2022 n°3 2022 n°5
nov 022023

Cocu en colère

A. , ma douce amie et femme de J.C. , m’a donné à vivre les meilleurs scéances de cul de mon existence .Epanouie comme peuvent l’être les femmes sexy de plus de 50 ans , cul, chatte, seins, tout en elle était offert généreusement et j’en ai profité tant que la vie nous l’a permis. Mon penchant pour la rondelle, la rosette, le p’tit trou, le cratère anal, bref , le trou du cul, a été comblé de multiples fois . elle était comme ça, généreuse et soumise, sans chichi, jamais grincheuse et bonne jouisseuse.Je la retrouvais pendant les déplacement de JC., c’est à dire souvent. Quand elle m’attendait notre jeux était que je rentrais dans la maison sans sonner et en silence, elle patientait dans la chambre, nue et en levrette, un bandeau sur les yeux et dos à la porte.Sans bruit j’ôtais mes vêtements et sans la toucher je présentais ma queue raide à l’entrée de son vagin ,que je voyais toujours humide et parfois dégoulinant de mouille. Juste un frisson et une aspiration d’air accompagnaient le cambrement de sa croupe , douce même dans le délire hérotique. Tout en la pénétrant lentement je laissais alors glisser de grosses goutes de salive jusqu’à sa rosette brune et d’un pouce je massais l’orifice, en tournant d’abord , puis invariablement le doigt s’enfonçait dans le puy, bien au chaud. Alors invariablement nous commencions nos dialogues vulgaires, d’autant plus excitant que nous étions d’ordinaire extrèmement polis et courtois.
-Ahhh, salopard, t’as encore envie de m’enculer, hein ? Mon gros cul de vieille salope t’excite, ta queue me ramone la chatte mais t’en veux plus petit dégueulasse !
- C’est ça vieille pute, j’vais t’dilater les trous, tiens, j’te file deux doigts dans le panier à crottes, prend ça !
Là , crachant à nouveau sur sa rondelle je glissais mon majeur à côté le l’index, forçant la résistance de son sphincter, la douleur légère lui arrachant un gémissement. Alors à travers les fines parois de son vagin et de son rectum mes doigts massaient ma queue à chaque allé-retour.
- Putain c’est bon ,fit elle a travers ses dents serrées. Continue, mets m’en trois !
Alors l’annulaire fit sa place, lui ouvrant encore plus le trou du cul. La mouille de sa moule provocant des bruits mouillés à chaque fois que mon bassin s’écrassait sur son cul. Ses seins ballotaient et de ma main libre je lui pétris l’un et l’autre, roulant les tétons entre mes doigts, puis ma main remonta jusqu’à sa fente trempée, trouvant le clito en érection, je frottait et lui donnais de petites tapes. Elle était à présent baisée, enculée et branlée en même temps, je suais abondamment, elle aussi avait le dos luisant. Nous ne parlions plus, juste nos gémissements de bêtes en rute occupaient l’espace. Ses reins cambrés à l’extrème annonçaient l’arrivée de son orgasme , je la laissais venir, alors son cri s’étouffa dans l’oreiller et ses cuisses commencèrent un tremblement incontrolé, pendant trente seconde elle fut comme électrocutée. Alors je laissais venir mon plaisir, sortant de sa chatte tout en gardant mes doigts dans son cul, je viens placer mon sexe luisant de sa mouille devant sa bouche, elle l’ouvrit en tirant la langue et en même temps je sentis le délice d’un de ses doigts me pénétrant la rondelle, là je lâchais tout, une succession de jets de foutre lui remplit la bouche, plus je me branlais, plus ça sortait, son doigt me pillonant l’anus ajoutait un plaisir intense et finalement je plongeais ma queue au maximum, sa langue me lécha les couilles un moment, puis complètement vidé de ma semence je la libérais, elle suça le doigt sorti de mon cul et me couchant près d’elle nous nous embrassames pour partager nos fluides.
Une autre fois elle me proposa de ne pas nous laver jusqu’à notre prochaine rencontre, deux jours plus tard .
-Je veux que nous nous connaissionst encore plus intimement , nous allons aussi apprivoiser nos côtés honteux, ce que nous ne partageons avec personne, d’accord?
Par jeux ou par défis j’acceptais , moi qui me douche deux fois par jour et qui fait la chasse aux mauvaise odeurs je me demandais bien comment j’allais vivre cette expérience. Nous étions fin juin, la chaleur était étoufante , les deux jours à transpirer et à évacuer mes déjections m’avaient laisser une impression de clochardisation, j’hésitais d’abord à la rencontrer dans cet état, mais elle vint chez moi en avance, j’étais piégé.Nous nous embrassames avec le goût de notre dernier repas entre les dents.Je l’enlaçais et bien sûr nos vêtement volèrent rapidement à travers la pièce. elle commença à me donner des petits baisers sur tout le corps, respirant mes aisselles, écartant mes fesses et me décalotant. Gêné comme jamais je l’entendais inspirer bruyamment , le nez dans mes parties intimes elle léchait tout , puis elle monta sur le lit et se mit en levrette. J’étais malgré tout très excité, la queue raide.Aimanté par son superbe cul j’y plongeais le visage, l’odeur de pisse fut la plus forte, mais je n’y prêtais pas attention, ma langue commença à lui lécher l’anus, là un goût aigre agressa mes papilles, je continuais pourtant, nullement indisposé, cette découverte de la saleté corporelle me donna encore plus de désir. Elle se cambra au maximum et je descendis lui lécher la fente odorante, instant dans les plis, léchant l’entrée du vagin distribuant des effluves fortes et un goût acide.La petite garce gémissait, je m’occupais alors de ses pieds. elle avait dû marcher en sandales les deux derniers jours, quand je pris chaque orteil en bouche je sentis de la matière sur ma langue, mais je m’appliquais à tout nettoyer, je me sentais en mission , je devais la rendre propre intégralement, comme elle venait de la faire avec moi. Quand j’eu terminé je lui mis même deux doigts dans la rondelle et les fis tourner dans son rectum, puis tandis que je plongeais ma bite dans son cul je lui fis tourner la tête pour qu’elle me regarde sucer mes doigts. J’étais comme ivre de cette nouvelle luxure, j’en voulais encore plus. La petite cochonne venait de réveller une nouvelle partie de moi.

