nov 022023

Sylvie 2 suite’Le bon, la chatte et le truand

Sylvie et avions vécu des instants d’horreur le mois dernier . Encore traumatisés nous ne nous étions pas revus, puis je l’appelais pour rétablir le contact et cette fois ci c’est elle qui vient chez moi. Comment dire , rien n’était prémédité, mais après que je l’ai faite entrer , nous nous fimes la bise comme d’habitude . Nos visages restés proches nos regards s’accrochèrent quelques secondes et doucement , naturellement , nos bouches se trouvèrent , s’ouvrirent et nous enlaçant nous nous donnèrent un baiser fougeux, comme des ados. Les langues se cherchaient, nos mains caressaient et le sentiment de coup de foudre qui fait exploser la poitrine nous envahit.
-Oh, je…, pardonne moi , dit elle, ça m’a pris comme ça.
-Tu vois, tout comme moi, c’est une bonne surprise , j’ai l’impression que j’en avais envie depuis longtemps.
-Moi aussi en fait, dit elle dans un souffle, posant sa tête sur ma poitrine.
Et une nouvelle embrassade nous emporta . Cette fois ci les mains furent moins timides, nos bassins se collaient et ma queue commençait à durcir.
- Attends dis je , tu es certaine, ce n’est pas prématuré ?
-Non, je ne veux pas attendre trop longtemps pour effacer ce qu’on a vécu, j’ai lu que pour vaincre un traumatisme on peut le revivre , mais contôlé,dans de bonnes conditions, qu’est ce que tu en dis ?
- Je… oui, pourquoi pas, si c’est conseillé. Mais ça veux dire de reproduire le même scénario, sans le fou?
-Oui, essayons, de toutes façons nous serons gentils, hein ?
-Oui, bien sûr,donc on se donne chacun des ordres comme si c’était lui, c’est ça l’idée ?
-Voilà , tu veux bien commencer? Fit elle un peu gênée.
-D’accord, bon, fous toi à poil ! Dis je timidement.
-Non, ça ne va pas, tu dois m’insulter comme il l’a fait et me bousculer aussi, allez, fais le s’il te plait.
Alors je me lançais, la fixant dans les yeux je lui balançais une bonne gifle et une deuxième sur l’autre joue. Elle ouvrit la bouche en sursautant.
-Fous toi à poil salope, magne toi ! Criais je en levant une main menaçante.
-Comme un robot elle défit ses vêtements, sa bouche tremblait, j’ai eu peur d’avoir été trop brutal , mais je continuais, je la poussais énergiquement sur le canapé
- Ecarte les cuisses et ouvre ta chatte de truie, vite !
Là je décidais de passer le relais, un peu choqué moi même par mes propos.
-A toi , lui dis je, alors qu’elle obéissait à mon ordre, deux doigts de chaque main écartant ses petites lèvres, en fait plutôt grandes et rouge foncé, son clito déjà gonflé,comme une petite bille et l’entrée du vagin luisante d’un début de mouille.
- A bon, déjà?
Elle se leva alors et me fixant aussi dans les yeux, son visage se durcit et je fus plié en deux par un direct au ventre, le souffle coupé j’entendis hurler à mon oreille.
-Enlève tes fringues morveux , mets ton cul à l’air et plus vite que ça !
-J’étais réellement surpris et inquiet, le traumatisme de la vraie agression remontait, mais comprenant l’enjeu je lui obéis. Maladroitement j’enlevais tous mes vêtements.
-A quatre pattes devant le canapé, vite!
J’obéis pendant qu’elle s’assayait au bord du canapé et s’allongeait en relevant les jambes vers les épaules, dégageant à ma vue sa fente et la raie de son cul, couvertes de poils parsemés.
-Maintenant lèche, tout . Lèche tout petite fiote, nettoie moi !Murmura t’elle le souffle un peu court.
Là je me dis qu’elle se prenait vraiment au jeu, qu’un petit grain de folie nous faisait faire des trucs un peu trop poussés, mais la situation était devenu trop excitante et s’arrêter maintenant ne rimerait à rien. J’obéis donc et une nouvelle fois je plongeais mon visage dans ses plis intimes.D’abord ma langue sépara ses petites lèvres comme des crètes de coq ,depuis l’entrée du vagin humide où le goût de sa mouille emplit ma bouche. Je remontais ,le nez enfoncé dans sa chatte dodue, jusqu’au clito que je titillais de droite à gauche puis en tournant. Sylvie hâletait et des spasmes la parcouraient.
- Descends en bas , mon petit trou, lèche mon trou du cul ! Intima-t-elle. Je…. j’veux sentir ta langue dedans.
J’obtemprérais , cette fois ci elle s’était lavée avant de venir, sa salle de jeux sentait bon l’amande douce. Je descendit plus bas et dû écarter les fesses potelées pour bien dégager son anus, un beau petit cratère brun avec des grandes rides. Lui écartant largement le cul je plongeais ma langue au plus profond , mon nez rentré dans sa moule humide. Ma langue s’agitait dans tous les sens et je l’entendais gémir de satisfaction tandis que sa chatte libérait de plus en plus de liquide qui s’écoulait jusqu’à ma bouche.
- Ohhh,ahhhh, ouiii, lèche à fond, maintenant mets moi un doigt, dépèche !
-A cours de respiration , le visage rouge et couvert de mouille ,je repris mde l’air avec plaisir tout en lui insérant un majeur entièrement dans la rondelle, elle gémit et s’agrippa les seins en se cambrant, l’anal c’est son truc , elle ne simulait pas. Sans attendre sa demande, ma queue raide comme un poteau vint remplacer mon doigt. Je l’agrippais aux hanches, mon dard rentra dans la cible d’une seule poussée et son cri ne fut pas de douleur , mais un long râle de satisfaction.
-Ohhh, tu m’encules salopard, tu fourres ta bite dans mon cul de salope, tu l’aimes hein mon cul, tu aimes le défoncer ?
Elle était en roues libres , complétement déchainée et concentrée sur son plaisir , sa technique fonctionnait , elle prenait le dessus sur son traumatisme. Je décidais de faire pareil et de me lâcher vraiment. Nous devenions à la fois victimes et bourreaux.
- Oui, t’es juste une pouffiasse une suceuse de chibres, une enculée de première juste bonne à te faire défoncer ton gros cul, dis je tout en la pilonnant en lui donnant une gosse claque sur une fesse, lui arrachant un cri.
Nous étions en sueur, comme des boxeurs en fin de match et complètement libérés de nos blocages, à l’excès , vulgaires et nous vautrant dans la pornographie. Les insultes et les grossièretés fusaient sans arrêt, des mots,des expressions que nous n’avions jamais utilisés, le pire de la vulgarité. Je sentais la chaleur de la jouissance monter de mon périné quand elle le perçut à mes gémissements et me dit.
-Sort , sort de mon cul, mets toi debout !
A regret je m’exécutais , la queue palpitante, prête à cracher . Se laissant alors glisser à genoux devant moi elle mit son majeur dans sa bouche, le sortit plein de salive et d’un geste rapide elle le glissa entre mes fesses, chercha mon trou , puis appuya franchement , provocant une brûlure passagère sur ma rosette non préparée. Aussitôt ses lèvres m’entourèrent délicatement le gland turgescent pendant que sa main libre soupesait mes couilles en les faisant rouler. Seuls mes hâlètements s’entendaient. Sa langue frétillait autour du gland et avec le massage de prostate je ne pus plus retenir l’explosion. Des jets de sperme lui inondèrent la bouche, elle me garda en elle tandis que je me vidais pendant près d’une minute , activant son doigt entre mes fesses. Je dû m’appuyer sur ses épaules car mes jambes fléchissaient pendant cet orgasme extraordinaire. Enfin elle me libéra la queue et ouvrit grand la bouche, le sperme la remplissait , puis en deux gorgées elle avala toute ma semence, sortit doucement le doigt de mon rectum et le lécha .

Elle me sera contre elle, la joue contre ma queue encore frémissante, ses mains agrippées à mes fesses.
-Oh, quelle cochonne j’ai été ,dit elle avec un petit rire nerveux. Lui caressant la tête ,moi aussi je sentais un rire incontrôlable me gagner. Nous partîmes en éclats de rire, soulagés et heureux, heureux d’avoir osé et par la même d’avoir réalisé notre propre thérapie.Depuis nous avons une relation intense, très sexuelle et heureuse, aucun tabous et l’épisode de l’agression ne vient plus nous hanter.

