trente seconde, j’avais la bouche pleine quand ça s’est arrêté. Il est resté debout empalé sur mes doigts, la bite palpitante, alors en le regardant les yeux dans les yeux je lui est montré ma bouche ouverte pleine de son jus et doucement j’ai dégluti et tout avalé, le pauvre mignon avait un sourire bête tellement touchant. Doucement j’ai retiré mes doigts et sans cesser de le regarder je les ai léchés, puis j’ai aspiré la goutte de sperme qui restait sur son gland. Comme il restait dur je l’ai fait s’allonger , je l’ai enfourché et j’ai empallé mon minou baveux sur sa tige, puis sans trop bouger j’ai glissé mes doigts sur mon petit bouton et je me suis rapidement donné du plaisir , je sentais sa bite commencer à ramollir et quand mon orgasme est arrivé j’ai coincé sa nouille comme dans un coupe cigare , j’ai pris mon pied de justesse, mais qu’est que c’était bon cette baise rapide, je crois que je vais être mouillée toute la journée et que ce soir j’irai encore sonner à sa porte, j’ai un petit trou qui n’a pas été visité aujourd’hui.