Bon, je vous saoule sans doute avec ces détails scabreux .C’était pour vous signifier la fusion qui nous à unis quelques temps, une complicité totale. Ce qui devait arriver arriva. Un jour où J.C. devait être loin en déplacement j’avais rejoint Annie, nous nous donnions du plaisir, elle offerte en levrette et moi faisant des aller-retours dans ses orifices. Tout à mon action, les mains crispées dans la chair de ses hanches , je limais, je pilonnais, je percutais son fessier avec des gémissements rauques. Tandis que mon plaisir s’annonçait je senti une main glisser sur mes fesses , puis j’en vis une autre se glisser entre les miennes sur la croupe d’Annie en même temps que la voix de Jean-claude murmurait à mon oreille.
- Continue, ne t’arrête pas.
Malgré le choc de la surprise j’intégrais aussitôt la situation, je continuais mes coups de piston, puis ce fut Annie qui compris qu’une troisième main la caressait.
- Ahhhh, chéri, tu es là , ahhhh, regarde , tu aimes qu’il me prenne devant toi ? Ahhhh.
Quelle heureuse surprise. J’avais ce sentiment de trahison qui me rongeait depuis le début et ce voile gris s’envolait soudain. J’avais l’impression que mon sexe devenait plus dur et volumineux, cette nouvelle complicité me redonna de la vigueur, où peut-être était-ce le doigt de J.C. tournant sur ma rosette puis y pénétrant tandis que son autre main glissait entre les cuisses de sa femme.

Là s’arrête la rigolade, je me suis senti soudainement projeté sur le côté en même temps qu’un coup violent sur la tempe m’assomait à moitié . J’entendis le cri étoufé d’Annie quand, s’étant retournée elle prit le coup de poing de Jean-Claude dans le ventre. Mes mains furent tirées dans le dos, solidement attachées et reliées à mes pieds , avec une corde qu’il avait dû préparer. Ma queue palpitante encore du plaisir avorté et le goût de la rondelle d’Annie encore sur ma langue , je vis Jean-Claude, le visage ravagé par la colère et la jalousie, baisser son pantalon et son caleçon , il agrippa alors mes cheveux et m’ouvrant la machoire d’une main il plongea sa bite encore molle dans ma bouche.
- Tu me mords, tu meurs, suce ! Grinça t-il l’air mauvais.
Alors, persuadé qu’il tiendrait promesse, pour la première fois de ma vie je commençais à sucer, une bite, un zob, une queue, un chibre, un braquemar, etc, tous les noms me passaient par la tête et je sentis l’engin grossir rapidement, ma langue tournait autour du gland,dessous aussi, comme j’aime qu’on me le fasse. Après environ deux minutes c’est un pilon qui me ramonait jusqu’à la glotte, me donnant des hauts le coeur. Alors il me libéra et retournant Annie sur le ventre , à deux mains il tira sa croupe à lui et sans ménagement il lui enfila le vagin d’un seul coup de reins, arrachant un cri aigu.C’est peut-être ce cri qui lui fit perdre la tête, pour la faire taire il plaça ses mains sur le coup fragile et commença à serrer. Annie s’agitat, se débatit. Dans l’action le sexe de Jean-claude glissa et pénétra l’anus de sa compagne. Les coups de reins d’Annie n’étaient pas sexuels, mais une vaine tentative pour tenter de sauver sa vie. Jean-Claude piolonnait sauvagement et je criais.
- Arrête, mais arrête, tu vas la tuer !
Puis je n’entendis plus les plaintes, je ne vis plus de ruades, Annie comme une poupée de chiffon le réagissait plus. Jean-Claude s’en apperçut aussi et sorti de sa victime au moment même ou sa jouissance explosait. Debout,hirsute et soufflant comme un boeuf il laissa jaillir de longs jets de foutre , arrosant et contemplant sa victime, l’air hagard , réalisant soudainement ce qu’il venait de faire. Il tenta tout, bouche à bouche, massage cardiaque, mais je voyais bien à l’angle de la tête que des vertèbres avaient été brisées, Annie était morte.
Jean-claude en état de choc, quitta l’appartement,pantalon encore baissé, me laissant attaché à côté du corps. Je l’entendais descendre l’escalier en répétant ” j’ai tuée ma femme, j’ai tuée ma femme….” . Après quelques minutes une voisine entra dans la pièce, poussa un hurlement et ressortit aussitôt, j’attendis un quinzaine de minutes et des policiers entrèrent . J’ai bien sûr une honte qui ne me quittera jamais, Jean-Claude est en prison en attente du procès, mais j’ai entendu dire que des psychiatres pourraient le déclarer irresponsable au moment des faits. En ce moment je finis mes cartons, demain je pars loin, très loin, sans douter qu’Annie et Jean-Claude seront du voyage à jamais dans mes nuits de cauchemards.

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ICRA

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