nov 022023

Béa

Ca a commencé comme ça. J’avais pris Béa en stop , un soir de pluie à un arrêt de bus désert. Une heure de route plus tard, après avoir beaucoup parlé, je lui proposais une chambre chez moi , plutôt que la rue une fois de plus pour cette sdf en fin d’espérence. Plus de famille, son ex et aussi ancien patron l’ayant virée pour prendre une gamine de vingt ans. Elle errait depuis quelques semaines d’abris de fortune en hébergement du 115, la misère totale. A 50 ans elle était au bord du vide, sans horizon ni espoir. Arrivés à la maison je l’installais comme une princesse dans la chambre d’amis avec salle de bain. Je lui sortis des cartons de vêtements laissés par mon ex femme , pendant qu’elle se mettait à l’aise je nous préparais un repas reconstituant. Après vingt minutes elle réapparut , transformée , ses vêtements usés et sales remplacées par une sortie de bain que j’avais connu sur d’autres épaules, les cheveux bruns lavés et brossés en arrière , bien que mince ses formes galbées resplendissaient , deux longues pointes tendaient le tissu moulant sur sa poitrine menue.
- Voilà, quel bonheur, une vraie douche et des vêtements propres.
- Bon, dis-je en essayant de ne pas regarder sa poitrine, à table, c’est prêt .
Elle devait être affamée , elle dévorait et le verre de vin avait été suivi d’un deuxième .Ses joues rosissaient, elle riait en discutant et j’avais l’impression partager des moments avec une femme sans problèmes. Etait ce les vapeurs d’alcool ou de l’insouciance, mais quand son peignoir s’est entrouvert elle n’a pas tenté de le refermer.
-Si tu veux, si tu me sors de la rue, tu pourras me demander ce que tu veux, sans limites. Je suis prête à tout pour m’en sortir.
Disant cela elle se leva et vient se planter devant moi , mains sur les hanches, peignoir grand ouvert sur un corps que je n’aurais pas deviné aussi beau. Pas un gramme de graisse, les abdominaux légèrement dessinés , les seins à la fois larges mais assez plats , avec ces tétons comme des bouts de crayons, les hanches minces posées sur des cuisses musclées, avec en leur centre une toison noire et abondante d’où s’échappaient une vulve proéminente avec des petites lèvres comme des ailes de papillon . La rue n’avait pas eu le temps de l’abimer , j’étais sous le charme. Elle laissa glisser son vêtement ,se retourna, se cambrant et des mains elle écarta ses petites fesses , attirant mon regard par son cratère anal entouré de brun, en dessous son appétissant sexe charnu . Sans un mot je m’agenouillais et plongeais mon visage dans son cul, la langue directement dans le petit trou offert. Je la léchais un long moment , introduisis un doigt dans sa fente déjà humide, jusqu’au clito que je titillais un peu avant de glisser dans son vagin, que je trouvais étroit, elle sursauta quand le doigt la pénétra. A ce moment là le remord me pris.
- Oh, je suis en train d’abuser de toi, je t’avais invité sans arrières pensées, tu n’es pas obligée tu sais, tu peux rester un moment ,sans contrepartie.
- Non, ne t’inquiète pas, ça aussi j’en avais envie, ça fait si longtemps , continue, s’il te plait.
Mes remords envolés je laissais mon majeur dans sa chatte et glissais un index dans sa rondelle lubrifiée de salive.
- Hummm , gémit elle, c’est bon, oh oui , j’aime ça, pffff, mon cul et ma chatte ensemble, ahhhh encore.
Mes doigts s’activant dans ses orifices je me mis debout et de ma main libre je lui pétrissais les seins pendant que ma bouche trouvait la sienne. Nos langues s’emmélaient, elle cambrait son cul au maximum, sa mouille dégoulinant sur ma main, puis je n’en puis plus , sortant mes doigts ,je me plaçais derrière elle et libérant de mon pantalon ma queue gonflée je plaçais mon gland écarlate contre sa rosette dilatée et d’une longue poussée je l’enculais tandis qu’elle poussait un long râle tout en donnant un coup de reins en arrière pour mieux se faire enfiler. Je la pilonnais , glissant une main par devant j’agrippait sa chatte et la branlais vigoureusement dans ses escalopes trempées avec des clapotements humides. C’était intense, presque brutal pour nous deux. A ces râles de plus en plus rapides je sentis son plaisir monter, moi même le feu de la jouissance me pris du trou du cul jusqu’à la pointe du gland. Au moment où elle se figea dans un long cri rauque j’explosais en elle, de longs spasmes de foutre brûlant j’aillirent dans son cul. Je la soulevais de terre, mon dard planté au fond de son rectum. Je vidais mes couilles pendant que je sentais son anus me serrer la queue par intermitances. La tension redescendit, nous étions si bien que je restais en elle encore un long moment, puis épuisés nous glissâmes au sol, ma bite libérée toujours tendue. Avec douceur elle pris ma queue d’une main et la mis en bouche pour la nettoyer . Ce fut tout ce soir là , épuisés nous nous couchâmes . Au premières lueurs du jour elle dormait encore et moi j’avais une gaulle comme du marbre, plus que d’habitude, ma bite tendait vers le plafond. Elle était moitié sur le ventre et moitié les fesses tournées vers moi. Merveilleuse vue que ces deux poires ouvertes surmontant une moule généreuse et un cratère sombre et ridé, d’une sensualité torride. Je fis doucement une caresse des épaules jusqu’à ses fesses, je sentis au frémissement de son corps que ça l’avait réveillée, mais elle ne bougea pas , je continuais le câlin intime vers ses cuisses et lentement je remontais à l’entre-jambes, elle se cambra, m’invitant à poursuivre. Sa grosse vulve poissait encore du sperme de la veille, mélangé à sa mouille. La place était déjà prête à se faire investir .Plus raide que jamais j’approchais ma queue à l’entrée de ce temple pour la première fois , je frottais d’abord mon gland entre ses petites lèvres, jusqu’au bouton, puis la bite lubréfiée je commençais à la pénétrer. Je cru d’abord qu’elle était vierge tellement l’ouverture résistait, puis elle même donna un coup de cul et le gland rentra .Quel délice ce passage si serré , je sentais son minou descendre le long de ma queue.
-Humm, ta queue n’est pas grosse, je préfère, dit elle . Tu sens comme je suis étroite ?
-Oh oui fis je dans un gémissement.
C’est vrai qu’avant mon cancer de la prostate , je trouvais mes 17 cm un peu juste et la radiothérapie ayant endommagé les corps caverneux j’avais encore perdu 4 cm. Je me trouvais diminué dans ma virilité et là ,miracle, une femme sorti de nulle part m’appréciait comme je suis , malgré ma bite raccourcie . Je continuais à la limer lentement, ma main glissant vers ses seins trouva les tétons durcis, au moins 1,5 cm entre mes doigts, ses aréoles gonflées et granuleuses ne trompaient pas sur le plaisir qu’elle ressentait. Comme la veille son plaisir vint rapidement , je laissais monter le mien .
-Dis moi des saletés, des cochonneries, insulte moi fit elle , je suis ta salope, dis ?
Surpris et je me prétais au jeu . Je sussurais à son oreille.
- Oui, petite salope , prends ça dans ta chatte baveuse, ta chatte et ton cul sont des garages à bites.
Là je déchargeais mon foutre en violents spasmes , donnant de grands coups de bassins contre ses petites fesses musclées.Avant d’avoir fini je sortis ma queue et l’indroduisis sans ménagement dans le trou du cul pour finir de jouir dans le rectum.
- AÏÏÏE cria t’elle, mais sans me rejeter, se tendant au contraire pour me faire pénétrer à fond.
-Prends ça salope, continuais je, j’aime te défoncer le cul, je vais te bourrer du matin au soir espèce de pute !
-Oui, continue.
-Non attends, je suis à cours d’idées, je manque de pratique dans l’insulte.
-Ahhh, souffla-t-elle dans un râle de fin d’orgasme, pardon, tu dois me prendre pour une dépravée. Quand j’étais jeune j’ai eu un amour passionnel, il aimait ça, m’insulter, me dominer quand on baisait. Après il redevenait tout doux et poli,presque timide. C’était mignon, j’ai gardé ça en moi, j’ai besoin d’être prise et traitée comme une chienne quand je fais l’amour, c’est bête hein ?
-Ne t’inquiètes pas, je vais m’y faire, si tu tiens toujours à rester ici un moment. C’est rapide, mais de toutes façons je ne vais pas te mettre à la rue dans ces conditions, j’ai de quoi vivre pour deux, faisons un test ,reste et crois mois j’ai bien l’intention d’accepter ta proposition, je te ferai ce que veux,quand je veux,où je veux, d’accord?
-Top là, fit elle en me regardant les yeux humides, puis elle fondit en larmes, la tête sur mon épaule en m’enlaçant.
A suivre… peut-être…
nov 022023

Le calvaire de Sylvie

Sylvie, ma voisine vient de me dire qu’elle vit un enfer, que son gros porc de mari lui fait faire les pires cochonneries, mais qu’elle reste avec lui, car propriétaire et patron de ses parents il les mettrait dehors si elle ne lui obéit pas. Des années que ça dure. Son mari a dû partir quelques jours pour de nouvelles magouilles professionnelles , alors ce matin quand je l’ai croisée en pleurs je l’ai invitée à venir se confier autour d’un verre. Ca a été tout de suite libérateur pour elle, elle m’a beaucoup raconté,peut-être pas tout. Séduite et épousée à 18 ans elle a fait un mariage inespéré pour sa condition sociale, tout le monde était ravi. Jusqu’à la nuit de noce où tout a basculé . Ivre, après avoir arraché la robe de mariée il a commencé par lui donner une grosse fessée, avec les mains puis une ceinture , une bête féroce . Baillonnée avec sa culotte dans la bouche et ne pouvait pas crier. Ensuite ce monstre vélu et membré comme un ours ,selon elle, l’avait prise comme une brute par ses orifices encore vierges, provoquant des douleurs épouvantables. Comme pour l’excuser elle me dit .
- Oui, mais il avait bu, il n’était pas lui-même. Le problème c’est que depuis trois ans maintenant, chaque jour est pire que le précédent, je dois faire des choses humiliantes. Je ne peux pas aller aux toilettes, je dois faire devant lui , dans un saladier, accroupie sur une table et il filme tout . A la maison je dois être toujours nue, à sa disposition .Parfois il fait venir des copains à lui et quand ils ont trop bu ça commence. Les mains aux fesses ,au seins, partout. Je dois sourire et là aussi me mettre nue, oh que c’est humiliant. Ensuite, à chaque fois , quand ils jouent aux cartes il m’envoit sous la table et un par un je dois sucer tous les invités, si un jouit dans ma bouche il faut que j’avale, je n’aime pas ça mais je le fais parce q’une fois j’ai craché et j’ai eu droit à des fessées de tous ces hommes, mes fesses sont restées bleu une semaine. En plus ils sont toujours sale dans leur slip, ça sent mauvais en fin de journée, mais je ne dois rien dire, je nettoie leur crasse avec ma langue. C’est un pervers je vous dis et moi la bonniche , d’ailleurs entre eux ils m’appellent la bonniche beaux nichons, c’est malin. Alors après quand il est sobre il s’excuse, dit qu’il ne recommencera pas, je n’y crois pas, alors maintenant je fais sembant d’aimer ça, au moins il y a moins de coups.
- Mais dis je, ça me semble un peu exagéré, non ? Vous n’en rajoutez pas un peu ?
- Oh bah non, je vais vous le prouver ! Je connais son mot de passe , il y a toutes ses vidéos sur l’ordinateur, allons à la maison.
Devant sa détermination j’acceptais, un peu gêné quand même. Nous traversâmes la rue pour passer chez elle , là elle m’installa devant l’ordi , installant les dossiers concernés, il y en avait des centaines.
- Je vous laisse regarder, moi j’ai trop hônte, vous verrez que je n’invente pas.
Elle s’éclipsa dans le jardin et je cliquais au hasard . Premières images, un gros plan sur un cul de femme à quatre pattes, une bougie blanche dans l’anus brun et une rouge dans le vagin de la chatte écarlate et gonflée, une main apparait avec un briquet et enflamme les bougies. On entend une voix d’homme, -Avance, fais le tour de la table ! Docilement la femme s’exécute , cambrée , le fessier un peu large ondulait à chaque mouvement, quand elle se retrouva face à moi effectivement je reconnu Sylvie , les seins lourds ballotant attiraient mon regard,elle s’arrêta dans la même position, le cul exposé à la caméra. Là , son mari de dos, vraiment très velu, vient enlever les bougies et cracha plusieurs fois entre les fesses de sa femme, puis à moitié accroupi il présenta un énorme sexe que je devinais derrière des couilles de taureau. L’homme avait tout de la brute épaisse. Néanmoins le gland rentra de suite dans la rosette et d’un mouvement de bassin en enfonça tout son membre dans le rectum. J’entendit un petit gémissement de douleur et un gros grognement de satisfaction. Le gros cul poilu s’activait surles douces fesses laiteuses de Sylvie, le contraste faisait peine à voir. J’arrêtais la vidéo, sonné mais culpabilisant car des frissons agréables parcourait mon sexe à moitié gonflé. Alors je cliquais sur une autre vidéo. Plan fixe sur une grande table, un saladier en verre au centre, Sylvie,nue, qui monte sur une chaise, puis sur la table, elle s’accroupit , cul cambre vers la caméra, j’entendit la voix du mari, – vas y, vide toi ! D’abords un pet puissant , puis la rondelle s’ouvrit pour laisser glisser un long boudin verdâtre qui tomba en spirale au fond du plat, puis un jet d’urine fit tinter le récipient .Je regardais presque malgré moi, mais la scène surprenante et malsaine avait un effet hypnotisant, je me surpris à caresser mon entre-jambes . Je me levais et sorti sur la terrasse ou je m’apperçus que d’où elle était Sylvie avec tout regardé aussi . Elle soutint mon regard malgré ses joues rouges et son air coupable. Moi-même je trouvais difficilement mes mots.
-Heuu, en effet, c’est cru , je suis un peu géné d’avoir vu.
- Oh vous savez il les montre à ses copains , vous n’êtes pas le premier. Et puis ça me fait presque plaisir que ça soit quelqu’un de gentil qui regarde, ça change de ces sales types. En plus vous ne pouvez pas cacher la bosse de votre pantalon.
- Desolé, c’est malgré moi , c’est triste pour vous , mais c’est quand même excitant. Je suis peut-être aussi un salaud, pardon.
-Mais non, c’est moi qui vous ai demandé de regarder, c’est ma faute. En fait ce que je voudrais c’est lui faire payer en le faisant cocu de mon plein grés, cet enfoiré. Il ne le saura pas, pais ça sera ma vengeance secrète. Je, heuu, vous pourriez faire ça pour moi , Vous pouvez me faire tout ce que vous voulez, de toute façons il m’a déjà tout fait.
En me parlant elle avait posé une main sur ma cuisse .Je la pris dans la mienne et la regardant au fond des yeux, je tirais sa main vers mon entre-jambes et ma queue encore tendue dans le caleçon. Elle s’agenouilla entre mes jambes et après avoir caressé la bosse elle baissa la braguette et tira d’un coup sur le pantalon et le caleçon, je levais les fesses et elle retira tout. Je me trouvais en t-shirt, le sexe tendu vers les nuages et elle commença à me masser les couilles en me bralant doucement pendant qua sa langue s’emparait de mon gland dejà luisant de mouille. Sa main quitta les boules pour s’insinuer en dessous, je me mis debout et elle entra son majeur en moi.
- Ahhh, Sylvie, c’est bon, je ne connaissais pas.
Elle faisait des allers-retours dans mon anus et je découvrais des sensations de plaisir inconnues. Ma queue était a son maximum de dureté dans sa bouche gloutonne, je sentais le palsir monter , mais en experte elle s’arrêta à temps, libérant la bite palpitante. Son doigt sorti doucement, à mon grand regret, mais elle savait que l’explosion était trop proche , la tension devait redescendre. Elle se mit debout et colla sa bouche à la mienne, sa petite langue frétillante cherchant la mienne. Je lui agrippais les fesses, elle fit de même. Nous ne parlions pas beaucoup, les regards et les gémissements suffisaient. Elle se retourna alors et se mit en levrette, passant une main entre ses fesses , de deux doigt elle écarta en peu son anus, me signifiant ce qu’elle m’offrait. Sa salive enduisant encore mon braquemart tendu , je mis un genou à terre, l’agrippais aux hanches et après avoir craché sur son trou du cul je commençais à l’enculer , d’abord doucement, puis devant la souplesse de la rondelle d’une franche poussée je rentrais tout mon membre jusqu’aux couilles.
- Hummm, Haaaaa, fimes nous en coeur.
J’étais vraiment trop excité, après une minute de ramonage je sentis le plaisir monter en puissance. Je sorti du cul et me plaçais rapidement face à son visage, puis plongeais me bite dans sa bouche grande ouverte. A nouveau un doigt me pénétra et un tsunami de plaisir me dévasta, des flots de sperme giclèrent sur la langue, dans la gorge , puis elle me suça jusqu’à la dernière goutte , me défonçant la rondelle avec rapidité,puis plus calmement . Enfin elle me fit retourner et retirant ses doigts elle les remplaça par sa langue et me fit un long baiser anal, un main passée entre mes jambes massant encore ma queue ramollie. Pour finir elle mordilla gentiment mes fesses et leur donna des bisous.

Cette femme d’une grande gentillesse est une aubaine , je me suis décidé, nous avons trois jours avant le retour du monstre. Je viens de réserver les déménageurs pour demain, direction ma résidence secondaire qui deviendra ‘notre’ principale .Je l’emmène avec moi.Ses parents viendront aussi , je les installerais dans la ferme familiale.J’ai vidé l’ordi du mari de toutes les vidéos, mais avant nous les avons mis sur des clés USB, il y a quand même quelques chose d’excitant dans ces monstruosités, ça meublera nos soirées coquines à venir. Ahh, vive la vie.

nov 022023

Malgré moi

Pierre et Lola, mes voisins, je les ai trouvés plutôt sympas au début quand j’ai perdu mon travail et eu des problèmes d’argent. Jeunes retraités, la vente de leur librairie leur laissait un beau pactole. Nos jardins communiquent par un portillon et je m’occupe de l’entretient du leur depuis quelques mois, contre quelques sous. Ils m’ont demandé hier de tondre devant leur terrasse. J’amène le matériel, perdu dans mes pensées et là j’entend un gémissement, je lève les yeux et par la porte du salon ouverte je vois le cul de Pierre s’activer avec les cuisses de Lola dépassant de chaque côté. Je profite du spectacle quand je laisse tomber le rateau et que Pierre me découvre en se retournant. J’allais partir, gêné, mais le visage rouge, essouflé ,il dit.
-Attends , reste, viens !
J’hésitais, puis j’entendis la petite voix paniquée de Lola.
- Qu’est ce que, qui est ce , y’a quelqu’un ?
-T’inquiète pas, c’est Jean,notre voisin. Viens Jean , approche, s’il te plait . Fit-il toujours besognant sa femme.
Franchement déjà excité par le spectacle, je m’approchais. Lola, transpirante et respirant vite ne pouvait retenir la montée du plaisir. ses seins pointus aux aréoles gonflées montraient l’excitation à son maximum.
-Caresse nous souffla Pierre, s’il te plait caresse nous.
Comme un automate je laissais alors mes mains se promener sur les corps en action. Je massais les seins fermes de la main droite tandis que la gauche s’aventurait sur les fesses de Pierre. Il gémit de satisfaction. Je me plaçais alors derrière eux, à genoux .Je voyais ces deux culs en action, celui de Pierre donnant lentement des coups de boutoir, ses couilles ballotantes s’écrasaient sur le trou du cul brun foncé de sa femme, puis il se reculait, cambré , ses fesses s’ouvrant sur une rondelle étrangement bien dilatée et boum, il replongeait dans la chatte avec un bruit mouillé et des gémissements des deux partenaires. Je caressais ces deux culs, puis humectant mes index , lentement je leur en introduisis un à chacun.
-Ohhh . Oh oui . Firent ils. J’accompagnais le mouvement en faisant des allers retours avec mes doigts, en les faisant tourner. Je massais la prostate de monsieur et je sentais sa bite à travers la paroi coulisser dans le vagin de sa femme.
-Oh allez, déshabille toi, viens t’amuser avec nous. Quand penses tu chérie ?
-Oh, bah maintenant que j’ai son doigt dans le cul , oui Jean, s’il te plait, participe vraiment, montre nous ta bite, elle est dure ? Tu aimes nous voiiiir . Dit elle dans un orgasme naissant.
Effectivement ma queue déformait mon short, quand je le baissais en face de Lola elle fit .
Houuu, le bel engin, sa main aussitôt se tendit vers mon chibre dressé, elle me tira vers elle, mais au passage Pierre se pencha et englouti mon gland turgescent.
-A moi, à moi. Réclama Lola.
Tiré par la queue je me plaçais entre les deux amants, debout jambes écartées et pliées , ma bite aussitôt prise en bouche. Je sentis Pierre se retirer de sa femme et ohhh, une sensation très agréable sur mon anus, Pierre me rentrait la langue dans le trou de balle, m’écartant les fesses largement. Quel délice, pompé d’un côté et léché de l’autre. Puis sans prévenir la langue ayant détendu le passage, Pierre commença à m’insérer un doigt.
- Voilà, c’est à ton tour. Dit il . Tout le monde s’est fait doigter l’anus.
C’était très bon ce traitement, mais quand il commença à rentrer aussi son majeur ça a piqué.
-Doucement! lui dis je, ça tire.
- Attends, je te lubrifie.Dit il en prenant le tube de gel .Il retira ses doigts .
-Oh le petit cochon ,dit il amusé, j’ai des traces sur les doigts.
-Désolé ,dis je gêné, je n’avais pas prévu.
-Donne, lui intima Lola en saisissant sa main qu’elle porta à sa bouche, aspirant les doigts et les suçant entièrement .
-Lola, c’est gênant , je ne sais pas ou me mettre.Dis je au moment où je sentis du gel froid appliqué sur ma rosette.
-Relax, ne t’inquiète pas fit Pierre, elle adore , elle le fait tout le temps. Lola me jeta un regard malicieux en suçant ostensiblement ses doigts.
-Oui, mais sale, crade et tu aimes ça ?
-Oh là là, détends toi , mais pas trop , regarde, tu débandes.
Effectivement ce petit épisode m’avait fait tomber l’envie. Mais je n’eus pas le temps de me morfondre, déjà je sentais glisser à l’intérieur de moi deux doigts serrés qui glissèrent facilement grace au gel.Il les rentrait en tournant. Lola, se mit debout et me branlant doucement et caressant mon visage colla sa bouche sur la mienne. Nos langues se mélèrent, tandis qu’en bas je me faisais ramoner le conduit. Je pétrissais une fesse et agrippais la chatte .Mes mains vagabondes , visiteuses intimes, glissèrent chacune un majeur dans les orifices de Lola. Nous nous branlions mutuellement, pierre me branlait le cul avec vigueur, c’était divin.
-Ca y est dit elle, tu rebandes dur. Dis , tu voudrais nous prendre, tous les deux , par le cul ?
Sans attendre ma réponse elle se tourna, le cul cambré , Pierre retirant doucement ses gros doigts de ma rosette vient se placer à côté d’elle, dans la même position.Lola devant moi, je commençais par elle. Je lui avais bien trifouillé la rondelle et ce petit trou brun était déjà à moitié ouvert, mon gland écarta facilement les bord de l’anus et d’une longue poussée je rentrais toute ma queue. Elle gémit. Un peu de salive sur mon majeur et à ma droite Pierre se reçu un doigt dans la cible, je tournais un peu pour élargir le trou et je glissais aussi l’index , qui rentra facilement. Ca couinait bien sur le canapé , pendant que je m’occupais de leur limer les garages à bites ils s’embrassèrent, s’en était touchant. Là je changeais,sortant du cul de Lola je me plaçais face à Pierre, je leur mis à chacun une grosse claque sur les fesses , provoquant des petits cris, puis attrapant monsieur aux hanches je pointais mon dard au centre de la cible et d’une franche poussée je m’introduisis jusqu’aux couilles. – Ahhhhh, fit il. Trois doigts de ma main gauche enduits de salive firent le même traitement à Lola .Elle se cambra encore plus en gémissant. Je les travaillais au cul comme ça quelques minutes , les seuls bruit étaient nos halètements . Alors, sentant le plaisir monter , sortant bite et doigts je dis.
- Je ne tiens plus, retournez vous, ouvrez vos bouches !
Aussitôt dit , aussitôt fait , comme des oisillons attendant la becquée , ils s’agenouillèrent tête contre tête devant ma queue que je serrais pour retenir l’explosion, alors je lâchais tout .Les deux premières grosses giclées dans la bouche de Lola, les trois suivantes dans celle de Pierre, alors ils se mirent à me sucer ensemble, reccueillant les dernières gouttes et puis ils s’embrassèrent , partageant mon sperme, enfin ils déglutirent , ne laissant rien échapper. Pierre avait toujours la bite tendue, écarlate, alors je m’agenouillais et pour la première fois je pris une bite dans la bouche. Je n’eus pas à attendre, des jets de sperme me remplirent le palais tandis qu’il plaquait à deux mains ma tête sur son ventre. Je manquais m’étouffer et me libérais. Là je pris le visage de Lola dans mes mains et ma bouche versa dans la sienne le sperme chaud et épais de son mari.
Voilà, c’était hier, là je les apperçois ouvrir le portillon et venir chez moi, je devine que la suite de la journée va être très,très chaude….
nov 022023

Ma pharmacienne

Je ne suis pas du genre à vouloir tromper ma femme, mais bon, quand son désir s’est évanouit et que d’autres mon montré le leur, il y a un moment où la volonté craque. Hier Marie-Claire ma petite pharmacienne m’a proposé de passer chez elle, pour qu’après la fermeture, que je lui montre mes dessins.Elle est fraichement divorcée mais je ne pensais pas à mal . Comme ma femme est en vacances à l’étranger, je suis dispo en ce moment et j’apprécie qu’on apprécie ce que je fais. Bref, à l’interphone de sa belle villa elle me dit de rentrer . Ce que je fais, je passe le hall et je l’entends crier ‘j’arrive’ derrière un bruit d’eau qui dure encore quelques instants. Clap,clap,clap, font ses petits pieds ,puis elle apparait tout sourire ,en peignoir de bain et s’entortillant une serviette sur les cheveux.
-Désolée, j’ai fini un peu tard , je suis à vous tout de suite, installez vous dans le salon , j’arrive.
Une belle pièce, deux grands sofas, des meubles anciens et une baie vitrée avec vue sur la vallée, sans vis à vis, superbe.
-Voilàààà fait sa voix cristaline.
Elle s’est peigné les cheveux mouillés en arrière et a passé une robe de chambre légère en matière soyeuse qui met en valeur sa poitrine , comme deux pamplemousses avec de longs tétons . Je fait mine de ne pas remarquer, mais je sens un frémissement dans mon caleçon.
-Merci d’être venu, fait elle en me fixant au fond des yeux. Je fond.
-J’ai apporté ça marmonnais je en montrant mon carton à dessins, je vous montre. Prenant le carton et me retournant pour lui montrer le contenu , un angle s’accrocha dans son vêtement et d’un coup elle se retrouva exposée de la tête au pieds .
-Pardon ! criais-je bouche bée devant ce corps de corps somptueux, seins gonflés, toison noir et fournie, taille fine, une beauté.
-Oh bah vous alors fit elle en éclatant de rire, mains sur les hanches, sans tenter de refermer le tissu.
-Désolé bafouillais- je, vous, heuu .., qu’est ce que … . Elle interrompit ma gêne en me rejoignant d’un pas et en collant ses lèvres sur les miennes. Le carton m’échappa, répendant les dessins à nos pieds. Je posais mes mains sur ses hanches et lui rendis son baiser, son bassin se colla au mien, ses mains prirent mon visage tandis que ses tétons durcis s’incrustaient sur ma peau. Délicatement elle déboutonna mon pantalon et glissa un petite main ferme jusqu’à ma queue commençant à durcir.
-Tu vas me prendre ? Murmura t’elle dans un souffle , baissant d’un coup pantalon et caleçon , mon sexe libéré mais collé à son ventre chaud. Sans attendre de réponse elle me décalotta doucement tendit que s’agenouillant elle me titillait déjà le gland de petits coups de langue et de l’autre main elle engloba mes couilles durçies et serrées en les massant légèrement. Je ne pipais mots tendit qu’elle me pipait tendrement . Sa main quitta mes boulles et je sentis son majeur s’insinuer juste derrière, jusqu’à mon anus qu’elle frotta en appuyant jusqu’à ce qu’une phalange pénètre .Quelle sensation ! Du bonheur.
Quittant ma queue elle minauda – Tu aimes que je t’encule en te suçant ?
- Oh, madame la pharmacienne, comme vous y allez , plaisantais je , ça me troue le cul.
-Tiens, quelle bonne idée fit elle en me libérant . D’un geste d’épaules elle fit glisser sa robe de chambre , puis se tournant elle s’agenouilla sur le canapé, les bras croisés sur le dossier, me révélant son cul vraiment splendide, une oeuvre d’art. Les fesses en gouttes d’eau , légérement bombées mais pas trop, révélant sa rosette brune , comme un cratère parfait au-dessus d’une vulve gonflée aux lèvres comme des ailes de papillon, le rêve. Sa fente était luisante de mouille, mais glissant sa main entre ses fesses , du même doigt qui m’avait pénétré elle fit des petits cercles autour de son trou puis elle l’écarta de deux doigts.
- Lèche ! S’il te plait . En tendant encore plus son bassin vers moi.
Je me mis à genoux et sans me faire prier je lui introduisis ma langue au plus profond. Humm, l’odeur de son cul fraichement lavé et parfumé, ses gémissements , un pur moment de bonheur. Ma main gauche s’aventura dans sa fente, écartant les plis jusqu’à son clito, petite boulle déjà gonflée . Je lui massais rapidement le bouton et retirant ma langue je plaçais un index dans sa rondelle puis l’enfonçais sans m’arrêter, jusqu’au bout.
-Ahhh, oui , c’est bon, continue, fourre moi le cul, humm, branle moi. Ta queue, je veux ta queue dans mon cul ! Supplia t’elle.
Je me mis en position après avoir retiré mon doigt et craché sur son cratère pour lubifier , je plaquais mon gland contre la rosette et là c’est elle qui d’un coup de cul en arrière s’encula sur ma bite d’un seul coup. Ce trou du cul avait dû connaître bien des passages car il s’ouvrit avec une souplesse élastique extrèmement agréable. Pourtant ensuite je le senti se serrer sur ma queue et commença la meilleure sodo de mon existence. Branlé par un cul, c’était cette sensation. Ce bourrelet souple allait et venait le long de ma bite jusqu’aux couilles, puis remontait sous le gland, ressortait doucement pour que je vois ce trou dilaté et un grand coup de cul m’aspirait à nouveau. Plusieurs minutes d’extase passèrent.Je me laissais faire, presque sans bouger je sentais déjà le plaisir monter, mon baton durcir au maximum. Elle dut le sentir.
- Oh, attends un peu fit elle en ralentissant le rythme et relachant la pression de son anus. Je la vis glisser une main entre ses cuisses et à travers la paroi de son rectum je sentis deux doigts pénétrer dans son vagin. Quelle sensation merveilleuse. Je limais doucement son cul tandis qu’elle faisait venir son plaisir en se branlant frénétiquement la chatte. Elle gémit de plus en plus fort et ses cuisses tremblantes elle poussa un long râle , le corps crispé et tendu donnait des coups de bassin spasmodiques, ses fesses comme un étau sur mon membre . Je n’avais pas encore joui mais l’explosion était proche, quand elle se retourna, glissa entre mes cuisses et engloutit dans sa bouche ma queue juste sortie de son cul, une nouvelle fois je sentis son majeur s’inserrer dans ma rondelle et là j’explosais sans me contrôler, des jets de foutre brûlant lui inondèrent la bouche, je déchargeais sans m’arrêter, cinq,six,sept fois , puis des soubresauts , mes jambes flajolaient pendant que maintenant deux doigts faisaient des aller et retours dans mon cul. Lentement elle finit de lécher ma queue et recueillit jusqu’à la dernière goutte de sperme. Tout fut avalé, elle lécha même ses doigts sortis de mon cul, me fit retourner et inserra sa langue profondément dans la rosette, en écartant mes fesses. Elle ne s’arrêtait pas.
-Penche toi fit elle. Cuisses écartées, mains sur les genoux je tendis mon cul à la divine caresse, trois doigts remplacèrent sa langue, son autre main jouait avec mes couilles et ma bite ramollie. Elle forçait mon entrée intime, une première pour moi, tout ça a été si rapide.
-Tu aimes que je t’encule comme ça hein, dis moi ? Attends, tiens ,allonge toi .
Je m’allongeais sur la moquette et elle se mit tête bêche, collant son cul sur mon visage elle tira mes jambes vers elle et plongea la tête entre mes fesses, sa langue s’occupa à nouveau à fouiller mon trou dilaté. Je fis de même. Un 69 du cul. Nos jeux ont duré encore un bon moment, je ne note pas tout , ça a été sans limites et tous nos fluides se sont mélangés, pire que des animaux , pisse, sueur , merde, sperme, mouille, jusqu’à ne plus faire de différence, seul le plaisir a existé pendant quelques heures. Une orgie à deux mémorable. Ce soir , je suis invité à nouveau….
nov 022023

Corvéable à merci.

Comme d’habitude sa porte est ouverte, comme d’habitude je suis nu sous la robe de chambre et je me dirige vers sa chambre, comme d’habitude elle en levrette au bord du lit et m’ordonne, – ‘Lèche ! nettoie de haut en bas !’ Ma cinquantenaire de propriétaire profite depuis des mois de ma perte de revenus pour me soumettre sexuellement en échange de continuer à me loger dans une chambre à l’étage. Elle est crade dans ses phantasmes Sylvie , au début j’avais de fortes nausées. Chaque matin à 8:00 je dois venir la laver, avec ma langue. Elle ne s’essuie pas ,ni devant ni derrière, juste avant ma venue elle pisse et chie et se mets en position sur le lit. Des fois ça va, mais le plus souvent des traces de merde grasse collent autour de sa rondelle. C’est amer, aigre le plus souvent et l’odeur, pfff, maintenant je me mets du coton dans les narines, ça aide.J’ai le droit de me rincer la bouche entre le cul et la chatte et elle se met sur le dos cuisses relevées et écartées et je dois brouter encore et nettoyer sa pisse fermentée depuis la veille, beurk. Elle a une grosse chatte et des grandes lèvres immenses, il faut que je glisse ma langue dans chaque pli et je doit redescendre jusqu’au trou de balle, là elle me lache souvent un pet dans le nez, je suffoque, elle est vraiment dégueux. Une fois la toilette faite, je dois me mettre debout et m’astiquer jusqu’à avoir une belle trique et je la fourre, chatte et cul, je suis obligé de jouir dans son cul et elle me fait allonger et s’assoie sur mon visage, le trou du cul sur ma bouche elle laisse couler mon sperme que je dois avaler puis je lui relèche la rosette jusqu’à ce qu’elle s’en lasse. Des mois que ça dure, chaque matin, elle m’a averti qu’elle pimenter encore plus l’affaire, je crains. Déjà qu’à présent elle me racompagne à la porte en m’enfonçant un majeur de l’anus et elle me mets deux grosses claques sur chaque fesses. Heureusement, elle est plutôt pulpeuse et bien proportionnée, ses gros nichons ont des tétons très longs, le ventre est assez plat, les hanches pas trop larges, légèrement grassouillette,mais pas trop, elle fait attention à elle, sauf cette perversité répugnante c’est quelqu’un de charmant.Qu’est ce qu’elle mijote ? Je vous raconterai, ça va mieux en le disant.
nov 022023

Première rencontre

Je suis Alain.C’est marrant , on avait beau avoir beaucoup communiqué sur la messagerie , être là devant eux maintenant ça faisait quelque chose . Trois mois qu’on s’échangeait notre vie sexuelle et nos désirs sur ce réseau social dédié au cul , on se connaissait très intimement avec nos échanges de photos et les fantasmes salasses qui remplissaient nos messages. Il n’y a que nos visages que nous découvrions, le choc, grosse émotions pour nous trois.

Mais là on ne se serra pas la main , pas de retenue pincée et polie comme c’est l’usage quand on rencontre quelqu’un pour la première fois. Instinctivement nous nous rapprochâmes , je posais les mains sur leurs tailles, ils firent de même et dans un tendre triangle la fusion se fit, les mains glissèrent et caressèrent, les lèvres s’ouvrirent et je les embrassais , commençant par elle, Léa, bouche à peine ouvertes et langues se taquinant , puis lui, Felix, s’empara de mes lèvres et avec fougue rentra sa langue pour lécher la mienne, il la suça. l’aspire , j’acceptais, je léchais sans retenue cette langue baveuse . Les mains s’aventurèrent ,j’étais tâté de partout ,je me fit peloter le cul et les parties,je soupesais la grosse grappe de Felix et la massais à travers le tissu ,tandis qu’un des nichons volumineux de Léa occupait mon autre main.

‘Bon,on pourrait peut-être se mettre à l’aise proposa la maîtresse de maison . Sans attendre sa robe légère tomba à ses pieds , avec un sourire désarmant elle prit ses seins lourds à deux mains et me les tendit, ses larges aréoles brunes et ses longs tétons étaient un chef-d’oeuvre , à eux seuls ils justifiaient le déplacement , le nichon français avait trouvé ses meilleurs représentants, cocorico ! Je n’ai eu qu’à baisser la tête, je pris l’un puis l’autre de ces mamelons somptueux entre les lèvres, ils faisaient bien 2 cm de long , durs sous ma langue, un bonheur.

Comme j’étais occupé à téter je vis du coin de l’oeil que Felix s’était retrouvé aussi à poil et à genoux devant moi il commençait à enlever mes chaussures, puis baisser mon pantalon, suivi du caleçon. Ma nouille bandait à moitié , il la prit en bouche et me branlant doucement,d’une langue experte il me lécha le gland et l’aspira en cadence.

J’ai lâchais les nichons de Léa et elle en a profita pour passer derrière moi , je sentis ses mains écarter mes fesses, elle devait juste reluquer mon trou, pendant quelques secondes il ne s’est rien passé , puis la merveilleuse sensation d’une langue qui fouille mon anus a achevé de me faire dresser la queue dans la bouche de son mari.

‘Dites donc, vous savez recevoir, dis je au milieu de ce tableau obscène . ‘ Shlurpp – shlurpp’ marmonnèrent ils la bouche pleine.

Lâchant ma queue Félix proposa, ‘on devrait se rendre au salon pour être plus à l’aise’ , ’suivez le guide’ fit Léa en me glissant un doigt fin dans l’anus . Je sursautais à cette intrusion, surpris et content à la fois et me poussant de sa main entre mes fesses elle me dirigea vers une pièce spacieuse avec de larges canapés et une immense table rustique.

La table était dressée, c’est à dire, s’y alignait une série d’objets érotiques très variés. Plusieurs godes de diverses tailles et couleur, des plugs,un martinet,des menottes, des flacons et des tubes. Effectivement ce n’était pas des amateurs .

‘Mon cher Alain voilà le programme’ dit Felix , bite au garde à vous , m’invitant du geste à apprécier leur collection . Toujours poussé au cul par Léa elle me souffla en saisissant un gros gode rouge ,’celui là c’est son préféré , hein mon chéri que je te le fourre tous les jours ?’ . Sourire béat de Felix . ‘Et celui ci c’est mon jouet du matin’, l’objet était un vibro violet à la forme futuriste avec un picot de massage pour le clito.

‘Viens te mettre sur le sofa Léa va faire le service ‘ m’invita mon hôte en me prenant la main , comme je m’éloignais le doigt de madame sorti de mon cul , à mon grand regret. Le canapé en cuir blanc était large et profond, ferme pour ne pas s’enfoncer. Nous nous assîmes entre hommes côte à côtes.

‘Mais cette queue n’est pas bien réveillée’ minauda t’il en se penchant sur mon début d’érection. J’avais la sortie du prépuce gorgé de mouille , il le décalotta , découvrant mon gland luisant , aussitôt je senti ma queue gonfler , il fit quelques aller-retour en la regardant tendrement ,tout comme Léa qui ,cuisses ouvertes se frottait la fente d’un doigt. Sa langue comme celle d’un serpent s’approcha en frétillant de ma bite maintenant bien tendue, il s’activa tout de suite sur le dessous du gland, là où c’est si sensible, tellement agréable. J’avançais mon cul au bord du canapé et une main experte ma caressa les couilles de la paume et un doigt large s’insinua dans la raie , se fixant sur ma rondelle. Réservé de nature et intimidé par cette rencontre je ne m’étais pas exprimé depuis mon arrivé, tout allait si vite. Là je ne pus retenir un ‘ Oui , là c’est bon, enfonce ton doigt, suce moi cochon’ et de ma main droite j’agrippais son cul ferme, je lui mis une calque et lui pétris les deux fesses.

‘Ouiii Alain, fesse le il adore ça’ jubila Léa . Je recommençais, deux claques bien appuyées sur chaque fesse, il gémit en avalant toute ma queue, je recommençait ,’clac -clac’ , son cul devenait rouge. Léa s’était approchée , enduisant le gros gode noire avec un tube de gel elle présenta le pieu monstrueux au derrière cambré de Félix. Je me penchais pour mater la scène , l’anus boursouflé par les nombreuses dilatations était déjà à moitié ouvert. D’un geste expert elle le planta d’une longue poussée , non sans un gémissement de Félix qui dû quand même le sentir passer. Là je lui pris la tête à deux mains et la collais brusquement sur mon bas ventre, rentrant toute ma bite tendue, encore et encore je fis des aller-retours , puis je me dégageais laissant Félix cul en l’air et à moitié groggy , Léa, grand sourire, m’ouvrit les bras .

‘Enfin, j’ai failli attendre plaisanta t’elle’ , nous nous enlaçâmes tandis qu’avec ses mains couvertes de gel elle me lubrifia la queue en une branlette délicieuse. Se mettant à genoux sur le canapé, en appuis sur le dossier, bras croisés , elle se mit une grosse claque sur une fesse, ‘Au travail matador, plante moi ton épée, vise bien dans les deux cibles, celle du bas d’abord.’ . Léa avait un petit cul avec deux belles pommes plates , pas besoin d’écarter les fesses, avec sa chatte proéminente toute en lèvres juteuses débordant autour d’un clito comme une petite cerise et son trou du cul comme un cratère, étaient tout de suite accessibles. Je frottais d’abord mon gland de haut en bas entre ses ailes de papillon,m’attardant sur le gros clito, la faisant gémir et se cambrer plus encore , puis n’y tenant plus , d’un coup de bassin, je plongeais ma queue en feu dans cette fente en fusion. Etonnamment son vagin était très serré, un délicieux étui que je dû investir en douceur. Elle tendit sa croupe à ma rencontre et finalement ,le braquemart au bord de l’explosion je l’investis totalement, mes couilles s’écrasant sur sa chatte trempée. Elle ondulait du cul , le faisant danser autour de mon pieux, c’est elle qui me baisait, aspirant mon dard puis projetant son cul vers moi, serrant ma bite dans son étui glissant de mouille. C’était merveilleux, mais ce trou du cul m’appelait , je le fixais depuis le début, il s’entrouvrait comme si un doigt invisible préparait le passage . En douceur je m’échappais de sa chatte dévorante et plaçais mon gland hyper sensible sur la rondelle brune, Felix n’en perdait pas une miette, s’astiquant sauvagement le poireau , la base du monstrueux gode dépassant de ses fesses.

‘Vas y , bourre lui le cul, enfonce ta bite dans cette chienne !’ dit il les yeux hagards, bouche entrouverte ,s’astiquant le piston à toutes vitesse. Léa dit ‘ Oui, plante moi, vite, encule moi à fond !’ . Sans attendre et sans lubrifier, lui prenant la taille à deux mains je commençais à pousser et ,surprise, le trou s’ouvrit sans résistance, juste assez pour me serrer délicieusement . Je laissais échapper un ‘Salope , prends ça dans cul !’ en rentrant d’un seul coup tout le chibre en feu . ‘Vas y lâche toi , insulte là’ fit Félix , couvrant difficilement les gémissements de sa femme qui annonçaient un orgasme anal imminent .

Pris de frénésie, encouragé par les deux pervers , mes barrières de savoir vivre tombèrent , je me lâchais . ‘ Putain de vieille pouffiasse, bouge ton trou à bite, je vais te faire chier du foutre pendant huit jours, tu sens ma grosse pine qui ramone ton cul de salope ?’ ,’Ouiiii’ cria t’elle ‘bourre moi fort p’tit salopard ,j’suis ta pute, vas y encore , défonce ta chienne !’ . Félix la bave aux lèvres, le piston en surchauffe dans sa branle folle , ne parlait plus , ses yeux écarquillés matant le cul pilonné de sa femme ,je sentis que sont explosion était imminente. ‘Arrghh’ fit en s’agenouillant face à moi , sa queue au bord de ma bouche il la força à l’intérieur, aussitôt un puissant jet de foutre chaud gicla sur mon palais, de suite suivi d’un autre,et encore, petit à petit son gros noeud s’enfonçait dans ma bouche , jusqu’aux dernières secousses où au bord de la nausée je recueillis quand même toute sa semence. Je reculais un peu pour ne garder que le gland gonflé sur ma langue , le branlant d’une main et léchant les dernières de son jus.

Lâchant Félix, je me décidais à accepter de laisser venir mon orgasme quand Léa elle-même anéantie par son orgasme anal se laissa glisser , libérant ma queue. A mon tour ,je me levais et agrippant les cheveux de Félix je le tins fermement quand j’enfonçais mon gland entre ses lèvres en branlant frénétiquement ma queue lubrifiée dans le cul de sa femme.Je lui rendis à l’identique une décharge de jute phénoménale , une merveilleuse boule de feux jaillit de mon bas ventre et m’envoya mille aiguilles de plaisir dans le gland turgescent , ça brûlait de plaisir , un orgasme comme je n’en avais jamais eu . Je me suis tellement vidé jusque sur ses amygdales que du sperme épais lui ressorti par les narines. Submergé par le plaisir je n’avais pas senti les deux gros doigts qui me ramonaient le cul, accompagnant mes dernières secousses Felix les retira lentement en tournant, sensation divine.Je m’affalais à côté de lui , Léa un peu remise , après avoir regardé ma jouissance d’anthologie affichait un sourire fatigué mais béat de satisfaction .

Voilà pour la première partie de cette merveilleuse rencontre , un rare moment de plaisir absolu.

nov 022023

Le bon, la chatte et le truand ( ou Sylvie)

J’ai longtemps hésité à raconter cet épisode de ma vie, mais je dois le faire pour me libérer.

Dans un monde merveilleux les jolies filles et les gentils garçons ne se font pas violer par le cul, seulement voilà, la réalité nous rejoint parfois . J’avais déjà 25 ans et pas de travail stable, par bouche à oreille je faisais quelques travaux au noir chez des particuliers. Sylvie, la mère divorcée d’un copain vivait seule dans une ancienne ferme , un peu isolée , des travaux de peinture m’attendaient quand je m’y rendis ce matin d’automne.

‘Bonjour’ fis je quand la porte s’ouvrit . Françoise , environ 1,60 m , un peu potelée avait d’habitude toujours un sourire rayonnant malgré sa vie pas facile, là je la découvris crispée, les larmes au bord des yeux.
‘Entre’ fit elle les lèvres tremblantes. Je m’étonnais et franchis le pas en la regardant avec inquiétude . Comme je restais tourné vers elle, de derrière la porte, dans mon dos ,une voix d’homme rugit ‘ bouge pas connard !’ pendant que le froid d’un objet métallique se posait sur mon cou.

Cri de Sylvie ‘ Non, s’il vous plaît, lui faites pas de mal ! ‘ , un violent coup de pied de mon agresseur claqua la porte et fini dans le ventre de Sylvie , projetée sur le carrelage sa chute fit s’ouvrir sa robe de chambre, elle était nue et je vis comme au ralenti ses fesses dodues absorber le choc , ses gros seins s’écraser sur son torse et entre ses cuisses écartées son sexe ouvert sous une abondante toison noire.

‘Avance p’tit con’ fit la voix dans mon dos en me plaquant une main entre les fesses en même temps, un doigt forçant fortement dans le milieu. J’étais tétanisé , Sylvie sanglotait par terre en reniflant . L’homme me fit tourner . Tout en muscle, un visage buriné de boxeur et complètement nu , un gros sexe dressé vers le plafond.

‘Excuse moi fit Sylvie, j’ai dû obéir ‘ , ta gueule pouffiasse , toi à poil ‘ cria ce monstre en me pointant son couteau.
En automate , terrifié par la situation, en tremblant je défis mes vêtements , mortifié de me déshabiller devant Sylvie.

‘Toi aussi salope ,debout , à poil et à côté de lui!’ ,Sylvie s’exécuta , je sentis la chaleur de sa hanche sur ma cuisse , sa main serra la mienne dans un geste de réconfort.

‘Bon les cocos, le morveux m’a dérangé quand j’allais te défoncer le cul salope, alors tournez vous et en levrette, magnez vous !’
‘S’il vous plaît laissez le’, supplia Sylvie , Vlam , une méchante claque lui projeta le visage vers moi , dans le même geste sa main saisit ma queue en tirant dessus et il y plaqua son couteau, me terrorisant .

‘Tu préfères que je la lui coupe ?’ ‘ Non, non d’accord dit Sylvie se mettant aussitôt au sol , les fesses en l’air.

‘ Tiens, bah justement , toi le mignon tu vas me préparer le passage, lèche lui trou et vite.’ Je baissais les yeux vers le cul devant moi, n’osant dire un mot au fou ,je m’agenouillais et baissais mon visage vers la raie ouverte. Des poils longs et frisés entourait l’anus de Sylvie , cette vue malgré moi me fit de l’effet, malgré la situation je senti ma bite commencer à grossir. La piqûre de la lame sur ma nuque m’obligea à plonger le visage entre les deux globes de ce cul offert .La pauvre Sylvie sous l’émotion avait eu des petites pertes, j’eu un haut le coeur à l’odeur et au goût acide de sa merde sur ma langue, je me repris pourtant et un d’un coup de langue nettoyais ces quelques traces répugnantes , je déglutie en grimaçant. ‘Lèche bien, rentre la langue à fond !’ conseilla t’il doucement à mon oreille, son autre main s’insinuant dans ma propre raie offerte à sa vue. ‘Oh mon dieu pleurnicha Sylvie, quelle honte’. Comble de ma soumission je sentis un gros doigt humide forcer mon anus, ça brûlait un peu, le monstre nous humiliait avec perversité , quelle horreur, mais le pire c’est que ma bite était maintenant raide comme un poteau , je serrais les cuisses pour le cacher.

‘Allez, vous changez de place’ ordonna t’il. Toutes envies de résistance disparues nous obéissions, moi comme une chienne en levrette et Sylvie qui dans la même position collait sa bouche sur ma rosette . Elle a bien dû voir ma queue tendue, que pense t’elle , comment va t’elle me pardonner si nous en sortons vivant , ce qui me semble improbable. Elle n’a pas d’hésitation, je ne suis pourtant pas sûr de ma propreté, même sûr de ne pas l’être, mais je sens sa langue s’emparer de ma raie, elle lèche de haut en bas, puis se fixant sur mon petit trou , délicatement elle commence à le lustrer .

‘Aïïee’ crit-elle soudain entre mes fesses , ‘ça fait mal’. ‘Mais non’ réplique le violeur , ‘il t’a bien bouffé l’cul, c’est rentré tout seul’. Je comprends qu’il vient de la sodomiser brutalement , elle sanglote , sa langue toujours dans mon trou de balle . J’entends le floc-floc des coups de bassin sur le gros cul de Sylvie et je sens son visage rentrer en cadence dans ma raie. ‘Aaah quelle bonne chienne, t’aime ça la truie, je te bourre bien ?’, ‘Répond !’ crie t’il .’Oui, oui, monsieur, j’aime beaucoup ça’ souffle t’elle entre deux halètements. Mais , ma parole, ça c’est la voix d’une femme qui prend du plaisir, je n’en reviens pas et sa langue qui s’active encore plus.

Soudain l’ignoble personne ordonne ,’pousse toi de là , mets toi devant lui cuisses ouvertes et branle toi pendant que j’encule le puceau’ .

Oh non, c’est pas vrai, pas moi . Je n’ai pas le temps de réagir, d’ailleurs l’aurais je pu, que deux grosses mains agrippent mes hanches et qu’un truc qui me semble énorme commence à rentrer dans mes entrailles. Hou là là , j’ai l’anus en feu , je pousse un cri face à Sylvie qui ,obéissante, a la main qui s’active dans sa chatte dodue, ses petites lèvres sont très larges et couvertes de mouille, ses doigts aussi, elle est bien en train de prendre du plaisir, incroyable. Cette vue m’a aidé à supporter la dilatation annale que je croyais impossible, les coups de boutoir me projettent un peu plus en avant à chaque fois . A la sensation de feu une autre beaucoup plus agréable vient servir d’anesthésiant , puis le plaisir commence à emplir mon cul , mes couilles et toute ma queue, quelque chose de nouveau se produit, je gémit, je me cambre encore plus , sans l’avoir souhaité un grand jet de foutre accompagne un orgasme comme jamais je n’en ai eu . Le sperme gicle en abondance et derrière moi et en moi je sens que le salopard fait la même chose, il jouit dans mon cul ! Sylvie qui s’est branlée sans s’arrêter se crispe soudain et de sa chatte des grands jets d’orgasme féminin ou de pisse jaillissent en plein sur mon visage et dans ma bouche .

Soudainement le silence emplit la pièce ,seulement coupé par les halètements du dingue .Je vis le visage de Sylvie se décomposer, sûrement comme le mien, d’abords honteux d’avoir pris du plaisir et terrifiés de ce qui allait arriver maintenant. Je me retournais lentement , l’agresseur avait pris mon t-shirt pour s’essuyer la queue , un vilain sourire aux lèvres et le couteau toujours en main. C’est à ce moment qu’un petit point rouge apparu sur son front. Etrange , un insecte, un reflet ? lui ne réagissait pas. Sa tête fut subitement projetée en arrière, auréolée d’un nuage rouge , sa main laissa échapper le couteau et comme une flaque son corps s’affaissa au sol dans un grand boum, sa tête, ayant heurté au passage la table basse, restait dans un angle normalement impossible. La porte s’ouvrit en claquant sur le mur , plusieurs hommes casqués et armés, tout en noir, pénétrèrent armes pointées balayant la pièce . En cinq secondes la situation désespérée venait de basculer.

Ce sale type s’était le matin même évadé du tribunal , aussitôt recherché par les forces de l’ordre il avait été repéré pénétrant dans la ferme moins de trente minutes avant mon arrivée . Nous étions en fait observés à travers la baie vitrée depuis le début , notre mésaventure nous avait semblé une éternité mais n’avait en fait duré qu’une quinzaine de minutes . Et dire que des dizaines de policiers ont suivi cette honteuse agression , combien d’entre eux ont apprécié secrètement, sûrement beaucoup , la honte universelle.

Un jour je vous raconterai comment Sylvie et moi avons surmonter ça …..

nov 022023

Tendre salope

Jeune adulte on est souvent naïf , parfois ça se fini bien, comme avec Mina. Je venais de commencer un travail dans les réserves du magasin de son père, grossiste en tissus . Le paternel venait rarement en réserve , Mina avait 35 ans, 15 de plus que moi et gérait le stock de papa . Le premier jour de mon arrivée elle m’a appris les quelques rudiments de boulot et m’a demandé d’essayer une tenue de travail du magasin , au choix le bleu de travail ou la blouse . On était dans la petite pièce du vestiaire , des étagères, des casiers individuels , classique.

‘ Bon alors voilà, déshabille toi tu vas essayer plusieurs tailles et choisis ce que tu préfères’.

Devant le ton d’autorité de ma nouvelle patronne j’acquiesçais , mais gêné je dis ‘ c’est que ce matin tous mes slips étaient au lavage, je n’ai rien en dessous’.

‘Oh là là , tu veux ce travail ou non, on n’a pas que ça à faire , j’en ai vu d’autre, dépêche toi’ .

Timide de nature je n’osais lui répliquer et en rougissant je baissais puis enlevais mon pantalon .En t-shirt, la nouille à l’air devant une inconnue. Elle me regardait, bras croisés et s’humectant les lèvres, puis pris un bleu de travail . ‘Enfile ça !’ ,sa voix avait un peu changé, plus basse , elle inspirait fort. Je passait les jambes dans le vêtement , mais il était trop étroit , en le remontant ma bite dépassait trop pour le remonter. Moment de gêne intense, je n’avais plus de voix . ‘Attends, je vais t’aider’ dit elle, joignant le geste à la parole elle glissa sa main sous mes couilles et ma queue et comme un chausse pied essaya de tout faire rentrer, mais pas moyen.Je sentais bien qu’elle insistait bizarrement , sa main maintenant autour de ma virilité . ‘Madame, ça ne passe pas’ osais-je dans un souffle. En même temps cette main chaude et ses mouvements commençaient à faire gonfler ma bite . La situation était devenu très étrange .

‘Bon d’accord, on essaye autre chose’ souffla t’elle , mais sans lâcher ma queue aussitôt, puis s’agenouillant pour tirer le pantalon vers bas, sa tête face à mes parties.

Comme elle ne se relevait pas je dis, ‘Madame, ça va ?’ Sa chevelure abondantes était tout ce que je voyais d’elle en dessous, soudain sa main repris ma queue. ‘Oh madame’ articulais je en croassant. Mais elle continua ,elle me branlait doucement, décalottant en cadence, puis m’ayant fait durcir elle me prit en bouche, je sentis quelque chose de doux et humide entourer mon gland, un frottement léger dessous, puis tout autour. Ma première pipe , incroyable cette situation , mais j’arrêtais de réfléchir et acceptais ce que maintenant mon corps demandait avec énergie. Ma queue gonflée à son maximum, dure comme du bois était avalée jusqu’aux couilles, puis libérée,et encore et encore ,j’agrippais sa tête , oubliant ma timidité, et j’accompagnais le mouvement de pompage. Puis ,surpris, je sentis une main passer entre mes jambes, un doigts glisser dans la raie du cul , se poser sur mon trou et faire un massage circulaire. Quelle sensation nouvelle mais vraiment délicieuse. A ce moment elle enleva son doigt, lâcha ma queue et se recula pour me regarder , le braquemart tendu comme jamais, luisant de salive et de mouille . Elle avait pris des couleurs et semblait avoir couru un marathon , puis elle mit son majeur dans la bouche le suça , cracha dessus et aussitôt vient me le planter entre les fesses, poussant fort. Mélange de brûlure et de plaisir, ‘Hoooaa’ fis je en levant les yeux au plafond,pendant que je sentis sa bouche reprendre son travail sur ma bite . Enculé en sucé en même temps , j’étais complètement privé de repères , je me laissais prendre par le cul et la bite par une inconnue, submergé de plaisir , j’ai senti la jouissance arriver comme un torrent, un truc gigantesque , et brusquement j’ai tout lâché, du foutre a explosé dans sa bouche en longs jets brûlants , mes jambes m’ont lâché mais son bras solide avec son doigt planté dans mon cul me soutinrent. Je me vidais en plus d’une minute . A la fin elle recula le visage ,bouche ouverte, je vis tout mon foutre emplir l’espace derrière ses dents, alors elle commença à déglutir, plusieurs fois jusqu’à tout avaler, puis elle retira doucement le doigt de mon cul et se le mit dans la bouche ,suçant les traces de merde au passage . Incroyable , je restais là, la queue encore tendue et brûlante de plaisir, le cul un peu en feu aussi.
‘Mon petit mignon tu gardes ton poste , fit elle en se remettant debout, elle s’approcha de moi, mit sa bouche sur la mienne , sa main caressant ma queue ramollissante et rentra sa langue très loin , puis me lâchant ouvrit la porte en me disant, habille toi donc nigaud, il y a du boulot , ah et aussi, à midi on se retrouve ici sans faute.’

Je suis resté longtemps dans ce magasin, en fait aujourd’hui c’est moi le patron .

nov 022023

Trouducule moi s.t.p.

Deux heures de marche déjà dans la montagne pour faire des photos, enfin, nos monts d’Auvergne , le calme, la paix, la beauté. Là où je suis arrivé je découvre un panorama extraordinaire , la vallée au début du printemps a de multiples teintes de verts et là-bas presque à perte de vue , la chaîne des puys .

‘Hummm, humm, haaa, putain c’est bon !’ Je sursaute , je me retourne , je vois quelques feuilles bouger dans les fougères naissantes . Je me lève et m’approche, là surprise , mon voisin , le type si calme et réservé que je croise chaque jour, en train de se palucher, à poil sur le sol . Silence, bouches bées tout les deux, moment de solitude, il a toujours sa bite en main qui ramollit . ‘Heuu, salut, pas de problème ,’continue’ dis je pour détendre le moment de gène. ‘

Là son visage devient écarlate, il tente de bafouiller quelque chose, incompréhensible . Je suis pris de pitié , ‘je peux m’asseoir près de toi’ dis je , croisant ses bras autour de ses jambes, tête baissée ,il murmure un petit ‘oui, je suis désolé, je pensais être seul’, ‘moi aussi’ répondis-je ‘et ne t’inquiète pas, tout le monde se branle, ici c’est un endroit magnifique pour ça , tu aimerais que je te prenne en photo, sans prendre ton visage si tu veux.’ . Il relève le visage, toujours le rouge aux joues , mais une sorte d’espoir dans les yeux.

-Je crois qu’on est vraiment que tout les deux ici , ce que je te propose, c’est qu’on se photographie tout les deux, regarde , je vais me déshabiller aussi, comme ça plus de gène’.

Sans attendre la réponse je me débarrasse vite fait , tout tombe par terre, je suis debout , nu devant lui , la queue à moitié réveillée et il regarde , sa mâchoire tombe en même temps que ses cuisses s’ouvrent à nouveau, révélant sa queue avec quelques brins d’herbes collés par la mouille. Là , c’est un vrai sourire qui apparaît sur son visage , j’en profite pour le photographier, son visage levé vers moi , sa bite un peu floue dans l’ombre , je m’approche et fait une autre photo où ma queue apparaît, je la tiens d’une main devant son regard plein de tendresse. Il me dit , ‘tourne toi’, je m’exécute et ses mains caressent d’abord mes fesses, les écartent doucement , puis délicatement une langue vient lécher mon anus, donne des petits coups de langue, tourne autour, je me cambre un peu pour recevoir l’hommage, que c’est bon . Le soleil m’inonde le corps , cette langue viole ma rosette si doucement, je suis au paradis.

Dans la série des rêves à réaliser il y a celui-ci en haut de liste, avoir une relation avec un homme , ça me manque tellement de fantasmer dessus et de ne pas connaître et là sans m’y attendre ça m’est offert sur un plateau, merci la vie.

Mon petit voisin est plus jeune que moi qui ai passé la soixantaine, je lui donne à peine 40. Nos femmes papotent souvent ensemble , mais pas nous . Là pendant qu’il me lèche encore le trou (décidément il aime ça) je me paluche la queue doucement, puis sa langue se retire, dommage, mais aussitôt je sens une pression plus dure , un doigt commence à forcer le passage. ‘oh, mais mon cochon tu penses à m’enculer, c’est ça ?’ Le doigt s’arrête, ‘non continue, rentre le entier’. Là je me baisse un peu jambes écartées, cambré, les mains sur les genoux et je me laisse me prendre, un deuxième doigt rejoint l’autre, je souffle tellement c’est bon, son autre main passe en dessous et me malaxe doucement les couilles , puis remonte sur ma queue, la serre et commence des va-et-vient . Je n’en peux plus de plaisir , je tourne la tête pour le regarder et vois qu’il se branle à toute vitesse, je vois son beau gland rouge, luisant, décalotté et recalotté par sa main crispée. ‘Oh, prends moi, vas y , tu as bien ouvert mon cul , fourres y ta bite bon sang ‘. Il ne faut pas lui dire deux fois, presque aussitôt deux mains me prennent les hanches tandis que son mandrin gonflé prend la place de ses doigts. Pour une première fois mon cul accueille une belle queue sans problème, ça rentre aussitôt. En même temps qu’il m’encule sa main droite passe devant et il me branle en cadence , comme ses coups dans ma chatte masculine.

C’est si bon, merveilleux, mais je ne veux pas jouir tout de suite. ‘Attends, arrête , je veux te faire la même chose, je veux te trouduculer ‘.

Il a compris et arrête de me pilonner, sort doucement sa bite, elle est luisante et raide , je la sens prête à exploser, il fait un effort de concentration pour ne pas jouir. J’en profite pour l’embrasser, mon premier baiser avec un homme me semble tellement naturel, sa langue répond à la mienne, ça frétille, ça suce, c’est sauvage.

Il se remet sur le dos, comme à mon arrivée , prend ses jambes à deux mains et en les écartant les remonte vers les épaules . Je prends quelques instant pour admirer , il a de belles couilles qui pendent bien, presque jusqu’à son trou de balle . Pas beaucoup de poils , mais pas rasé, comme moi, je préfère . Sa bite est toujours tendue, elle touche son nombril , plus longue que la mienne ,mais moins large , parfaite pour la sodo, je l’ai bien vérifié à l’instant.

Je m’agenouille, les cuisses de chaque côté de son petit cul offert, je recule légèrement pour placer mon gland contre son anus tout rose, je frotte ma mouille tout autour pour lubrifier et je laisse les choses se faire, doucement ça rentre, je regarde fasciné la rondelle entourer mon gland , puis le prépuce décalotté, et millimètre par millimètre ma queue est avalée, disparaît dans l’étui chaud de son cul et nos couilles se touchent . Quelle sensation ! Le soleil nous éclabousse , les insectes et les oiseaux font de la musique et je reste sans bouger empalé comme dans une chatte. On se regarde en souriant , alors je commence de doux va-et-vient , ça dure plusieurs minutes, je ne veux pas jouir tout de suite dans son cul. Doucement, alors que je le sens encore près de la jouissance par mon frottement sur sa prostate , je me retire délicatement, je vois ses yeux étonnés, ‘non reste’ dit il . Mais j’ai une autre idée, le contournant je me mets au-dessus de lui, ma bouche devant sa queue et la sienne face à la mienne, je veux que l’on jouisse en 69 l’un dans l’autre, les bites dans les bouches . Dans cette position je lui masse aussi les fesses, il fait de même, puis j’entre un majeur dans sa rosette , tout de suite il fait la même chose, mais avec le pouce, que c’est bon. Tout se fait en silence avec juste nos gémissements et nos bruits de succion . Je sens mon trou du cul dans un feu délicieux , la jouissance commence à arriver , lui aussi je le sens à ses mouvements, on accélère en cadence , de plus en plus, et puis soudain j’explose, au moment même où ses jets de foutre emplissent ma bouche, ça brûle de plaisir dans la queue et dans le cul, je continue à me vider et lui à me remplir pendant plus d’une minute , un orgasme comme on en a peu . On reste là, on s’agrippe pour préserver l’instant, on continue à sucer nos bites qui se ramollissent doucement . Bien sûr il faut bien se lâcher, je me couche sur le côté, encore haletant . Je l’entends renifler, et je vois que des larmes coulent , ‘merci’ me dit il, c’était merveilleux, j’ai adoré. ‘C’est à moi de te remercier, sans toi ça ne serait pas arrivé , c’était divin.’

A regret nous remettons lentement nos vêtements, le feu encore présent dans le bas-ventre , puis après quelques dernières caresses nous convenons à l’avenir de faire semblant d’avoir à nous emprunter des outils et nous donner un coût de mains pour nos travaux de maison respectifs . Il a une grange à retaper à l’écart du village, quel bon prétexte pour se retrouver. Je le laisse partir d’abord et je m’en vais un peu plus tard, le coeur léger, sourire aux lèvres.

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ICRA

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